Genealogy Richard Remmé, The Hague, Netherlands » Philips II 'Le Hardi de stoute' [Valois] de (Philips II 'Le Hardi, de stoute' [Valois] de) Bourgogne Hertog van Bourgondie (Valois) (1342-1404)

Personal data Philips II 'Le Hardi de stoute' [Valois] de (Philips II 'Le Hardi, de stoute' [Valois] de) Bourgogne Hertog van Bourgondie (Valois) 

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Household of Philips II 'Le Hardi de stoute' [Valois] de (Philips II 'Le Hardi, de stoute' [Valois] de) Bourgogne Hertog van Bourgondie (Valois)

(1) He is married to Margaretha III van Vlaanderen.

They got married on June 19, 1369 at Gent, 9000, Oost-Vlaanderen, Belgium, he was 27 years old.


Child(ren):

  1. Maria van Bourgondië  ± 1386-1422 
  2. Philippe de Bourgogne  1389-1415 


(2) He is married to Marie d' Auberchicourt.

They got married about 1365 at Not Married.


Child(ren):



Notes about Philips II 'Le Hardi de stoute' [Valois] de (Philips II 'Le Hardi, de stoute' [Valois] de) Bourgogne Hertog van Bourgondie (Valois)

Heraldique Euro.dir II le Hardi de France (1342-1404)
Duc de Touraine, Duc de Bourgogne et Pair de France,
Comte d'Etampes (1387 - cession de l'usufruit par son frère le précédent)

Door huwlijk graaf van Vlaanderen en Artois.

Zijn achter-achterkleinkind (Maria van Bourgondie, 1457-1482) ) zal zijn laatse nazaat en erfgenaam zijn. Door haar huwlijk met Maximiliaan van Habsburg (van Oostenrijk, 1459-1519) komen de nederlandsche bezittingen aan de Habsburgers.
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euweb.dir Philippe II de Bourgogne (1363-1404) et de Touraine, etc, *Pontoise 15.1.1342, +Hall 27.4.1404, bur Dijon; m.Ghent 19.6.1369 Margueritte III , Css of Flanders and Artois, Dss of Brabant and Limburg, Mgvne of Antwerp, Lady of Malines, Cts de Nevers et de Rethel, etc (*13.4.1350 +16.3.1405) dau.of Ct Louis III of Flanders; they had issue:

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E: in Holland.htm

Burggraaf van Antwerpen
Philips II 'de Stoute' van Bourgondië, Hertog, geboren te Pontoise op 15 januari 1342, overleden te Halle op 27 april 1404, begraven te Dyon, zoon van Jean II 'De Goede' van Frankrijk (Hertog en Ridder) en Judith van Bohemen .Vanwege de dappere wijze waarop hij zijn vader verdedigt tijdens de slag van Maupertuis bijgenaamd 'de Stoute', verwerft hij lettres patentes Boulogne-sur-Mer in Oct. 1360 (het toen tot hertogdom verheven graafschap Touraine, dit ingewissel bij verheffing tot hertog van (het in 1361 aan de kroon teruggevallen) Bourgondi‰ en eerste pair van Frankrijk op 6 Sept. 1363). Volgt na de dood van zijn schoonvader deze tevens op als graaf van Vlaanderen, Artois, burggraaf van Antwerpen, heer van Mechelen, graaf van Nevers, Franche-Comt???, Salins en Rethel in 1384. Door koop graaf van Charolais in 1390. Verwerft Limburg en Overmaze in 1396. Philips is getrouwd te Gent op 19 juni 1369 met Margaretha van Vlaanderen, Erfdochter, geboren te Male op 13 april 1350, overleden te Atrecht op 16 maart 1405, begraven te Rijssel, dochter van Lodewijk III van Male (Graaf) en Margaretha van Brabant. Erfdochter van Lodewijk II van Male, graaf van Vlaanderen en diens tweede gemalin Margaretha van Brabant. Begraven in de O.L. Vrouwekapel van de St. Pieter naast haar vader. Margaretha is eerder getrouwd te Brugge in het jaar 1358 met Hecter I van Voorhoute. Huwelijk per procuratie.

