(1) She is married to Leon Joseph Deroeck.
They got married on October 15, 1888 at Brussles Brabant, Belgium, she was 20 years old.
15 octobre 1888 : Séparation (avec Madeleine ORYS) - Etterbeek, , , ,
Leon domicilié à Bruxelles-Ville, rue Terre-Neuve 53; Madeleine 318 Chée de Tervueren à Ett Légitimisent par mariage fils Oscar
Publication des bans à Jumet et Bruxelles les 9 et 16 sept Sources: Acte 119
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Marriage on October 15, 1888 in Etterbeek (Belgium)
Father of groom Léon Deroeck Mother of groom Mélanie Lanssens, residing in Jumet, sans profession by profession
Groom Leon Joseph Deroeck, born on October 6, 1866 in Jumet (Belgium), residing in Bruxelles, agent de police by profession
Bride Madeleine Orys, born on June 18, 1868 in Etterbeek (Belgium), residing in Etterbeek, tailleuse by profession
Father of bride Pierre Orys Mother of bride Elisabeth Hofs, residing in Etterbeek, sans profession by profession
Witnesses
Jacques Engels, 34 years old, residing in Etterbeek, gantier by profession
Jean François Cafmeyer, 37 years old, residing in Etterbeek, cordonnier by profession
Pierre Smets, 23 years old, residing in Etterbeek, maçon by profession
Jacques Smets, 52 years old, residing in Etterbeek, maçon by profession
Gewettigd kind
Oscar Marie Jacques Orys>Deroeck, born on September 24, 1888 in Bruxelles (Belgium)
Source citation State Archives of Belgium (Brussels) (Belgium)
State Archives of Belgium (Brussels) in Leuven (Belgium), Civil registration marriages
Burgerlijke stand Brussel, Leuven, inventory number 101755 / 0_0005, October 15, 1888, record number 119
Child(ren):
(2) She is married to Florentin Nivelle.
They got married
Child(ren):
Relationship to Florentin NIVELLE 1868 (Rue du Relais Cette artère s'inscrit a p p r o x i m a t i v e m e n t dans le tracé d'un ancien chemin vicinal qui aboutissait à l'actuelle chaussée de la Hulpe en suivant l'actuelle chaussée de Boitsfort. La vieille "Groote Karrenbaan" fut subdivisée au milieu du XIXe siècle en "rue de la Charrette" et en "Petite rue de la Charrette". Ce second tronçon débouchait dans le Dieweg qui, plus loin, conduisait à Ter Coigne, à Watermael-Boitsfort. Un autre toponyme fut encore appliqué à une section de la rue du Relais: ainsi, entre l'avenue du Bois de la Cambre (ancien Dieweg) et la chaussée de La Hulpe, elle porta le nom de Kerselaerstraat. De même pour la chaussée de Boondael dont la section comprise entre le bout de l'avenue de la Couronne, ancien Houtweg, et le départ de la rue du Relais actuelle, était connu sous le nom de "Galgenberg", toponyme qui désignait le lieu des exécutions capitales, sur le site du troisième cimetière d'Ixelles, ouvert en 1874. La rue du Relais est bordée, côté pair, entre la rue Volta et la rue des Brebis, par les habitations mentionnées plus haut. Précédées par des jardinets et disposées en retraits successifs, elles présentent, comme celles des rues Léopold Delbove et Jean Van Deuren, maints détails constructifs intéressants. Avec la rue Louis Ernotte, ces deux voies s?inscrivent, pour l?essentiel, dans la voie de l?ancien chemin vicinal n°1 , appelé ± Karrebaan » ou ± rue de la Charrette ». Le Karrebaan reliait les chaussées de Boondael et de Boitsfort en contournant le hameau par l?est. Au fil du temps, cette voie a perdu sa continuité originelle : la création d?artères adjacentes, comme la rue des Merisiers dans sa partie ixelloise et l?avenue du Bois de la Cambre entre le square du Vieux Tilleul et la place des Arcades à Watermael-Boitsfort, de même que l?ouverture de la ligne de chemin de fer Schaerbeek-Hal en 1926, en ont interrompu le tracé. On distingue encore le long de la rue du Relais des traces de remblaiement ou d?alignement de la voirie : différence de niveau entre la chaussée de la rue et le terrain du restaurant ± Le Chalet Rose », le long de la façade latérale, et différences d?alignement entre les maisons numérotées 62 et 64 et plus haut à hauteur du n°92. L?ouverture de la nouvelle ligne ferroviaire a imposé en outre le redressement de la rue des Merisiers le long du talus de chemin de fer et le franchissement des voies par un passage à niveau à l?entrée de la rue Louis Ernotte, supprimé