Arbre généalogique van Wincoop - Sandkuijl » Humbert II de Savoie (Maurienne) comte en Maurienne, Marquis de Suse et comte de Turin (> 1065-1103)

Données personnelles Humbert II de Savoie (Maurienne) comte en Maurienne, Marquis de Suse et comte de Turin 

Source 1

Famille de Humbert II de Savoie (Maurienne) comte en Maurienne, Marquis de Suse et comte de Turin

Il est marié avec Gisèle de Bourgogne.

Ils se sont mariés


Enfant(s):


  • Le couple a des ancêtres communs.
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    Barre chronologique Humbert II de Savoie (Maurienne) comte en Maurienne, Marquis de Suse et comte de Turin

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Parenté Humbert II de Savoie (Maurienne) comte en Maurienne, Marquis de Suse et comte de Turin



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Les sources

  1. Wikipedia, accessed 07-03-2020), https://fr.wikipedia.org/wiki/Humbert_II_de_Savoie
    Humbert II de Savoie
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    Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Humbert II et Humbert de Savoie.
    Humbert II
    de Maurienne, de Savoie
    Image illustrative de l'article Humbert II de Savoie
    Humbert II, le Renforcé
    Titre comte en Maurienne
    (1080-1103)
    Autres titres Marquis de Suse et comte de Turin
    Prédécesseur Amédée II de Savoie
    Successeur Amédée III de Savoie
    Autres fonctions Abbé laïc de abbaye territoriale de Saint-Maurice d'Agaune
    Biographie
    Dynastie Humbertiens
    Maison de Savoie
    Naissance Après 1065
    Décès v. 14 octobre 1103
    Salins
    Père Amédée II de Savoie
    Mère Jeanne de Genève
    Conjoint Gisèle de Bourgogne
    Enfants Amédée
    Guillaume
    Humbert
    Guy
    Reynald
    Adèle
    Agnès
    Blason de Humbert IIde Maurienne, de Savoie
    modifier Consultez la documentation du modèle
    Humbert II de Maurienne ou dit plus couramment Humbert II de Savoie, dit le Renforcé (parfois le Gros), né après 1065 et mort le 14 octobre 1103 au château de Salins, en Tarentaise, est le sixième comte en Maurienne, également seigneur du Bugey, d'Aoste et du Chablais et marquis de Suse (v. 1078-1080), fils du comte Amédée II de Savoie.

    Les Humbertiens, à l'origine de la maison de Savoie, bien qu'étant implantés dans le comté de Savoie, ne portent le titre de comte de Savoie qu'à partir du comte Amédée III, à partir de 1143.


    Sommaire
    1 Biographie
    1.1 Enfance
    1.2 Affirmation du pouvoir comtal
    1.3 Gestion de ses terres
    1.4 Mort et lieu de sépulture
    2 Famille
    3 Titres et possessions
    4 Pour aller plus loin
    4.1 Bibliographie
    4.2 Articles connexes
    4.3 Liens externes
    5 Notes et références
    5.1 Notes
    5.1.1 Régeste genevois
    5.2 Références
    Biographie
    Enfance
    Humbert est le fils du comte Amédée II de Savoie (v. 1050-1080) et de Jeanne de Genève, fille du comte de Genève Gérold II1. Ils eurent trois filles et un garçon1. Selon les ouvrages, il est considéré comme l'ainé ou le second de la fratrie. Aucune date n'est avancée2.

    Selon la tradition historiographique, il est surnommé le Renforcé, c'est-à-dire plus que fort, parfois le Gros3,4, en raison très probablement d'une taille et d'un poids remarquable pour l'époque. On trouve ce surnom, d'après Samuel Guichenon, dans une donation d'Amédée III à l'abbaye de Rivalta en Piémont, ainsi que dans la Charte de fondation du prieuré d'Innimond en Bugey4.

    Affirmation du pouvoir comtal
    Humbert succède à son père probablement en 10803. Il semble fort probable qu'il soit mineur à ce moment-là et que la régence soit confiée, selon l'interprétation historiographique, à sa grand-mère Adélaïde de Suse5.