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La Maison de Bourgogne  Philippe Le Hardi  ;
1385/1404   Philippe Le HardiPhilippe le Hardi, duc de Bourgogne, épouse en 1369 Marguerite de Male, fille du comte de Flandre, Louis de Male. A la mort de ce dernier, en 1384, Philippe le Hardi devient comte de Flandre. La révolte gronde depuis des années à Gand. Le nouveau comte se montre habile diplomate et signe avec la ville une paix autorisant les deux parties à sauver la face. Philippe le Hardi mène une double politique. En tant que frère du roi de France, il désire maintenir le rôle important qu'il joue sur la scène politique française. D'autre part, en tant que duc de Bourgogne, il cherche à augmenter sa puissance territoriale. Il tente de détourner les Flamands de leur sympathie pour l'Angleterre, en veillant toutefois à sauvegarder les relations commerciales des marchands avec Londres. Il étend son influence sur les autres principautés. Il obtient, pour son second fils, Antoine, la promesse de la duchesse Jeanne de Brabant, sans descendance, d'en faire son héritier. En 1385, il marie sa fille Marguerite, et son fils Jean sans Peur, respectivement au fils et à la fille du comte de Hainaut-Hollande. Ces étapes préparent la future unité territoriale des Pays-Bas. Philippe le Hardi renforce le pouvoir central de la maison de Bourgogne. Tout en maintenant les institutions locales, il leur impose une autorité de tutelle. Il établit à Lille une chambre des comptes, dont le rôle est centraliser la gestion financière. La chambre du conseil de la même ville devient une cour d'appel, révisant les jugements des tribunaux locaux et urbains. Le "conseil de la cour" des ducs de Bourgogne, présidé par un chancelier, assume progressivement le gouvernement de l'ensemble des territoires ducaux. Le cadre institutionnel ainsi mis en place limite les pouvoirs régionaux. >Ducs de  <../Articles/175MATbourgogne.php>Bourgogne  <../Articles/175MoyenAge.php>
Philippe Le Hardi <../Articles/175MATphHardi.php>
Jean Sans Peur  <../Articles/175MATJeanSansPeur.php>
Philippe Le Bon  <../Articles/175MATPhilLeBon.php>
Charles Le Téméraire <../Articles/175MATCharlesLeTem.php>
Marie De Bourgogne  <../Articles/175MATMarieDeBourg.php>
Vie économique et sociale  <../Articles/175MATvieeconsoc.php>
Règne de Philippe le Hardi.  Philippe le Hardi fut un des princes les plus fastueux de l'Europe. Toute son attention continua à se concentrer sur les affaires de France, pays dont il fut régent, d'abord après la mort de son frère Charles l' (1380), puis lorsque son neveu Charles VI fut devenu fou (1392). Ignorant la langue flamande et les moeurs du pays, résidant rarement en Flandre, le nouveau comte se garda cependant bien d'agir en étranger dans ses nouvelles possessions. Il flatta Ypres et Bruges qui l'avaient accueilli avec défiance; il sut dominer son orgueil de Valois et se réconcilier avec Gand sans imposer à la fière cité des conditions humiliantes. Il veilla à la défense des intérêts commerciaux de la Flandre, conclut avec l'Angleterre une trêve laissant le cointé en dehors du conflit franco-britannique et prit des mesures pour réparer les désastres provoqués par une guerre r civile de six ans.  Unions matrimoniales avec la Maison d'Avesnes-Bavière.  Ce diplomate avisé augmenta la puissance de sa famille par d'habiles unions matrimoniales. En 1385, son fils Jean de Nevers. âgé de quatorze ans, épousait Marguerite de Bavière, fille d'Albert de Bavière, régent des comtés de Hainaut, de Hollande et de Zélande. Le même jour, Marguerite de Bourgogne (soeur de Jean), fillette de onze ans, épousait le frère de Marguerite de Bavière, le futur comte de Hainaut-Hollande Guillaume 4 ".  Antoine de Bourgogne hérite du Brabant.  Après le brutal traité d'Ath de 1357, par lequel Louis de Male avait arraché au Brabant la seigneurie de Malines et le marquisat d'Anvers, la duchesse Jeanne, profondément irritée. avait légué ses domaines, au cas où elle mourrait sans laisser de postérité, au frère de son mari Wenceslas, l'empereur Charles IV de Luxembourg. Quelques années plus tard, Philippe réussissait à détourner la duchesse Jeanne de ce projet. Fatiguée par ses querelles avec le duc de Gueldre et effrayée par la hardiesse croissante des Communes, Jeanne amena les trois ordres du duché, à reconnaître sa nièce Marguerite de Male comme son héritière. A cette occasion, Philippe le Hardi restitua élégamment Anvers au Brabant. En 1393, le duc couronna cette politique de sagesse en suggérant aux laats de Brabant de désigner son fils aîné, Antoine de Bourgogne, comte de Rethel, comme futur duc. Après de longs délais, les États acceptèrent.  Mort de Philippe le Hardi.  En 1404, Philippe le Hardi mourut inopinément, à Hal, d'une maladie contagieuse. Il avait solidement établi sa Maison dans nos contrées. Cent ans plus tôt, pareille mainmise eût été l'équivalent d'une annexion de nos provinces iI la France. Mais, depuis lors, chacune d'elles avait pris fortement conscience de sa personnalité. Par ailleurs, rien n'avait été plus éloigné de la pensée du duc que l'idée de travailler au profit de la Couronne des lis.