depuis Le toponyme de ± rue du Relais » se réfère probablement aux auberges situées le long des axes de communication où faisaient halte les conducteurs d?attelage. On remarque aux n°53 et 55 deux maisons construites en fond de parcelle: il s?agit d?anciens ateliers, bâtis dans les années ?20 et profondément transformés. A l?origine, ils relevaient de propriétés de l?avenue Guillaume Gilbert. Au n°61, sur un terrain nu, Nestor Lindemans fit ériger une salle de cinéma et un appartement en 1938, d?après les plans de l?architecte A. Meuleman, également signataire de ceux du cinéma ± Albert Hall », chaussée de Wavre 651. Le ± Ciné Relais », d?une profondeur de 22 mètres, comportait un parterre de 408 places et un balcon de 233 places. Il était signalé par deux enseignes, l?une horizontale au-dessus du cadre de l?entrée et l?autre, verticale et à deux faces. L?écran mesurait 8,5 mètres sur 4. La caisse se trouvait dans la joue arrondie à droite de l?entrée. En 1966, l?Université libre de Bruxelles obtint l?autorisation de le convertir en auditoire sur base de plans établis par l?architecte Jean Van Dosselaere. La société Delhaize le fit transformer en supermarché en 1978 par l?architecte Jacques Mattart, ce qu?il est encore aujourd?hui. Le bâtiment a recouvré son cadre d?entrée en carrelage de grès céramique beige-vert et ses surfaces enduites. D?apparence comparable, l?immeuble mitoyen, au n°63, abrite depuis sa construction en 1934 (G. Desmet arch.) un magasin avec mezzanine et des appartements. Les maîtres d?ouvrage, les époux Lorie-Caluwaerts, y avaient établi le nouveau siège de leur magasin ± Au Roi du Balatum ». Au 75A , la villa à trois façades de l?architecte Troffaes qui y a fait figurer sa plaque de notoriété. Le toponyme de ± Merisiers » relève de l?ensemble des rues de WatermaelBoitsfort portant des noms d?arbres et de végétaux, tels ± Mûriers », ± Weigelias », ± Volubilis », ± Lauriers »? Il fut adopté en 1940 par la Commune d?Ixelles, par analogie avec sa voisine et qualifia la section de l?ancien Karrebaan entre la rue du Relais et le passage à niveau. Parmi les appellations envisagées, celle d?une rue dédiée à Eugénie Meysmans ou aux Aérostiers, propositions qui seront explicitées plus loin. Enfin, en 1975, la partie ixelloise de la rue des Merisiers fut élargie et prolongée jusqu'à la chaussée de Boitsfort à l?occasion du redressement et de l?élargissement de cette dernière artère. On restaura alors l?escalier reliant le plateau du Schoolgat et la rue des Merisiers qu?empruntaient les piétons et, en particulier, les élèves de l?Ecole Saint-Adrien. La première école ouverte à Boondael le fut sur initiative de la Commune en 1848. Elle se situait à l?angle de la rue de Bruxelles, dans un bâtiment disparu, comprenant le logement de l?instituteur désigné et la salle de classe. En 1871 furent édifiés des bâtiments appropriés à l?enseignement à front de l?ancien Dieweg, de nos jours n°173-175. A l?arrière s?étendaient les cours de récréation. Divisée en deux sections (filles et garçons), Ce toponyme se range dans la thématique inspirée par la proximité du champ de courses de Boitsfort, comme les avenues de l?Hippodrome, des Courses et du Derby. Comme cette dernière, elle tire son origine du sentier vicinal n°52 , large d?1,65 m, dit ± Wallinegat », qui aboutissait à l?ancien hameau du Spoel, proche du croisement des avenues de l?Uruguay et de la Forêt. On trouve encore au long de l?avenue du Pesage des bâtiments contemporains de l?époque de son urbanisation, tels les n°1 et 137, tous deux construits en 1903. Le premier fut dès 1908 exploité comme café-restaurant, à l?instar de nombreux établissements ouverts en bordure du Bois de la Cambre, du champ de courses de la chaussée de la Hulpe ou en prévision de l?Exposition de 1910. L?immeuble du n°13 fut construit en 1935 sur base des plans de l?architecte Charles Van Nueten, chef d?atelier à l?Ecole de la Cambre de 1936 à 1966. Il comportait, au rez-de-chaussée, un commerce, dont les vitrines étaient encadrées de carreaux de grès émaillé, et des appartements aux étages. Le rez a été transformé en 1980 pour y ouvrir une agence bancaire. A cette occasion, si les lignes et les volume s ont é t é maint enus , l e cadre des vitrines a été recouvert de pierre. Le n°46 a été bâti en 1948, pour le compte d?un garagiste désireux de transférer ses activités dans un quartier en pleine expansion mais en totale contradiction avec le caractère résidentiel de celui-ci. Les projets de l?architecte François Mees furent donc remaniés : seuls un bureau, une aire de lavage, une station de graissage et des emplacements de parcage furent réalisés au rez-de-chaussée. La fourniture d?essence cessa vers 1965. l?annexe d?une tavernel?