    Dès le début de son règne, Humbert II doit faire face à de nombreux ennemis, sur ses propres terres et dans les seigneuries voisines. À son avènement, les terres de Humbert II étaient seulement constituées de la majeure partie de la vallée de la Maurienne, d'une partie de la vallée de la Tarentaise (aux mains de l'archevêque), du Piémont, du comté d'Aoste le duché de Turin, du marquisat de Suse, du Bugey, du gouvernement du Chablais6.

    Son pouvoir est menacé par les princes voisins contre lesquels il va devoir affirmer son pouvoir au cours de ses vingt-trois années :

    deux prélats sont plus riches et plus puissants que lui, l'évêque de Maurienne, dont l'évêché avait été refondé en 1061, et l'archevêque-comte de Tarentaise ;
    des petits barons, des grandes vallées alpines, relevant directement de l'Empereur, avec à leur tête le vicomte de Briançon ;
    de grands seigneurs piémontais, qui contestent et revendiquent une part de l'héritage piémontais ;
    de grands seigneurs, comme Aimon de Chambéry et Aymon Ier de Genève.
    En Tarentaise, le pouvoir est partagé entre les seigneurs de Briançon, qui auraient été faits vicomte de Tarentaise par les Humbertiens7 ou par l'Empereur Henri IV du Saint-Empire8 au cours du xe siècle, et les archevêques-comtes de Tarentaise qui contrôlent principalement la basse et moyenne vallée, excepté l'enclave du Pas de Briançon et son château entre les mains des vicomtes. En cette fin de siècle, les populations locales perçoivent mal la volonté de l'archevêque Héraclius à vouloir asseoir son pouvoir temporel sur la vallée et surtout la cité de Moûtiers9. Le vicomte Aimery (Emeric) de Briançon, soutenus par d'autres seigneurs de la vallée, se soulève contre l'archevêque9. Ce dernier fait appel à l'Empereur Henri IV pour lui venir en aide qui fait intervenir le comte Humbert9. Les hommes du vicomte de Briançon sont défaits vers 108210. Humbert profite de cette victoire pour s'imposer en Tarentaise, permettant ainsi de relier ses différents territoires du Val d'Aoste, de Savoie et de Maurienne9, s'installant notamment au château de Salins11. Il semble que, selon certains historiens sans toutefois en avoir la preuve, cela soit à cette même période le comte Humbert avait reçu les droits de vicaire de l'empire de l'Empereur et qu'il fit prévaloir sur l'archevêque de Tarentaise12. Cependant, cette conquête de la Tarentaise est à nuancer. L'archiviste paléographe Jacqueline Roubert indique, dans son ouvrage sur La seigneurie des Archevêques Comtes de Tarentaise (1961), 13. La siège du château de Briançon (et le contrôle de la vallée) se déroule deux siècles plus tard13.

    Selon la tradition Humbert fait entrer, par droit de conquête, le bourg de Salins et son château dans le domaine comtal10, en en faisant une rivale direct de la cité de Moûtiers11. Là encore, Jacqueline Roubert s'interroge : 13

    Le comte Humbert tient désormais pour vassaux les vicomtes de Maurienne, les La Chambre, ainsi que de nombreux seigneurs dont les évêques d'Aoste et de Maurienne14.

    Vers 1090, il épouse Gilles ou Wille ou encore Gisèle de Bourgogne-Ivrée, fille du comte de Bourgogne et de Mâcon, Guillaume Ier de Bourgogne3,15. Il a pour beau-frère le futur pape Calixte II, élu en 1119.

    Gestion de ses terres
    Afin de gérer son héritage courant du Bugey au Piémont, il met en place le système de mestralie ou métralie, un officier chargé d'administrer ses terres de Tarentaise, Vaud, Haut-Chablais et de Suse3, ou s'appuie également sur les vicomtes dans les différents comtés (Val d'Aoste, Maurienne, Tarentaise)16. On retrouve ainsi les La Chambre pour la Maurienne, les Briançon en Tarentaise, les Chambéry en Savoie, ainsi que les Bocsozel en Sermorens et les Grammont en Bugey17. Les membres de ces familles forment parfois le conseil comtal17.