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Philipp der Kühne Herzog von Burgund (1363-1404)
----------------------- Graf von Flandern (1384-1404)
15.1.1342-27.7.1404
Pontoise Hall
Begraben: Kartäuserkirche zu Dijon
3. Sohn des Königs Johann II. der Gute von Frankreich aus dem Hause VALOIS und der Bona von Luxemburg <../../luxemburger/bona_koenigin_von_frankreich_1349/bona_von_luxemburg_koenigin_von_frankreich_+_1349.html>, Tochter von König Johann von Böhmen <../../luxemburger/johann_der_blinde_koenig_von_boehmen_1346/johann_der_blinde_koenig_von_boehmen_+_1346.html>
Lexikon des Mittelalters: Band VI Spalte 2067
********************
Philipp II. der Kühne (‚le Hardi‘), Herzog von Burgund
-----------------------------------------
* 17. Januar 1342, + 27. April 1404
Pontoise Hal (Halle, Brabant)
4. Sohn von Johann (Jean II.), König von Frankreich, und der Bonne (Guda) von Luxemburg
1356 bei Poitiers gefangengenommen, kehrte er gemainsam mit seinem Vater nach Frankreich zurück und wurde von Johann II. zum Herzog von Touraine erhoben und als lieutenant general mit der Statthalterschaft der Provinz Lyon betraut. Der König designierte ihn für das Herzogtum Burgund, während er von Kaiser KARL IV. <../../deutschland_koenige_2/karl_4_deutscher_koenig_1378_luxemburger/karl_4_von_luxemburg_deutscher_koenig_+_1378.html> die Belehnung mit der Freigrafschaft Burgund erhielt. König Karl V. bestätigte am 2. Juni 1364 die Apanageverleihung für das Herzogtum Burgund, forderte von Philipp II. dem Kühnen aber den Verzicht auf die Freigrafschaft Burgund. Der neue Herzog bekämpfte das Bandenunwesen sowie mehrere Barone der Franche-Comte, die in seine Besitzungen eingedrungen waren. Seine Heirat mit Margarete <../margarete_2_malana_graefin_von_flandern_1405/margarete_2_malana_graefin_von_flandern_1405.html>, der Erb-Tochter Ludwigs von Male, des Grafen von Flandern (Gent, 19. Juni 1369), diente der nachhaltigen Stärkung des französischen Einflusses in Flandern; doch gelang es Philipp II. dem Kühnen, sich vom Versprechen der Rückgabe dreier Kastellaneien (darunter Lille), die sein Schwiegervater Ludwig einst von König Karl V. erhalten hatte, freizumachen. Ebenso hatte Philipp II. der Kühne dem König versprochen, im Herzogtum Burgund die königlichen Steuern erheben zu lassen, löste diese Zusage aber, gestützt auf die Ablehnung der Etats de Bourgogne, nicht ein, was ihm für kurze Zeit die Ungnade eintrug
Der Tod seines Schwiegervaters Ludwig (30. Januar 1384) brachte ihn in den Besitz der Grafschaften Burgund, Flandern, Artois, Nevers und Rethel; er zwang die flämischen Städte in die Botmäßigkeit zurück. Zugleich reorganisierte er die Verwaltung seiner Länder, vor allem durch Einsetzung eines Kanzlers von Burgund, als welcher Jean Canard fungierte, und die Schaffung mehrerer nachgeordneter Kanzleien, während Rakammern (Chambres de Conseil) und Rechenkammern (Chambres de Comptes) in Dijon und Lille etabliert wurden; es erfolgte die Errichtung zentraler Territorialkomplexe (niedere und obere Länder); in Auxonne wurde eine Münzstätte errichtet.
Nach dem Tode Karls V. übernahm Philipp II. der Kühne, gemeinsam mit seinen Brüdern, die Regierung des Königreiches und setzte dessen Ressourcen zu seinen Gunsten ein: So ließ er sich Besitzungen in der Champagne übertragen und nahm das königliche Heer für einen seiner Feldzüge, gegen Geldern, in Anspruch. Als König Karl VI. dem Wahnsinn verfiel (1392-1404), trat Philipp II. der Kühne nochmals in seine alte Machtposition ein und bewerkstelligte insbesonders einen Obödienzentzug des Königreiches Frankreich im Abendländischen Schisma sowie eine Annäherung an England.
Er erwarb die Grafschaft Charolais im Namen seiner Schwiegertochter <../margarete_von_bayern_herzogin_von_burgund_1424/margarete_von_bayern_holland_herzogin_von_burgund_1424.html> (1390) und war mit allen Kräften bemüht, sich das Erbe der Tante seiner Frau, Herzogin Johanna von Brabant <../../avesnes_haus_grafen_von_holland/johanna_herzogin_von_brabant_limburg_1406/johanna_von_brabant_herzogin_von_brabant_limburg_+_1406.html>, zu sichern; es gelang ihm, seinen zweiten Sohn, Antoine <../anton_herzog_von_brabant_1415/anton_von_burgund_herzog_von_brabant_+_1415.html>, als Johannas Nachfolger durchzusetzen. Philipp II. der Kühne betrieb eine aktive Allianzpolitik mit WITTELSBACHERN, HABSBURGERN und LUXEMBURGERN <../../luxemburger/luxemburg_grafen_von.html>, um so seinen vielen Kindern reichen Territorialbesitz zu sichern.
Er entsandte nicht nur Truppenkontingente zur Unterstützung des Deutschen Ordens nach Preußen, sondern schickte auch seinen Sohn Jean ('sans peur') mit einem Heer in den Osten, um die Türken zu bekämpfen. Nach der vernichtenden Niederlage von Nikopolis (1396) mußte er seinen gefangenen Sohn mit einer riesigen Lösegeldsumme, die er aber zum größten Teil aus dem französischen Kronschatz bestritt, freikaufen.
Als prunkliebender, am Hofleben rege teilnehmender Fürst ließ Philipp II. der Kühne, der im Hotel de Conflans residierte, eine Reihe von Schlössern ausbauen und errichtete in der Kartause Champmol bei Dijon die berühmte Grablege der burgundischen Herzogsdynastie, die er von den größten Künstlern seiner Zeit ausgestalten ließ. Die jerrliche Handschriftensammlung auss einer Bibliothek haben den Ruhm des Herzogs bewahrt.

