Hij is getrouwd met Soeur comtesse de Hozémont.
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'''Origine de HERMALLE''' Il est intéressant de noter que divers auteurs (dont le Baron de Reinsberg-Düringsfeld) citent un Jean de Hermalle, né en 600. Ce propriétaire-agriculteur aurait reçu la visite, dans son champ, d'un pèlerin qui lui aurait annoncé qu'il deviendrait évêque. Incrédule, Jean aurait répondu, en fichant en terre un bâton qu'il tenait « Ce bois sec portera fruits plus tôt que ne s'accompliront tes paroles. » Aussitôt le bâton se couvrit de feuilles, de fleurs qui se transformèrent en fruits (les pommes de Saint-Jean bien connues dans la région). Jean fut donc nommé par le roi Dagobert évêque de Tongres (après Saint Ébrégise et avant Saint Amand), et fut appelé Jean l'Agneau en raison de la douceur de son caractère et malgré sa grande taille (un de ses tibias de 53 cm de long constitue une relique de l'église de Nassogne). Il mourut le 25 juillet 637 et est toujours vénéré par la population huttoise qui le fête le 25 juillet. La tradition dit aussi que la mère de Jean de Hermalle aurait fondé le monastère des Dames blanches à Maastricht. La vie de Jean de Hermalle a été relatée par l'historien et mathématicien Hériger de Lobbes (vers 925-1007) ; Heriger précise qu'il emprunte l'histoire du saint à la tradition : « cujus vitam et gesta, ut auditu tantum et relatione a majoribus et aetale provectioribus accepimus, nos quoque perpaucis absolvamus ». (Gesta, chap. XXIX). Pour mémoire, le VIIe siècle est nommé le siècle des saints, même si le culte de certains et certaines fut promu par des membres de leur famille soucieux de renforcer les droits d'un sang noble par la légitimité d'un patronage spirituel. Chrodoara, par exemple : elle fut probablement la grand-mère de la célèbre abbesse d'Oeren. Issue d'un célèbre lignage, devenue veuve après avoir eu des enfants, elle se retira dans une fondation pieuse pour y achever ses jours. Peut-être en fut-elle abbesse⦠Elle mourut en 634 et fut élevée au rang de sainte au VIIIe siècle. On peut admirer son superbe sarcophage, découvert en janvier 1977, dans la collégiale Saint-Georges d'Amay, ville que selon la légende elle fonda sous le nom de Sainte-Ode.