    Abbaye d'Aulps, en Chablais.
    Il dirige également son action vers les prieurés à qui il fait des donations ou en pratiquant l'avouerie14,16. En contrepartie de la protection aux monastères, le comte accroît également ses droits et donc son autorité sur les différents territoires14. Il fait une donation au prieuré de Yenne en Bugey ou au prieuré de Saint-Victor de Genève dans le comté de Genève14. Il autorise la donation pour la fondation du prieuré de Bellevaux en Bauges (1091)ReG 1. Il est à l'origine de la fondation, vers 1094 de l'abbaye d'Aulps dans le ChablaisReG 2,18 Il fonde également le prieuré d'Innimond (ou Innimont) en Bugey14,16. Lorsque l'évêque d'Aoste Boson fait des donations à Cluny et Saint-Victor de Genève, vers 1082/1102, l'acte est approuvé par les avoués dont le comte HumbertReG 3.

    Il effectue en 1101 un pèlerinage à Rome auprès du pape19. Favorable à la première croisade20, certains historiens ont considéré ce déplacement à Rome comme l'engagement du comte à se rendre en Terre sainte19.

    Du côté du Piémont et de la vallée de Suse, il affirme son pouvoir sur les villes et passe également des accords avec les monastères, notamment avec la puissante abbaye de Saint-Michel-de-la-Cluse14. Humbert créé un atelier de monnaie à Suse14. Toutefois, il semble avoir du mal à maintenir son pouvoir dans la marche de Turin21,3. À la mort de sa grand-mère, la comtesse Adélaïde de Suse, en 1091, l'empereur Henri IV réclame l'héritage de sa femme, Berthe, fille d'Adélaïde et fait occuper le PIémont22. Le comte Humbert, de retour de Rome, parvient à garder le contrôle du Val de Suse en faisant lever ses troupes22,21. Par ailleurs, ses droits sur le versant italien sont contestés par les seigneurs de Saluces, Boniface marquis de Savone, le marquis Boniface de Montferrat et quelques autres grands seigneurs21. Après de sanglants combats, il doit se défaire d'une partie de son héritage piémontais afin de préserver l'essentiel de l'héritage d'Adélaïde, sa grand-mère21.

    Mort et lieu de sépulture
    La tradition et les historiens font mourir le comte en 1103, dans le château de Salins10,11. Il serait ainsi inhumé dans la cathédrale Saint-Pierre de Moûtiers3,10,11. Jacqueline Roubert s'interroge, dans la mesure où la possession n'est pas prouvée, 13.

    Son fils aîné, Amédée devient comte sous le nom d'Amédée III de Savoie3,23. Un conseil comtal est mis en place avec la comtesse, l'évêque de Maurienne, Conon Ier, le comte de Genève, Aymon Ier et le grand seigneur Guy de Miribel23. Gisèle de Bourgogne devient toutefois la nouvelle régente de fait du comté23,24. Il est placé sous l'autorité du comte Aymon Ier de Genève, nommé tutor23,24.

    Famille

    Adèle de Savoie d'après l'Histoire générale de France depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours: illustrée et expliquée par les Monuments de toutes les Époques.
    Vers 1090, il épouse Gisèle de Bourgogne (ou Gilles, ou Wille) (1075 - après 1133), fille de Guillaume Ier de Bourgogne dit , comte de Bourgogne et de Mâcon, qui lui donne six enfants3,15.

    Son fils aîné, Amédée (1095 † 1149), lui succède à la tête de la principauté sous le nom d'Amédée III. Les fils suivants, pour la plupart, poursuivent une carrière ecclésiastique. Guillaume († 1130) est chanoine à Liège, Humbert († 1131), dont la vie est inconnue à ce jour, Guy devient abbé à Namur et, enfin, Reynald ou Raynaud est prévôt de Saint-Maurice d'Agaune († après 1150)3,25.

    Le couple a deux filles. Adélaïde (v.1100 † 1154) épouse le roi de France Louis VI le Gros, le 3 août 1115, selon le médiéviste, Andrew W. Lewis26, et sa cadette, Agnès (v. 1105 † ap.1180), est mariée à Archambaud VII de Bourbon († 1171), sire de Bourbon3. Adélaïde porte le prénom de son aïeule Adélaïde de Suse27.

    Titres et possessions
    Humbert II hérite des différents titres de son père sur les territoires de la Maurienne, de la Savoie Propre, du Chablais, du Val d'Aoste ou encore du Bugey. Il semble toujours disposer des droits (Val de Suse), étant donné qu'il y fait toujours des donations28, et devrait porter théoriquement le titre comtal de Turin. Il n'existe cependant pas de documents originaux dans lesquels il porte le titre de marquis en Italie28.