Thiele, Andreas: Tafel 108
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"Erzählende genealogische Stammtafeln zur europäischen Geschichte Band II, Teilband 1 Europäische Kaiser-, Königs- und Fürstenhäuser I Westeuropa"
PHILIPP II. DER KÜHNE
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* 1342, + 1404
Philipp begründete schon am 19.9.1356 in der Schlacht bei Maupertuis, wo er mit seinem Vater in englische Gefangenschaft geriet, seinen Ruf großer Tapferkeit und Ritterlichkeit und erhielt erst 1360 die Freiheit zurück. Er konnte sehr einnehmend und großherzig sein, war sprachlich und politisch sehr gewandt, von überlegenem Verstand und Rat, "der klügste Fürst unter dem Lilienwappen". Philipp war kraftvoll und hochgewachsen und wie die meisten VALOIS recht häßlich; liebte wie die meisten Zeitgenossen Jagd, Federballspiel, Possentheater und den Prunk. Er begründete mit einer souveränen Verachtung für Sparsamkeit den prunkvollen burgundischen Hof mit spätmittelalterlichem Ambiente und dem berühmten steifen Hofzeremoniell. Als bedeutender Kunstfreund und Mäzen legte er bedeutende Sammlungen und Bibliotheken an und schuf mit der von ihm gegründeten Chartreuse von Champmol die Basis für das Aufblühen und die Ausstrahlung der burgundischen Kunst. Seine vielen Schlösser stattete er reich aus. 1360 wurde er Herzog von Tourraine und weilte bis 1363 für den Vater in englischer Geiselhaft. 1363 übergab ihm sein Vater das Herzogtum Burgund, dessen Herzogs-Familie 1361 ausgestorben war, als Apanage und von Kaiser KARL IV. wurde er mit Freiburgund belehnt. Er war damit Erster Pair von Frankreich. Neben dem königlichen Bruder bedeutendstes Mitglied der königlichen Familie, fühlte er sich anfangs noch mehr als Mitglied der königlichen Familie und stellte sich entschieden bereit im Krieg gegen England, wurde Kommandierender der französischen Kavallerie und erzwang mit seiner überlegenen strategischen Haltung 1375 den Waffenstillstand von Brügge, der 1383 erneuert wurde. 1380 wurde Philipp Graf von Mortagne und seit 1383 Graf von Flandern, von Artois, Freiburgund-Besancon, von Nevers und Rethel, d'Etampes und Gien, 1390 Graf von Charolais. 1381 Mitregent mit den Brüdern in Frankreich, sicherte er sich geschickt den führenden Einfluß in einer hausmeierähnlichen Stellung. Philipp schlug 1382 den "Maillotin"-Aufstand in Paris nieder und zusammen mit seinem königlichen Neffen besiegte ein französisches Ritterheer am 27.11.1382 bei Roosebeke die flandrischen Städte. Er ging hart gegen die städtischen Freiheiten vor und geriet damit in Gegensatz zur Hanse. Die Herzogin Johanna unterstützte er in Brabant-Limburg gegen Geldern und wurde dafür aus Dank 1388 zusammen mit seiner Frau als Erbe eingesetzt. Philipp legte 1388 die Regentschaft nieder, wollte sie erneut ergreifen, als sein Neffe Karl VI. 1392 in geistige Umnachtung gefallen war, und geriet hier in Konflikt mit seinem Neffen Ludwig I. von Orleans, zumal er gegen dessen Interessen 1396 erreichte, daß sich Genua dem königlichen Schutz unterstellte, was den Grundstein zum Haß beider Linien zueinander legte. 1396 trug Philipp wesentlich dazu bei, daß ein 28-jähriger Waffenstillstand mit Richard II. von England zustande kam. Als nunmehriger Herr der Grafschaft Flandern mit ihren engen wirtschaftlichen Beziehungen zu England hatte Philipp kein besonderes Interesse an der Weiterführung des Krieges und bahnte durch wirtschaftliche Abmachungen enge Beziehungen zu England an. 1399 wurde er Regent der Bretagne und bekam von WENZEL IV. VON BÖMEN Luxemburg verpfändet, womit sich schon das Großreich abzuzeichnen begann. Philipp starb trotz seines Reichtums infolge seiner Verschwendungssucht so tief verschuldet, dass eine Anleihe aufgenommen werden mußte, um ihn feierlich zu bestatten.
oo 1369
MARGARETE VON FLANDERN
* 1350, + 1405
Tochter und Universalerbin des Grafen Ludwig III. von Flandern, Freiburgund etc., Eventualerbin von Brabant-Limburg, Erbin von Mecheln und Antwerpen, Witwe des Herzogs Philipp I. de Rouvres von Burgund-Dijon etc.

