MATHILDE] [de Houffalize] (-[before 1224?]). Poswick names “Mahaut, sœur de Henri [I] de Houffalise” as wife of Henri [I] Seigneur d’Argenteau (no source cited confirming her name), suggesting the couple married “vers 1210” (which appears consistent with the likely chronology of their son)[2110]. Her family connection is indicated by the Jul 1240 charter in which "Henricus de Huphalise" promised Henri Duke of Brabant that “Renaldus nepos meus de Argenteal” would assign to him the same amount of land “infra castellaniam de Argenteal” which he had sold to Vigner convent[2111]. Assuming that “nepos” was used in its strict sense of nephew, Renaud’s mother was Henri’s sister. However, her marriage in [1210?] seems early if [Mathilde] was indeed Henri’s sister, especially given Henri’s own marriage “before 1231” (see above). Alternatively, therefore, the term could have been used in an extended sense indicating a more remote family relationship, in which case Mathilde could have been Henri de Houffalize’s cousin or even related to Henri’s wife (in which case she would not have been “de Houffalize”). The family relationship is also indicated by the 12 May 1254 charter issued by Renaud d’Argenteau which records the presence of “dominus H. de Hufalize avunculo meo”[2112]: “avunculus” in its strict sense would mean maternal uncle, but numerous examples have been observed where the term was used just as flexibly as “nepos”. If her husband’s suggested second marriage is correct (follow his hyperlink for details), [Mathilde] would have died before 1224. m [as his first wife,] ([1210?]) HENRI [I] Seigneur d’Argenteau, son of --- (-[1235/36?]).]
Bronnen
[2110] Poswick, E. (1905) Histoire de la seigneurie libre et impériale d’Argenteau (Brussels), p. 14.
[2111] Butkens (1724), Vol. I, Preuves, p. 82.
[2112] Poswick (1905), p. 14, citing “Cartulaire de l’abbaye de Grandpré, t. I, p. 31”.
https://fmg.ac/Projects/MedLands/LUXEMBOURG.htm#MathildeHouffalizeMHenriArgenteau
Zij is getrouwd met Henri I d'Argenteau.
Zij zijn getrouwd
Kind(eren):
Henri ler d'Argenteau, chevalier, seigneur d'Argenteau et de Kesse-
nich (4), est cité dès 1215 à Liége, témoin à un accord conclu entre l'évêque
Hugues de Pierrepont et Walter Berthout, au sujet des possessions de ce der-
nier dans le pays de Malines (5).
(4) Henri d'Argenteau porte rarement le titre de miles », mais presque toujours celui
de vir nobilis.
(5) BORMANS et SCHOOLMEESTERS, Cartulaire de l'église Saint-Lambert, t. I, p. 170; SAINT-
GENOIS, Monumens anciens, p. 501.
Blz 12
Le 1er avril 1250, lorsque Waléran de Limbourg se reconnut l'homme lige
de Jean d'Eppes, évêque élu de Liége, pour cent livrées de terre de son alleu
de Sittard, qu'il avait données au dit élu et qui lui avaient été rendues en fief,
Henri d'Argenteau avec Rigaud de Hauques fut choisi par l'évêque de Liége,
pour fixer la somme qui lui était due par Waléran de Limbourg (1).
S'il faut en croire Jean d'Outremeuse, Henri d'Argenteau était encore vivant
en 1236 et aurait assisté, cette année-là, à une bataille entre Liégeois et Brabançons (2).
Henri ler d'Argenteau épousa, vers 1210, Mahaut, sœur de Henri Ier de Houffalise (3) et fille de Thierry, seigneur de Houffalise, et de Ludgarde d'Elsloo (4).
De ce mariage naquit un fils Renaud, qui suit (5).
(1) BORMANS et SCHOOLMEESTERS, t. I, p. 265.
(2) Ly mireur des histors, t. V, p. 227.
(3) C'est ce qui ressort de deux chartes, l'une du 6 juillet 1240, où Henri de Houffalise
appelle Renaud, fils de Henri d'Argenteau, son neveu (BUTKENS, Trophées de Brabant, t. I,
preuves, p. 82), l'autre du 12 mai 1254, où Renaud d'Argenteau appelle Henri de Houffalise
son oncle. ... præsentibus viris nobilibus domino H. de Hufalize avunculo meo» (Cartulaire
de Fabbaye de Grandpre, t. I, p. 51).
(4) Chartes de 1232, Publications de la Société historique et archéologique dans le duché
de Limbonrg, t. XXI, p. 150; Cartulaire de l'abbaye du Val-Benoil, aux archives de l'Etat à Liége.
(5) Butkens dans ses Trophées, t. II, p. 222 et le chanoine Jalheau dans ses additions au
Miroir des nobles de Hesbaye par Jacques de Hemricourt, édition de 1791, pp. 69, 345 et suiv.,
ne lui donnent qu'une fille héritière, nommée Mahaut, laquelle aurait porté la terre d'Argentean
dans la maison de Houffalise, par son mariage avec un prétendu Renaud de Houffalise, fils de
Thierry, et neveu de Henri ler de Houffalise. L'opinion de Jalheau, pas plus que celle de
Butkens, n'est soutenable ; elle est basée sur une certaine ressemblance des armoiries portées par
Renaud II d'Argenteau, avec celles de Houffalise; mais ces écrivains ont oublié qu'à cette
époque reculée les armoiries n'étaient pas encore établies dans les familles, et que souvent un
fils prenait des armoiries différentes de celles de son père et même celles de sa mère. Ce qui
paraît le cas ici. Ernst s'est occupé longuement de ce point et a réfuté victorieusement ces
erreurs. Il a prouvé que la femme de Henri ler d'Argenteau était la soeur de Henri ler de Houf-
falise et Renaud II d'Argenteau, le fils de celle-ci. C'est ce que confirment d'ailleurs quatre
chartes des années 1224, 1228 et 1229, des abbayes de Grandpré et de Herckenrode, restées
inconnues à Butkens, à Jalheau comme à Ernst, et découvertes récemment. Dans ces chartes,
dont nous avons parlé ci-dessus, Renaud II d'Argenteau, est indiqué catégoriquement comme
fils de Henri Ier d'Argenteau.
Blz 14
Histoire de la seigneurie libre et impériale d'argenteau et de la maison de ce nom
, aujourd'hui mercy-argenteau
Eugène Poswick
https://www.furet.com/media/pdf/feuilletage/9/7/8/2/0/1/2/8/9782012887961.pdf