He is married to Maria Theresia van de Velde.
They got married on January 20, 1820 at Nazareth, Belgique, he was 31 years old.
Child(ren):
L’histoire de la demeure familiale à Nazareth de Joannus Baptistus Van Poucke (1788- 1871) et Maria Theresia Van de Velde (1796-1864)
Dans le quartier le plus éloigné de Nazareth, à côté de Petegem, il y a deux grandes fermes. La première avec une surface de 40 Hectares, porte le nom de « Ter Hoogegaete ». Elle était auparavant comprise dans un très large domaine nommé Maeyghem, propriété de la famille van der Sickele, qui aux alentours de 1640, quittait pour toujours Nazareth.
Quelques membres de la famille Van Poucke savaient, selon les dires de leurs parents, que les deux propriétés « Ter Hoogegaete » et la propriété voisine « Goed te Schaapbeke », grande de 30 hectares, auraient appartenu partiellement à Jan Francis van Ooteghem et son épouse Isabella Theresia, et que les héritiers étaient trois filles mariées, qui après le décès de leur parents, avaient fait vendre le tout pour pouvoir partager équitablement leur succession.
Nous n’avons pu avoir la preuve écrite, nous savons seulement que père et mère van de Velde, en Janvier 1820, ont laissé leur exploitation à leur fille Maria Theresia, à l'occasion de son mariage avec Joannus Baptistus Van Poucke. Les parents sont devenus rentiers dans une maison située sur la place du village.Joannus Baptistus était né à « Hof ter Biesen » qui fut vendue (liquidée) pour l’exempter du service militaire. Le "péage " semble avoir été important, mais ses parents étaient prêts aux plus grands sacrifices pour pouvoir conserver la vie de leur fils unique. La chance de la succession « Ter Hoogegaete » était alors un vœu royal (vœu de roi).
La demeure familiale avait une façade hautement ornementée et les splendides écuries étaient la fierté des anciens propriétaires (propriétaires terriens). Ces ornements étaient érodés avec le temps. On a une vue sur ce passé florissant, d’un paysan fier, qui, sur le pas de la porte de sa maison, observe l’exploitation et regarde avec attention son troupeau de moutons amenés par le berger à la prairie.
Joannus Baptistus Van Poucke (1788- 1871) et Maria Theresia Van de Velde (1796 -1864)
Joannus Baptistus, appelé de son surnom « Tiste » Van Poucke, était bien considéré par les ecclésiastiques, et comme échevin de la mairie, il se faisait honorer par ses concitoyens. Il ordonnait le travail sur la ferme à ses employés. Il se promenait avec la pipe à la bouche, le chapeau sur la tête, une bêche sur l’épaule, pour de temps en temps creuser un petit sillon, et pour enlever les orties, et il était un employeur sévère et têtu.
Sa femme était une perle de bonté et d’amour. De leurs 13 enfants, un est décédé jeune. La ferme était trop éloignée du village pour envoyer les enfants à l’école. Tiste a fait agrandir sa demeure d’une manière conséquente avec deux grandes chambres dans lesquelles les enfants dorénavant passaient leurs heures d’école et de loisirs, sous la direction d’un instituteur qu’il avait engagé. Quandle temps des études des plus âgés fut terminé et les deux plus jeunes partis à l’internat, ces chambres furent utilisées en dortoirs.
Joannus Baptistus était kerkmeester (maître de l’église). L’église en ruines de Nazareth, le témoin de plusieurs siècles de générations anciennes et futures, fut détruite. Le temple (édifice) nouvellement construit devait abriter la statuette de la renommée (zogenaamd) miraculeuse Immaculée conception, d’une manière plus « fastueuse ».
L’église montait très haut et était imposante au dessus des tilleuls et faisait une grande ombre sur le « canal d’enceinte » qui était tari, et était envahi de mauvaises herbes. La grande cloche, en l’honneur de Notre Dame, portait les noms des parrains : Philip Kervyn de Volkaarsbeke, Joannus Baptistus Van Poucke et d’autres. Sur la petite cloche, nommée Barbara, également fondue en 1860, on lisait les noms de Joannus Baptistus Van Poucke et de F. de Clercq.
On appelait les filles Van Poucke, « les sept plus jolies filles de la région » : « Printemps après printemps de belles fiancées suivirent de chers ravisseurs » (A.del.)
Les fils arrivaient facilement à leur destinée. Livinus et Judith sont restés avec leur père, qui était veuf depuis 7 ans. Son décès, suivi du départ de toute la famille du «Hof ter Hoogegaete », a eu lieu le 13 février 1871, le jour où, un an auparavant, sa fille Julie, avait épousé Camiel Michiels.
« Ainsi suivit génération après génération Ainsi doit-on la tache de la vie Disparaître l’un après l’autre »>(« Rijn en Sneeuw » Karel van de Putte-Baetens)
Joannus Baptistus van Poucke | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1820 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Maria Theresia van de Velde |
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