Calmette, Joseph: Seite 42,67,74
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"Die großen Herzöge von Burgund."
Philipp der Kühne, der jüngste Sohn König Johanns des Guten, wurde am 17. Janaur 1342 geboren. Nachdem Philipp einige Zeit über keine eigenen Ländereien verfügt hatte, hatte er zunächst einmal die Touraine als Apanage erhalten. Zu den gleichen Bedingungen tauschte Philipp Burgund gegen die Touraine ein. Am 26. November 1364 hielt er seinen feierlichen Einzug in Dijon und bestätigte dort in der Kirche Sainte-Benigne die Privilegien der Stadt und des Herzogtums.
Von hohen Wuchs, kräftig und gut proportioniert, von massigem Körperbau, ist der neue Herzog von Burgund, wie berichtet wird, ein dunkelhäutiger Mann und häßlich ("noir homne et laid"). Wir dürfen das so verstehen, daß er einen dunklen Teint und scharfgeschnittene Gesichtszüge hatte. Die untere Gesichtspartie zeigt bereits das vorstehende Kinn, das anscheinend über ihn als Zeichen seines Geschlechts dem Haus ÖSTERREICH vererbt wird. Sein für gewöhnlich freundlicher Gesichtsausdruck erhält Glanz vom Feuer der Augen: ihre Lebhaftigkeit drückt in besonderer Weise eine scharfe und geschmeidige Intelligenz aus. Der Herzog ist leutselig, aufgeschlossen, bezaubernd. Scharfblick, Sinn für das Zweckmäßige und rasche Entschlußkraft sind seine hervorstechenden Eigenschaften. Er "war weitschauend", sagt von ihm Froissart. "Er war von überlegenen Verstand und Rat", bestätigt Christine de Pisan. Er war "der klügste Fürst unter dem Lilienwappen", versichert der Mönch von Saint-Denis. Die Porträts, die wir von ihm besitzen, bekräftigen diese kurzen und einprägsamen Elogen, und mehr noch als die anderen Bildwerke die Staue des knienden Herzogs, die der große Bildhauer Claus Sluter am Portal der Chartreuse von Champmol errichtet hat.
Obwohl Philipp, tief durchdrungen von seinen staatsmännischen Pflichten, unablässig mit politischen Aufgaben beschäftigt war, widmete er dennoch dem Vergnügen die ihm zukommende Zeit. Er liebte Komödianten und Possenspieler. Er spielte gern Federball, würfelte auch und war ein leidenschaftlicher Jäger. Die Pflege des Familienlebens lag ihm sehr am Herzen. Für seine Gemahlin, die keineswegs schön war, hatte er wenn schon nicht eine große Liebe, so zumindest eine echte und treue Zuneigung. Stets war er seinen Kindern herzlich zugetan. Andererseits war er ein Freund von festlichem Prunk, begeistert für das glanzvolle fürstliche Leben seiner Zeit und sehr darauf bedacht, sich mit einem seiner Macht würdigen Rahmen zu umgeben. Großmütig, manchmal sogar verschwenderisch, hatte er, wie seine Brüder Johann und Ludwig, eine souveräne Verachtung für Sparsamkeit; die Folgen dieser Haltung werden verschiedentlich in seinem Leben und schließlich in der Stunde seines Todes nur allzu offenkundig. Er war ein passionierter Sammler und ein Kunstfreund mit Kennerblick; als Mäzen hat er eine so bedeutende Rolle gespielt, daß wir dieser einen Seite seiner Aktivitäten ein eigenes Kapitel widmen müssen.
Um die Erfolge hinsichtlich ihrer Besitzungen besser zu sichern (das heißt gegen die LUXEMBURGER), legte es die Herzogin-Witwe Johanna im Einverständnis mit Philipp darauf an, Schutz gewährende Heiraten zu stiften. Es ging darum, die Kinder des Herzogs Albrecht I. von Bayern mit den Kindern des Herzogs von Burgund zu verbinden. Graf Johann von Nevers, der älteste Sohn und Erbe des Herzogs von Burgund, solle sich mit Margarete von Bayern <../margarete_von_bayern_herzogin_von_burgund_1424/margarete_von_bayern_holland_herzogin_von_burgund_1424.html> vermählen, Wilhelm von Bayern mit Margarete von Burgund. Die bayerisch-burgundischen Hochzeiten wurden mit ungeheurem Prachtaufwand am 12. April 1385 in Cambrai gefeiert. Im übrigen wurde die Heiratspolitik zu einer ausgesprochenen Spezialität des Hauses BURGUND. 1393 verheiratete Philipp der Kühne seine Tochter Katharina mit Leopold IV. von Österreich und seine Tochter Maria mit Amadeus VIII. von Savoyen.