école comprenait, outre les salles de classe, deux logements de fonction dans le bâtiment principal aux façades enduites et, de chaque côté, deux préaux construits en brique; l?un d?eux subsiste et présente à front de rue un mur percé d?un ?il-de-b?uf. Les instituteurs avaient la charge d?entretenir le jardin de l?école avec leurs élèves de façon à dispenser des notions pratiques d?agriculture, d?horticulture et d?arboriculture. Jusqu?au début du 20 e siècle, l?enseignement s?y donnait en néerlandais, langue véhiculaire à Boondael, avec traduction française. La tendance s?inversa ensuite jusqu?à disparition du néerlandais. La première année, en 1871-1872, 59 garçons et 78 filles y furent inscrits. Pour faire face à l?augmentation rapide de la population scolaire, les bâtiments furent agrandis en 1882 et 1897 et complétés, dans les années ?50, par des pavillons préfabriqués et un local sous bâche tendue. Les bâtiments les plus anciens, de style néoclassique, sont qualifiés de remarquables dans l?Inventaire du Patrimoine architectural de la Région de Bruxelles-Capitale (SintLukasarchief, 1993). Sur la façade du 173, une plaque commémorative rend hommage ± A Madame Eugénie Meysmans, protectrice des écoles communales », marque de reconnaissance jugée préférable à l?attribution d?un toponyme personnel à la rue des Merisiers. En 2002 a débuté, à hauteur des 223 et 225 de l?avenue, le chantier d?extension de l?école, dont la fin est pré- vue en 2004. Les plans en ont été conçus par Jacques Henri Baudon (sprl Architecture et Urbanisme A+U, 1998). Le bâtiment nouveau (rez + 2 étages) comprendra 13 salles de classe, une de gymnastique, 5 locaux d?animation, une aire de jeu couverte, en plus de locaux administratifs et de service ; en sous-sol, 23 emplacements de parking destinés au personnel enseignant et des locaux d?archives. L?ensemble s?inscrira dans le style et les gabarits des bâtiments existants, non sans exprimer son caractère contemporain. Jacques Henri Baudon est également l?auteur, avec ses confrères John G. Eggericx, Eugène Delatte, Lucien Kroll et Pierre Puttemans, de ± Bruxelles, guide d?architecture 1890-1978 » (Bruxelles, Ministère de la Culture, 1978). Cette voie, ouverte en 1934, connut trois appellations en l?espace de 3 années: avenue Alphonse Daudet du 17 mai au 5 octobre1934, avenue des Latins ensuite et avenue Armand Huysmans après le décès de ce dernier, Bourgmestre d?Ixelles, en octobre 1935. D?après le quotidien ± La Nation belge », la Commune d?Ixelles aurait considéré le silence de la famille Daudet comme une discrète opposition? Armand Huysmans (1872-1935), avocat, conseiller provincial de 1912 à 1925 et sénateur, entré au Conseil communal en 1904, fut Echevin de 1908 à 1930 et ensuite Bourgmestre. Comme nombre d?artères du quartier, l?avenue Armand Huysmans est bordée pour l?essentiel d?immeubles à appartements de gabarit ± rez-de-chaussée + 6 étages ». Parmi ceux-ci : ? la résidence ? Clarté ? au n°172 (1956), à l?angle de l?avenue Guillaume Gilbert, sur base des plans de l?architecte Jacques Van Malderghem, avec ses allèges revêtues de terre cuite; le double vitrage et les stores vénitiens incorporés étaient prévus dès l?origine ; ? les immeubles numérotés 176 et 176A (arch. Albert De Doncker en 1967) et 174 et 174A (arch. R. E. Wouters en 1970), bâtis en recul de la voie publique et dont les rez-dechaussée largement vitrés comportent un jardin d?hiver ; ? deux immeubles à appartement de moindre gabarit (rez + 3) : le 179, conçu en 1956 par l?architecte Robert Courtois à usage personnel en collaboration avec son confrère et associé Henri Montois (façade décorée par le plasticien Marc Mendelson) et le 198, signé en 1952 par les mêmes architectes pour