    L'historien savoyard, Léon Menabrea, relève dans les différents documents les usages de signatures suivants : Ego Umbertus, Maurianensis comes (1092), Ego Umbertus Maurianensis comes et Italiæ marchio (1093), Ego Umbertus comes (1098) ou encore Ego Umbertus, gratia Dei, comes (1100)29.

    Pour aller plus loin
    Document utilisé pour la rédaction de l'article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    Bibliographie
    Réjane Brondy, Bernard Demotz, Jean-Pierre Leguay, Histoire de Savoie - La Savoie de l'an mil à la Réforme, xie au début du xvie siècle, Ouest France Université, 1984, 626 p. (ISBN 2-85882-536-X). .
    Bernard Demotz, Le comté de Savoie du xie au xve siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, 2000, 496 p. (ISBN 2-05101-676-3). .
    Michel Germain, Personnages illustres des Savoie, Autre Vue, 2007, 619 p. (ISBN 978-2-9156-8815-3). .
    Charles William Previté-Orton, The Early History of the House of Savoy: 1000-1233, Cambridge, Cambridge University Press (réimpr. 2013) (1re éd. 1912), 512 p. (lire en ligne [archive]), p. 261-278, Chapter III The attempt to recover the mark of Turin - Section I. Humbert II.
    Articles connexes
    Maison de Savoie
    Liste des comtes et ducs de Savoie
    Comté de Savoie
    Comté de Maurienne
    Histoire de la Savoie au Moyen Âge
    Liens externes
    Notices d'autorité : Fichier d'autorité international virtuelGemeinsame Normdatei
    Sur les autres projets Wikimedia :

    Humbert II de Savoie, sur Wikimedia Commons
    Dossiers sur le site des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - Sabaudia.org :
    Nicolas Carrier, [archive] (consulté le 19 mai 2015), p. 14 ;
    Document utilisé pour la rédaction de l'article André Palluel-Guillard, [archive] (consulté le 29 avril 2015), dont la fiche page 9 ;
    Document utilisé pour la rédaction de l'article Guido Castelnuovo, [archive] (consulté le 19 mai 2015) (8 pages et annexes) ;
    Notes et références
    Notes
    Régeste genevois
    Actes publiés dans le Régeste genevois (1866), que l'on peut consulter en ligne dans le Répertoire chronologique des sources sur le site digi-archives.org de la Fondation des Archives historiques de l'Abbaye de Saint-Maurice (Suisse) :