Wie wir bereits sahen, hatte er seine Tochter Maria mit Amadeus von Savoyen vermählt; weil jedoch noch im zarten Alter, blieb das junge Mädchen einstweilen am väterlichen Hof. 1403 wurde sie nach Savoyen gebracht. Die Enkelin Margarete war dem Dauphin Karl versprochen, hatte aber als Kind diesen ersten Verlobten verloren. Sie wurde dann dazu ausersehen, die Frau des Dauphin Ludwigs zu werden, der als präsumtiver Erbe des Königreiches der "Fleurs de Lis" der Nachfolger seines Bruders war.
Tod
Anton <../anton_herzog_von_brabant_1415/anton_von_burgund_herzog_von_brabant_+_1415.html>, den sein Vater zum Grafen von Rethel erhoben hatte, machte sich auf den Weg zu seiner Tante. Sie empfing ihn in Brüssel; der Herzog von Burgund gab aus diesem Anlaß dort großartige Feste. Aber am Ende seines Aufenthaltes holte er sich die Grippe, eine infektiöse Grippe, die gerade zu jener Zeit überall im Lande große Verheerungen anrichteet. Er fühlte, daß er schwer krank war und ließ sich in das benachbarte Schloß Hal bringen, wo er am 27. April 1404, im dreiundsechszigsten Lebensjahr, starb.
Sein ganzes Leben lang war er auf der Suche nach Geldquellen gewesen. Ein plötzlicher, unvorhergesehener Tod hatte ihn in einem jener häufigen Momente seines Lebens überrascht, da er aller Mittel entblößt war. Er hinterließ weder das nötige Geld zur Deckung der Kosten seines Begräbnisses noch für die Begleichung der laufenden Ausgaben. Die Geldnot war an einem Punkt angelangt, daß die Herzogin Margarete befürchtete, die Aktiva der ehelichen Gütergemeinschaft seien nicht ausreichend zur Abfindung der Gläubiger, und tat das, "was die armseligsten Bürgerfrauen, nicht ohne sich zu schämen, tun: sie verzichtete rechtskräftig auf die Gütergemeinschaft und legte als sichtbares Zeichen dieses Verzichts, sagt man, wie es der Brauch gebot, ihre Börse, ihren Schlüsselbund und ihren Gürtel auf den Sarg ihres Gemahls."
Am Tag nach dem Tod des Herzogs gingen seine Söhne beherzt zu einem Geldverleiher und versetzten sein Silberzeug, damit die notwendigsten Bestattungskosten bezahlt werden konnten. Ein benachbartes Kloster lieh die Kutte eines Kartäusermönchs, mit der Philipp auf seinem Totenbett bekleidet sein wollte. Es bildete sich ein Leichenzug, der den Toten mit dem erforderlichen Pomp in Tagesmärschen von dem Sitz in Brabant, den das Schicksal zu seinem letzten Aufenthalt auf Erden bestimmt hatte, bis zur herzoglichen Hauptstadt brachte.
Erwerbungen:
Touraine Herzogtum - Apanage
Burgund Herzogtum - Apanage
Burgund Grafschaft - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Flandern Grafschaft - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Nevers Grafschaft - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Rethel Grafschaft - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Artois Grafschaft - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Mecheln Baronie - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Salins Baronie - Erbe seiner Gemahlin seit 30. Januar 1384
Limburg Herzogtum - 1393 Schenkung an Philipp [Philipps Gemahlin Margarete war die Nichte der Herzogin Johanna von Brabant (+ 1406)]
Brabant Herzogtum - Philipps Gemahlin Margarete war die Nichte der Herzogin Johanna von Brabant (+ 1406)
Charolais Grafschaft - Kauf für 60.000 livres vom Dos seiner Schwiegertochter Margarete von Bayern
Mortagne Grafschaft -