Henri Montois et d?autres copropriétaires, transformé en 1988; Henri Montois et ses associés ont signé les plans de l?ancienne Tour du Cadastre (1965), rue Botanique, ceux de l?hôtel Hilton (1967), boulevard de Waterloo et de la Tour bleue (1976), avenue Louise. ? à côté, au n°196, la maison individuelle de quatre niveaux conçue par les architectes André Jacqmain et Jules Wabbes en 1959; parmi les projets d?André Jacqmain réalisés à la même époque, l?immeuble Abrahams (1960, en collaboration avec J. Boccard), rue de Belle-Vue, 18 et le siège social de Glaverbel (1963, avec ses confrères Renaat Braem, Pierre Guillissen et Victor Mulpas), chaussée de la Hulpe 166. du Bois de la Cambre ),
Marie Eugénie NIVELLE 1901-1983
Françoise Madeleine NIVELLES 1903-1977
Virginie Madeleine NIVELLE 1905-1905
Translation By Babylon. / Babelfish
Relationship to Florentine NIVELLE 1868 (street of the Relay This artery is a p p r o x i m a t i v e m e n t in the trace of a former neighborhood road which resulted in the current floor of la hulpe in following the current roadway from Boitsfort. The old "groote Karrenbaan" was divided in the middle of the 19th century in "Street of the charrette" and "small street in the charrette". This second leg debouched in the Dieweg which, further, was driving at Ter Coigne, at Watermael-boitsfort. Another Toponym was yet applied to a section of the street of the relay: thus, between the avenue du Bois de la Cambre (former Dieweg) and the floor of La Hulpe, it has the name of Kerselaerstraat. In the same way for the roadway of Boondael of which the section ranging between the end of l' avenue of the Crown, old Houtweg, and the departure of the current street of the Relay, was known under the name of " Galgenberg" , toponym which indicated the place of the capital executions, on the site of the third cemetery d' Ixelles, open in 1874. The street of the Relay is bordered, even side, between the street Volta and the street of the Ewes, by the dwellings mentioned above. Preceded by small gardens and laid out in successive withdrawals, they present, like those of the streets Léopold Delbove and Jean Van Deuren, many interesting constructive details. With the street Louis Ernotte, these two ways S? register, for L? essence, in the way of L? old local road n°1, called Karrebaan or street of the Cart. Karrebaan connected the roadways of Boondael and Boitsfort by circumventing the hamlet by L? is. With the wire of time, this way lost its original continuity: creation D? adjacent arteries, like the street of the Wild cherry trees in its part ixelloise and L? does avenue of the Wood of Camber between the public garden of the Old Lime and the place of the Arcades with Watermael-Boitsfort, just as L? opening of the railway line Schaerbeek-Hall in 1926, stopped the layout of it. One still distinguishes along the street from the Relay from the traces from fill or D? alignment of the roadway system: difference in level between the roadway of the street and the ground of the restaurant the Pink Country cottage, along the side wall, and differences D? alignment enters the numbered houses 62 and 64 and higher with height of the n°92. L? did opening of the railway new line impose moreover the rectification of the street of the Wild cherry trees along the slope of railroad and the crossing of the ways by a level crossing on L? entered of the street Louis Ernotte, removed since the toponym of street of the Relay probably refers to the inns located along the axes of communication where made halt the drivers D? attachment. One notices at the n°53 and 55 two houses built in bottom of piece: it S? D acts? old workshops, built in the years? 