    Acte du 1er janvier 1091 (REG 0/0/1/224 [archive]).
    Acte du 1er janvier 1094 (REG 0/0/1/228 [archive]).
    Acte entre 1082/1102 (REG 0/0/1/232 [archive]).
    Références
    Palluel-Guillard, p. 8.
    Claude Genoux, Histoire de Savoie depuis la domination romaine jusqu'à nos jours, F. Saillet, 1852, 482 p. (lire en ligne [archive]), p. 85.
    Palluel-Guillard, p. 9.
    Samuel Guichenon, Histoire généalogique de la Royale Maison de Savoie ou Histoire généalogique de la Royale Maison de Savoie justifiée par titres, fondations de monastères, manuscrits, anciens monumens, histoires, et autres preuves authentiques, chez Jean-Michel Briolo, 1660, pp. 216-217 (lire en ligne [archive]).
    Demotz, 2000, p. 165.
    Claude Genoux, Histoire de Savoie depuis la domination romaine jusqu'à nos jours, F. Saillet, 1852, 482 p. (lire en ligne [archive]), p. 89.
    François Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, 1982, 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 14.
    Daprès Léon Vercoutère, auteur de Les seigneurs de Briançon et d'Aigueblanche en Tarentaise (1933), repris par Bernard Bligny, L'église et les ordres religieux dans le royaume de Bourgogne, Impr. Allier, 1960, 535 p. (ISBN 978-2-7171-0159-1), p. 138.
    Claude Genoux, Histoire de Savoie depuis la domination romaine jusqu'à nos jours, F. Saillet, 1852, 482 p. (lire en ligne [archive]), p. 86-88.
    Académie de la Val d'Isère, Recueil des mémoires et documents, Volume 2, 1868, p. 306.
    Étienne-Louis Borrel, Les monuments anciens de la Tarentaise (Savoie), Paris, Ducher, 1884, 334 p. (lire en ligne [archive]), p. 150-153
    Étienne-Louis Borrel (1822-1906), architecte et historien de la Savoie, vice-président de l'Académie de la Val d'Isère.
    Jules Philippe, Les Gloires de la Savoie, J.-B. Clarey, 1863, 318 p. (lire en ligne [archive]), p. 274, notice.
    Jacqueline Roubert, , Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, impr. Chatelain (Chambéry), t. 5, no 6,? 1961, p. 67-69 (lire en ligne [archive]).
    Histoire de Savoie, 1984, p. 30.
    Claude Genoux, Histoire de Savoie depuis la domination romaine jusqu'à nos jours, F. Saillet, 1852, 482 p. (lire en ligne [archive]), p. 85-86.
    Demotz, 2000, p. 24.
    Bernard Demotz, , dans Alain Marchandisse, Jean-Louis Kuppe, À l'ombre du pouvoir: les entourages princiers au Moyen Age, Librairie Droz, 2003, 412 p. (ISBN 978-2-87019-283-2, lire en ligne [archive]), p. 271.
    Christian Sorrel, Histoire de la Savoie en images : images, récits, La Fontaine de Siloé, coll. , 2006, 461 p. (ISBN 2-84206-347-3), p. 136-137.
    Claude Genoux, Histoire de Savoie depuis la domination romaine jusqu'à nos jours, F. Saillet, 1852, 482 p. (lire en ligne [archive]), p. 88.
    Charles Dufayard, Histoire de Savoie, Boivin et Cie, 1914, 328 p., p. 67.
    Claude Genoux, Histoire de Savoie depuis la domination romaine jusqu'à nos jours, F. Saillet, 1852, 482 p. (lire en ligne [archive]), p. 88-89.
    Demotz, 2000, p. 224.
    Previté-Orton, 1912, p. 278 (lire en ligne [archive]).
    Laurent Ripart, , Cahiers lausannois d'histoire médiévale,? 2000, p. 295-331 (lire en ligne [archive], consulté en décembre 2017).
    Léon Dupont Lachenal, , Les Echos de Saint-Maurice, 1940, tome 39, p. 9-23. ([PDF] lire en ligne [archive])
    Andrew W. Lewis, , Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 148, no 1,? 1990, p. 5-16 (lire en ligne [archive]).
    Laurent Ripart, , dans Patrick Corbet, Monique Goullet, Dominique Iogna-Prat, Adélaïde de Bourgogne. Genèse et représentations d'une sainteté impériale, Comité des travaux historiques et scientifiques / Éditions universitaires de Dijon, coll. , 2002, 230 p. (ISBN 2-7355-0497-2, lire en ligne [archive]).
    André Perret, Les institutions dans l'ancienne Savoie : Du onzième au seizième siècle, Chambéry, Conseil départemental d'animation culturelle, 1981, 87 p. (ASIN B0007AXLD6, lire en ligne [archive]), p. 43.
    Léon Menabrea, De la marche des études historiques en Savoie et en Piémont, depuis le xive siècle jusqu'à nos jours, et des développements dont ces études sont encore susceptibles, Puthod, 1839, 117 p. (lire en ligne [archive]), p. 93.
    Portail du Moyen Âge central Portail de l'histoire de la Savoie
    Catégories : Maison de SavoieComte de SavoieAbbé laïc de Saint-Maurice d'AgauneDécès en 1103Décès à Moûtiers[+]


Même jour de naissance/décès

Source: Wikipedia


Sur le nom de famille De Savoie (Maurienne)


Lors de la copie des données de cet arbre généalogique, veuillez inclure une référence à l'origine:
Chris van Wincoop, "Arbre généalogique van Wincoop - Sandkuijl", base de données, Généalogie Online (https://www.genealogieonline.nl/stambooom-van-wincoop-sandkuijl/I5145.php : consultée 23 juin 2024), "Humbert II de Savoie (Maurienne) comte en Maurienne, Marquis de Suse et comte de Turin (> 1065-1103)".