19.6.1369
oo 2. Margarete von Flandern, Erb-Tochter des Grafen Ludwig III.
13.4.1350-16.3.1405

Kinder:
Johann Ohnefurcht
28.5.1371-10.9.1419
Karl
3.1372-13.7.1373
Anton Graf von Rethel
1384-25.10.1415
Margarete
1374-8.3.1441
12.4.1385
oo Wilhelm II. Herzog von Bayern
5.4.1365-31.5.1417
Ludwig
5.1377-10.1.1378
Katharina
1378-26.1.1425
Pontoise Dijon
1393
oo Leopold IV. Herzog von Österreich
1371-3.6.1411
Bona
1379-10.9.1399
Maria
8.1380-2./3.10.1428
1401
oo Amadeus VIII. Graf von Savoyen
4.9.1383-7.1.1451
Philipp Graf von Nevers
10.1389-25.10.1415
Illegitim
Marie d'Auberchicourt
Henri du Risoir
- 1409
oo Aleyde de Dijon
-

Literatur:
-----------
Calmette, Joseph: Die großen Herzöge von Burgund. Eugen Diederichs Verlag München 1996 Seite 27,37-86,88,107,119,125,131-136,138,152,237,250,253,257,265,272,278,280,294,297,301,343 - Ehlers Joachim: Geschichte Frankreichs im Mittelalter. W. Kohlhammer GmbH 1987 Seite 227,254, 257-261,264,267,270-279,281-290,292-298,309 - Ehlers Joachim/Müller Heribert/Schneidmüller Bernd: Die französischen Könige des Mittelalters. Von Odo bis Karl VIII. 888-1498. Verlag C. H. Beck München 1996 Seite 267,276,279,282,287,289,294,296,305,309,313 - Erbe Michael: Belgien, Niederlande, Luxemburg. Geschichte des niederländischen Raumes. W. Kohlhammer GmbH Stuttgart Berlin Köln 1993 Seite 42,45,69,64,72 - Favier, Jean: Frankreich im Zeitalter der Landesherrschaft 1000-1515. Deutsche Verlagsanstalt Stuttgart 1989 Seite 359-363,365,373,378,412,468 - Hoensch, Jörg K.: Die Luxemburger. Eine spätmittelalterliche Dynastie gesamteuropäischer Bedeutung 1308-1437. Verlag W. Kohlhammer 2000 Seite 160,203,205,224 - Hoensch, Jörg K.: Kaiser Sigismund. Herrscher an der Schwelle zur Neuzeit 1368-1437. Verlag C.H. Beck München 1996 Seite 82,91 - Jurewitz-Freischmidt Sylvia: Die Herrinnen der Loire-Schlösser. Königinnen und Mätressen um den Lilienthron. Casimir Katz Verlag, Gernsbach 1996 Seite 10,17,22,24-26,29-31 - Kendall Paul Murray: Ludwig XI. König von Frankreich 1423-1483 Verlag Callway München 1979 Seite 89 - Leo Heinrich Dr.: Zwölf Bücher niederländischer Geschichten. Eduard Anton Verlag Halle 1832 - Markale, Jean: Isabeau de Bavarie. Eugen Diederichs Verlag München 1994 - Martin Jean-Joseph: Die Valois. Edition Rencontre Lausanne 1969 - Saller Martin: Königin Isabeau. Die Wittelsbacherin auf dem Lilienthron. Nymphenburger Verlagshandlung GmbH, München 1979 Seite 26-31,34,36-40, 45-48,55,57,62,74,78,85,88,95-99,102,104,106,111,114,119,126,136,141,145,148-157,166,273,300 - Pohl, Walter/ Vocelka, Karl: Die Habsburger. Eine europäische