20 and deeply transformed. With L? did origin, they concern properties of L? avenue Guillaume Gilbert. With the n°61, on an open area, Nestor Lindemans made set up a cinema and an apartment in 1938, D? after the plans of L? architect A. Meuleman, also signatory of those of the cinema Albert Hall, fitted of Wavre 651. The movies Relay, D? a 22 meters depth, comprised a floor of 408 places and a balcony of 233 places. It was announced by two signs, L? horizontal above the framework of L? entry and L? other, vertical and with two faces. L? screen measured 8,5 meters out of 4. Was the case in on the right round cheek of L? entry. In 1966, L? Did Universit3e libre de Bruxelles obtain L? do authorization to convert it into audience on the basis of plan establish by L? architect Jean Van Dosselaere. Did the Delhaize company make it transform into supermarket in 1978 per L? architect Jacques Mattart, this qu? it is still aujourd? today. Did the building recover its framework D? entry in ceramic sandstone tiling beige-green and its coated surfaces. D? comparable appearance, L? joint building, with the n°63, shelters since its construction in 1934. (G. Desmet arch.) a store with mezzanine and of the apartments. The Masters D? work, the Lorie-Caluwaerts husbands, had established there the new seat of their store To the King of Balatum. With the 75A, the villa with three frontages of L? Troffaes architect who made there appear his plate of notoriety. Does the toponym of Wild cherry trees concern L? together streets of WatermaelBoitsfort carrying of the names D? trees and of plants, such Mulberry trees, Weigelias, Volubilis, Bay-trees? It was adopted in 1940 by Common D? Did Ixelles, by analogy with its neighbor and qualify the section of L? old Karrebaan enters the street of the Relay and the level crossing. Among names considered, that D? a street dedicated to Eugenie Meysmans or to the Balloon pilots, proposals which will be clarified further. Lastly, in 1975, the ixelloise part of the street of the Wild cherry trees was widened and prolonged jusqu' with the roadway of Boitsfort with L? occasion of the rectification and L? widening of this last artery. L then was restored? staircase connecting the plate of Schoolgat and the street of Wild cherry trees qu? the pedestrians and, in particular, the pupils of L borrowed? Saint-Adrien school. The first school open to Boondael was it on initiative of the Commune in 1848. It was located at L? angle of the street of Brussels, in a disappeared building, including/understanding the housing of L? appointed teacher and the classroom. In 1871 were buildings built appropriate to L? teaching with face of L? old Dieweg, nowadays n°173-175. With L? back S? the courses of recreation extended. Divided into two sections (girls and boys), This toponym lines up in the set of themes inspired by the proximity of the racecourse of Boitsfort, like the avenues of L? Hippodrome, of the Races and the Derby. Like does the latter, it draw its origin from the local path n°52, broad D? 1,65 m, known as Wallinegat, which led to L? old hamlet of Spoel, near of the crossing to the avenues of L? Uruguay and of the Forest. One still finds with the length of L? avenue of the Weighing of the contemporary buildings of L? time from its urbanization, the such n°1 and 137, both built in 1903. Was the first since 1908 exploited like bar-restaurant, with L? instar of many open establishments in edge of Wood of Cambers, the racecourse of the roadway of Hulpe or in preparation for L? Exposure of 1910. L? was building of the n°13 built in 1935 on the basis of plan of L? architect Charles Van Nueten, chief D? workshop with L? School of Cambers of 1936 to 1966. It comprised, at the ground floor, a trade, whose windows were framed squares of enamelled sandstone, and apartments on the floors. Rez was transformed into 1980 to open an banking agency there. With this occasion, if the lines and volume S have E T E many enus, L E tallies of the windows was covered with stone. The n°46 was built in 1948, for the account D? a mechanic eager to transfer his activities in a district in full expansion but in total contradiction with the residential character from this one. Projects of L? architect François Mees were thus altered: only an office, a washdown, a station of greasing and sites of parking were carried out at the ground floor. The supply D? did gasoline cease about 1965. L? appendix D? a tavernel? school included/understood, in addition to the classrooms, two company flats in the principal building with the coated frontages and, on each side, two courtyards built out of brick; L? D? they remains and present at face of street a wall bored D? one? it-of-B? uf. Did the teachers have the load D? to maintain the garden L? school with their pupils in order to exempt practical concepts D? agriculture, D? horticulture and D? arboriculture. Jusqu? at the beginning of the 20th century, L? teaching S? gave to it in Dutch, common language with Boondael, with French translation. The tendency S? then jusqu reversed? with disappearance of Dutch. The first year, in 1871-1872, 59 boys and 78 girls were registered there. To deal with L? fast increase in the school population, the buildings were increased in 1882 and 1897 and supplemented, in the years? 