Hij had een relatie met Isabeau de Lens-de-Licques.
Hist de la Ville d'Amiens:
catalogue des prevots royaux:
Jean de Canteleu, 1534,
Francois de Canteleu, 1541.
1545 Pierre de Canteleu est nommé échévin d'Amiens.
Adrien de la Morliere, Les Antiquitez de la Ville d'Amiens, 1642, p. 356, nomme Francois de Canteleu comme Prevost Royal et Gouverneur d'Amiens en 1551:
1551 Francois de Canteleu, Sieur d'Orbendas, Receveur Général des Finances en Picardie
Le Livre d'or de la Ville d'Amiens 1551: Sire Francois de Canteleu maieur.
Le Livre d'or de la Ville d'Amiens 1552: Sire Francois de Canteleu maieur.
Le Livre d'or de la Ville d'Amiens 1553: Sire Francois de Canteleu échévin du jour, quand Charles de Rincheval est échévin du lendemain.
Après cette année les noms des elus changent complètement, mais l'an 1559 Sire Francois de Canteleu est elu échévin du jour, nommé à la deuxieme position.
Le 28 octobre 1551, on avait élu maire, sur la recommandation du duc de Vendôme, gouverneur de Picardie, François de Canteleu, conseiller et receveur général des finances. (Biblioth. nation.,
collect. de D. Grenier, XIVe paq., art. 8, p. 181.)
Le 28 octobre 1552, le duc de Vendôme obtint que François de Canteleu fût continué.
(Id., ibid., p. i83.). La nomination de Mc Adrien Villain eut lieu le 28 octobre 1553.
Il est décédé avant le 3 novembre 1563.
Francois de Canteleu, Conseiller et Receveur Général des Finances du Roi à Amiens, fut établis Capitaine par Lettres du Roi du 5 May 1562. Le Roi dit dans cette lettre qu'ayant pour agréable la Charge qui lui a été donnée de garder les Clefs des Portes & Fortresses de la Ville. Il lui enjoint de tenir cette Charge, ainsi que l'Administration et le Gouvernement de la Ville, jusqu'à ce qu'il y ait un Mayeur.
François Canteleu prend dans l'échevinage du 27 mai 1562, la qualité d'écuyer, seigneur d'Orbendas, conseiller du roy nostre sire et receveur général de ses finances au pays de Picardie, commis de par ledit sire à l'exercice de l'administration, garde et gouvernement de la ville d'Amiens.
Arch. de l'hôtel de ville d'Amiens, reg. aux chartes coté e, fol. 319 v° et 3ao r°.
page 270: le roi donna les clefs de la ville a Francois de Canteleu.
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BULLETINS DE LA SOCIÉTÉ DES ANTIQUAIRES DE PICARDIE; Tome XXXI - 1924-1925, p.686
Mais Guillaume Coppin avait d'autres préoccupations que de s'adonner tout entier à son metier de peintre. Vers 1560, comme on le sait, la Réforme avait fait d'énormes progrès et un grand nombre d'adeptes en Picardie et notamment dans Amiens, qui devait être plus tard le dernier rempart de la Ligue.
La population en fut profondément troublée. Le peintre Guillaume Coppin fut un des propagateurs les plus ardents et des plus actifs des idées nouvelles. En janvier 1561 v. st., des prêches se tinrent dans sa maison à l'occasion desquels il s'éleva un débat assez vif parmi les échevins (2). Le jour de l'Ascension qui suivit, il fallut protéger la traditionnelle procession générale par des forces imposantes de police et fermer les portes de la ville (3). Ce fut bien pis lorsque aux élections municipales du 28 octobre 1561, la majorité de l'échevinage et la mairie eurent passé aux huguenots.
Il s'ensuivit des bagarres et des émeutes dont la plus grave fut celle du 8 décembre. Mais en mai de l'année suivante 1562, le gouvernement central ayant passé aux catholiques, le maieur Huguenot Firmin Lecat, est brusquement révoqué et remplacé par François de Canteleu, receveur et général des finances en Picardie, toute liberté retirée aux protestants. Lors de la procession de l'Ascension qui suivit, une vingtaine de ceux-ci, parmi lesquels Guillaume Coppin et Robert Flameng, enlumineur, refusèrent de tendre leurs maisons, malgré l'ordonnance publiée par l'échevinage à cet effet. Le 3 juin, Catherine de Médicis assura la majorité de l'échevinage aux catholiques en add'office à celui-ci dix nouveaux échevins.
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Une lettre du roi finit par: "Car tel est nostre plaisir. Donné à Paris le 5e jour de may 1562, signé Charles, et plus bas Bourdin, etc. Et au doz sont escriptz ces motz: A nostre amé et féal conseillier et recepveur général de nos finances estably à Amyens, maistre François de Canteleu."
François Canteleu prend dans l'échevinage du 27 mai, la qualité d'écuyer, seigneur d'Orbendas, conseiller du roy nostre sire et receveur général de ses finances au pays de Picardie, commis de par ledit sire à l'exercice de l'administration, garde et gouvernement de la ville d'Amiens.
Arch. de l'hôtel de ville d'Amiens, reg. aux chartes coté e, fol. 319 v° et 32o r°.
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....15562, 22. mai.
Le 22 mai, on annonça à rassemblée une invitation de se trouver à 10 heures du matin chez le
seigneur évesque d'Amiens, monseigneur de Créqui. A dix heures le corps de ville s'estant
transporté à l'évesché, monseigneur de Créqui fit lire une lettre du roi datée du 13 mai, qui
déclaroit que son intention estoit de ne souffrir dans ses villes frontières ni hors aucuns prédicans, ministres; que par conséquent on eust à deffendre à ceux qui estoient à Amiens de tenir
presche ni assemblée, d'administrer aucun sacrement, etc., et de les en faire sortir. Le sieur Canteleu, tenant la place du maire, ayant remonstré qu'il y avoit des maîtres d'école qui enseignoient suivant la nouvelle religion, demanda s'il falloit les faire sortir, à quoy l'évesque répondit que, l'un estant dépendant de l'autre, il falloit aussi les faire sortir. Le roi déclaroit qu'il ne vouloit pas que l'on reçût à Amiens d'autres prédicateurs que ceux qui leur seroient donnez par leur évesque. Monseigneur de Créqui demanda récépissé de cette lettre, et acte de la réponse du corps
de ville et de la résolution qu'il prendroit à ce sujet. On le promit.
La résolution fut conforme aux intentions du roi, et en conséquen,ce. on fit des publications sur tous ces chefs. On fit commandement aux étrangers venus depuis un an à Amiens de sortir de la ville dans le tiers jour, sur peine de bannissement; deffenses aux maistres d'école de la nouvelle religion d'enseigner, sous la mesme peine. Id. ibid., p. 207.
De getoonde gegevens hebben geen bronnen.