maximum test » Baudouin le Riche de Beauvais II, Seigneur de Beauvais (± 1030-± 1070)

Persoonlijke gegevens Baudouin le Riche de Beauvais II, Seigneur de Beauvais 

  • Hij is geboren rond 1030 in France.
  • Hij is overleden rond 1070.
  • Een kind van Baudouin le Riche de Corbeil
  • Deze gegevens zijn voor het laatst bijgewerkt op 15 december 2017.

Gezin van Baudouin le Riche de Beauvais II, Seigneur de Beauvais


Kind(eren):

  1. Baudouin de Beauvais de Corbeil  ± 1055-± 1103 


Notities over Baudouin le Riche de Beauvais II, Seigneur de Beauvais

{geni:about_me} https://gw.geneanet.org/alaindufour11?lang=en&pz=aude+ariane+marie+claudette&nz=gabriel&ocz=0&p=baudouin+ii&n=de+beauvais

Beaudoin II fils de Beaudoin Ier de Corbeil, est la tige de la branche dite de Beauvais (91)

Vers 1047, suivant l'exemple donné par Eustachie sa belle mère, il donna sa dîme d'Ossonville, pour acheter des fourrures aux religieuses d'Yerres,auxquelles Aveline sa femme donna aussi en 1158 2 muids de froment et 2 muids d'avoine sur ses champarts du même lieu.

recopié sur le site ci-dessous :
\* HYPERLINK "http://www.corpusetampois.com/che-20-estournet1944lafertealais.html" "guillaume3" http://www.corpusetampois.com/che-20-estournet1944lafertealais.html#guillaume3