Familiengeschichte (Hg) Brigitte Vacha Styria Verlag Graz/Wien/Köln 1996 Seite 126 - Schaab Meinrad: Geschichte der Kurpfalz. Verlag W. Kohlhammer 1988 Seite 173 - Schelle, Klaus: Karl der Kühne. Burgund zwischen Lilienbanner und Reichsadler. Magnus Verlag Essen Seite 15,22,60 - Schnith Karl: Frauen des Mittelalters in Lebensbildern. Verlag Styria Graz Wien Köln 1997 Seite 356,360,362,364,373 - Seibt Ferdinand: Karl V. Der Kaiser und die Reformation.Wolf Jobst Siedler Verlag 1990 Seite 18 - Tamussino Ursula: Margarete von Österreich. Diplomatin der Renaissance Verlag Styria Graz Wien Köln 1995 Seite 13 - Tamussino Ursula: Maria von Ungarn. Ein Leben im Dienst der Casa de Austria Verlag Styria Graz Wien Köln 1998 Seite 178,182,211,220 - Thiele, Andreas: Erzählende genealogische Stammtafeln zur europäischen Geschichte Band II, Teilband 1 Europäische Kaiser-, Königs- und Fürstenhäuser I Westeuropa, R.G. Fischer Verlag 1993 Tafel 50,108 - Treffer Gerd: Die französischen Königinnen. Von Bertrada bis Marie Antoinette (8.-18. Jahrhundert) Verlag Friedrich Pustet Regensburg 1996 Seite 187,198,203 - Tuchmann Barbara: Der ferne Spiegel. Deutscher Taschenbuch Verlag München 1995 Seite 147,183,221,226,327,338,353,377,379,382,391,461,492, 504 - Vossen Carl: Maria von Burgund. Des Hauses Habsburg Kronjuwel. Seewald Verlag Stuttgart 1982 Seite 22,170 -

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Sources

  1. Bienvenue sur les pages persos des Freenautes, AUREJAC.GED, http://arnaud.aurejac.free.fr / n/a
  2. Hollandse_gravenhuizen@NS16871@, Hollandse_gravenhuizen @NS16871@

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Historical events

  • Graaf Albrecht (Beiers Huis) was from 1389 till 1404 sovereign of the Netherlands (also known as Graafschap Holland)
  • Graaf Willem VI (Beiers Huis) was from 1404 till 1417 sovereign of the Netherlands (also known as Graafschap Holland)
  • In the year 1404: Source: Wikipedia
    • June 14 » Welsh rebel leader Owain Glyndŵr, having declared himself Prince of Wales, allies himself with the French against King Henry IV of England.


Same birth/death day

Source: Wikipedia

Source: Wikipedia


About the surname Bourgogne


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Richard Remmé, "Genealogy Richard Remmé, The Hague, Netherlands", database, Genealogy Online (https://www.genealogieonline.nl/genealogie-richard-remme/I74990.php : accessed May 1, 2024), "Philips II 'Le Hardi de stoute' [Valois] de (Philips II 'Le Hardi, de stoute' [Valois] de) Bourgogne Hertog van Bourgondie (Valois) (1342-1404)".