Johann von Schönau muss zur Zeit der Ausstellung der o. g. Urkunde vom 18. Oktober 1290 alt genug gewesen sein, als Zeuge zu fungieren, hatte jedoch noch nicht die Ritterwürde erhalten; bei seiner Nennung fehlt jede statusbezogene Bezeichnung.(195) Er erscheint erst wieder fast 25 Jahre später in den Quellen – nunmehr Ritter – als Zeuge eines Gütererwerbs seiner Schwester Adelheid von Schönau, Frau von Wittem, und seines Schwagers Arnold von Julemont, Herrn von Wittem.(196) Auch Johann hatte mittlerweile den Zunamen Mascherel (Johannem dictum Maschreil de Schonawen) angenommen. Über seine eheliche Verbindung geben weder Hemricourt noch Butkens Auskunft
195) QUIX, Bernsberg, S. 100-102 Nr.18 – MUMMENHOFF, Regesten I, S. 253f. Nr. 475. 196) JANSSEN DE LIMPENS, Rechtsbronnen Limburg, S. 377-380 Nr. C 11 – QUIX, Schonau, S. 38-41 Nr. 3 – MUMMENHOFF, Regesten II, S. 95f. Nr. 190 (1314 XII 14).
Schönau • Schönforst
Eine Studie zur Geschichte des rheinisch-maasländischen Adels im Spätmittelalter
JAN van Schoonvorst . Jacques de Hemricourt names “Monss. Rasse Doulpixhe et Monss. Iohan de Schoonevorst” as the sons of “Messire Rasses de Maxhereit”, son of “Monss. Hayneman”[2099].
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