Vers 992, parmi les chevaliers du comte Bouchard qui souscrivirent la charte en faveur de Saint-Guénaud, se trouva un certain Ferry sur lequel on sait peu de chose . Le 1er mai 1006, à Corbeil, Bouchard exprima ses dernières volontés en présence de son fils, Renaud, évêque de Paris; des officiers de sa maison, le chambrier Joscelin, le bouteiller Gaudry, le connétable Hugues; d un ami, Ansoud II Le Riche de Paris, conseiller et très probablement chambrier du roi Robert; de Ferry; de Robert, vicomte de Corbeil; enfin d un autre Joscelin, vicomte de Melun. La parenté peut seule expliquer le rang exceptionnel de Ferry, à côté d Ansoud, avant les vicomtes de Corbeil et de Melun: S. Ansoaldi Divitis Parisii, S. Frederici, S. Rotberti vicecomitis ... Ne serait-il pas un fils d Ansoud ?
Il est permis de le supposer si l on observe qu il y eut à Corbeil, une cinquantaine d années plus tard, un opulent chevalier, appelé Ansoud , fils d un Ferry, qui pourrait bien avoir pour père celui que nous venons de voir en 1006 à la cour de Bouchard. Non content d avoir hérité des seigneuries de Viry et de Bondoufle, qui faisaient partie du patrimoine des Le Riche, ses descendants possédèrent à Corbeil, dans le voisinage de l église Saint-Laurent, non loin du Donjon, une importante censive qui était traversée par la rue Le Riche, burgus Divitis, ainsi désignée en souvenir du conseiller royal.
Grâce au crédit d Ansoud II, Ferry s était vu confier la garde du Donjon de Corbeil et, par suite, la défense militaire de la ville: il en était le capitaine ou gastellier*, comme on l appelait alors. Il fut récompensé de ses services par l attribution de biens prélevés sur le comté, Viry, Bondoufle, Vaux, Jouy, Yerres, Orangis, Plessis-le-Comte, Draveil, etc... Il devint la souche d une famille la plus illustre entre toutes celles qui, pour des raisons analogues, portèrent le surnom du Donjon; elle y ajouta parfois ceux de Corbeil et de Beauvais, que je crois être une mauvaise traduction de Belveer, Bellevue . Elle prit pour armoiries, semé de fleurs de lys au lion issant .
En 1018, Ferry souscrivit l acte par lequel Robert, vicomte de Corbeil, à l occasion de sa prise d habit chez les religieux de Saint Maur-les-Fossés, donnait Villiers-sur-Nogent . Le nom de la femme de Ferry n est point connu, mais il est probable qu il prit alliance parmi les officiers du comte Bouchard, où l on a vu un prévôt, appelé Baudouin: dans sa postérité, ce prénom alternera avec le sien à chaque génération, durant plus de trois siècles. Selon toute vraisemblance, il fut le père des deux frères, Ferry et Baudouin, qui parvinrent l un et l autre au dapiférat.
En 1043, Baudouin, qui avait rang de chevalier, souscrivit la charte par laquelle Guillaume, comte de Corbeil, donnait l église Saint-Jean de cette ville à l abbaye des Fossés: S. Guillelmi, Corboilensis comitis, S. Nanterii, vicecomitis Corboilensis, S. Begonis militis, S. Balduini militis . Au mois d octobre 1045, il fut témoin de l acte par lequel Imbert, évêque de Paris, réunissait à l abbaye de Saint-Germain-des-Prés l autel de Saint-Georges à Villeneuve: S Beggonis militis, S. Balduini militis, S. Widonis militis, c est-à-dire Bégon, père de Gaudry II vicomte de Corbeil, Baudouin du Donjon, châtelain de La Ferté, et de ce chef vassal de l évêque, ce qui explique sa présence à la cour épiscopale enfin, son gendre, Guy de Montlhéry.
Selon Guillaume de Jumièges, Henri Ier, quoique déjà couronné, fut contraint à la mort de son père, en 1031, de se réfugier auprès de Robert, duc de Normandie, pouréchapper aux embûches de la reine Constance qui voulait lui substituer son second fils; après l avoir bien équipé d armes et de chevaux, le duc le renvoya auprès de son oncle, Mauger, comte de Corbeil, "auquel il manda de poursuivre tous ceux qui s écarteraient de la fidélité qu ils devaient à ce monarque " . Certainement, Albert de Corbeil dut unir ses efforts à ceux de son beau-frère, pour faire triompher le jeune roi de ses adversaires et lui conserver le trône ; Henri Ier garda une profonde reconnaissance à la maison de Corbeil dont il avait pu éprouver le dévouement et la fidélité. Aussi ne sera-t-on pas surpris de trouver Baudouin , dès 1056, au nombre des conseillers ou palatins du roi; cette année, avec son frère Ferry, il souscrivit un diplôme immédiatement après les grands officiers: S. Frederici, S. Balduini . L avènement de Philippe Ier ne modifia point leur situation, et en 1060, à Dreux, les deux frères parurent dans l entourage du jeune prince.
Avec le temps, le crédit de Baudouin ne fit que s accroître, si bien qu en 1069 il eut l insigne honneur d être promu grand sénéchal de France. On sait que le dapiférat était alors de beaucoup la charge la plus importante de la couronne. Le sénéchal commandait à toutes les forces militaires du royaume; il dirigeait le service du palais, présidait aux jugements et percevait, à son profit, une partie des revenus domaniaux. En réalité, c était un vice-roi.
En 1069, avant le 4 août, Baudouin souscrivit un privilège en faveur de Saint-Germain de Pontoise, un second à Poissy pour Saint-Ouen de Gisors, un troisième ratifiant en 1070 un échange de Geoffroy, évêque de Paris, avec Saint-Germain-des-Prés, et la même année une notice en faveur de Marmoutier, S. Bauduini dapiferi, S. Frederici de Curbeio. Baudouin resta peu de temps en charge, carson nom paraît pour la dernière fois au bas d un diplôme pour l abbaye de Ferrières, du 18 mars 1070 . Il n est même pas certain que les deux précédents ne soient postérieurs de quelques mois à celui-ci. On peut cependant affirmer que son frère Ferry lui succéda antérieurement au 4 août 1070, très probablement pour cause de décès, car il ne reparaît plus.
Assidu auprès de Philippe Ier, Ferry avait souscrit plusieurs diplômes comme faisant partie de la maison du roi, de familia regis . Son nom n est ordinairement suivi d aucun titre, en 1069, après le sénéchal Baudouin, S. Frederici . Une fois, en 1068, il est qualifié chevalier, S. Fridirici militis , immédiatement après les quatre grands officiers. A plusieurs reprises, en 1066, 1067 et 1069, il est appelé Ferry de Corbeil . Sénéchal dès le mois d août 1070, Ferry resta en fonctions jusqu en 1077 .

L auréole dont l office de sénéchal fit resplendir le nom de Baudouin auprès de ses contemporains, son mariage, non moins que l attribution du prénom de Baudouin à l aîné de trois générations, valurent à La Ferté l honneur d être appelée par les contemporains La Ferté-Baudouin , Firmitas Balduini, que je rencontre pour la première fois en 1076.
Baudouin laissa au moins six enfants: 1 ° et 2 ° Baudouin Il et Ferry III ; 3 ° Jean, abbé de Saint-Spire; 4 ° Ougrin, cité en 1071; 5 ° Hodierne, dame en partie de La Ferté et de Gometz, mariée à Guy Ier de Montlhéry, ; 6 ° Adélaïde, dame en partie de La Ferté et femme d Ebrard Il, vicomte de Chartres

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Baudouin le Riche de Beauvais
± 1030-± 1070



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    Ard van Bergen, "maximum test", database, Genealogie Online (https://www.genealogieonline.nl/maximum-test/I6000000003827217451.php : benaderd 24 mei 2024), "Baudouin le Riche de Beauvais II, Seigneur de Beauvais (± 1030-± 1070)".