50, by prefabricated houses and a room under tended cover. Are the oldest buildings, as neo-classic style, described the remarkable ones in L? Inventory of the architectural Heritage of the Area of Brussels-Capital (SintLukasarchief, 1993). On does the frontage of the 173, a commemorative plaque pay homage has Mrs Eugenie Meysmans, protective elementary schools, marks recognition considered to be preferable with L? attribution D? a personal toponym with the street of the Wild cherry trees. In 2002 beginbegin, to a total value of did 225 and 223 of L? avenue, the building site D? extension of L? school, of which the end is pre sight in 2004. The plans were conceived by it by Jacques Henri Baudon (sprl Architecture and Urbanisme A+U, 1998). The new building (rez + 2 stages) will include/understand 13 classrooms, one of gymnastics, 5 buildings D? animation, an adventure playground covered, in addition to administrative buildings and service; in basement, 23 sites of carpark intended for the teaching personnel and buildings D? files. L? unit S? will register in the style and the gauges of the existing buildings, not without expressing its contemporary character. Is Jacques Henri Baudon also L? does author, with his fellow-members John G. Eggericx, Eugene Take laths off, Lucien Kroll and Pierre Puttemans, of Brussels, guide D? structure 1890-1978 (Brussels, Ministère of the Culture, 1978). Did this way, open in 1934, know three names in L? space 3 years: avenue Alphonse Daudet of May 17 to October 5, 1934, avenue of Latin then and which occurred Armand Huysmans after the death of this last, Burgomaster D? Ixelles, in October 1935. D? af
ily newspaper the Belgian Nation, Common D? Would Ixelles have regarded the silence of the Daudet family as a discrete opposition? Armand Huysmans (1872-1935), lawyer, provincial adviser of 1912 to 1925 and senator, entered to the Town council in 1904, was Echevin of 1908 to 1930 and then Bourgmestre. Like number D? arteries of the district, L? is avenue Armand Huysmans bordered for L? essence D? buildings with apartments of gauge ground floor + 6 stages. Among those: ? the residence? Clearness? with the n°172 (1956), L? angle of L? avenue Guillaume Gilbert, on the basis of plan of L? architect Jacques Van Malderghem, with his covered terra cotta barges; the double glazing and the built-in Venetian blinds were envisaged as of L? origin; ? the numbered buildings 176 and 176A (arch. Albert De Doncker in 1967) and 174 and 174A (arch. R.E. Wouters in 1970), built in retreat of the public highway and of which rez-exposed largely glazed comprise a garden D? winter; ? two buildings with apartment of less gauge (rez + 3): 179, conceived in 1956 per L? courteous Robert architect with personal use in collaboration with its fellow-member and associated Mons Henri (frontage decorated by the plastics technician Marc Mendelson) and 198, signed in 1952 by the same architects for Mons Henri and D? other joint owners, transformed into 1988; Did Mons Henri and his associates sign the plans of L? old Tower of the Land register (1965), Botanical street, those of L? hotel Hilton (1967), boulevard of Waterloo and the blue Tower (1976), which occurred Louise. ? at side, the n°196, the house of four levels conceived by the architects Andre Jacqmain and Jules Wabbes in 1959; among the projects D? Andre Jacqmain realized at the same time, L? building Abrahams (1960, in collaboration with J. Boccard), street of BEV, 18 and the head office of Glaverbel (1963, with its fellow-members Renaat Braem, Pierre Guillissen and Victor Mulpas), fitted of Hulpe 166. Wood of Cambers),
As translated by Babelfish.
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