Genealogie Schotman / Krief / Sauvo » Richard 1er de NORMANDIE (933-996)

Persoonlijke gegevens Richard 1er de NORMANDIE 

  • Hij is geboren op 28 augustus 933 in Fécamp, 76259, Seine Maritime, Haute-Normandie, France.
  • Beroep: Duc de Normandie 943 / 996 SANS PEUR.
  • Hij is overleden op 20 september 996 in Fécamp, 76259, Seine Maritime, Haute-Normandie, France, hij was toen 63 jaar oud.
  • Hij is begraven in Fécamp, 76259, Seine Maritime, Haute-Normandie, France.
  • Een kind van Guillaume 1er Longue Epee de NORMANDIE en Sprota Sprota DE SENLIS (La Captive)
  • Deze gegevens zijn voor het laatst bijgewerkt op 29 december 2018.

Gezin van Richard 1er de NORMANDIE

(1) Hij had een relatie met Fredesende de NORMANDIE.


Kind(eren):

  1. Hariette de MEULAN  974-1004


(2) Hij is getrouwd met Gunnor de CREPON.

Zij zijn getrouwd in het jaar 0963 te Crépon, 14196, Calvados, Basse-Normandie, France, hij was toen 29 jaar oud.


Kind(eren):

  1. Blanche de NORMANDIE  972-1029 
  2. Emma de NORMANDIE  980-1052 
  3. Guillaume 1er d'EU  975-1054 
  4. Beatrix de NORMANDIE  980-1034 
  5. Mathilde de NORMANDIE  990-1019 


Notities over Richard 1er de NORMANDIE

#Générale#source wikipedia

Richard Ier de Normandie, dit Richard Sans-Peur (Fécamp v. 930-996), est le fils naturel du duc de Normandie Guillaume Longue-Épée et de Sprota1, et le troisième ± duc » de Normandie — en fait, ses prédécesseurs et lui-même dans un premier temps se qualifient de ± jarl » et/ou comte des Normands. Il est le premier à se qualifier de marquis.
Remarque : Selon la coutume scandinave l'homme avait une femme légitime et pouvait avoir une ou plusieurs concubines (frilla) dont les enfants étaient considérés comme légitimes.Il est donc faux de continuer à tituler les ducs de normandie fils de " frilla" du qualificatif de "bâtards" Ils n'étaient tenus pour tels que par les clercs de l'eglise Romaine.
La principale source sur Richard Ier est le récit de Dudon de Saint-Quentin, De moribus et actis primorum Normanniae ducum. Ce chanoine fut invité par Richard à écrire l'histoire des premiers ducs de Normandie. Son œuvre, assez critiquée par les historiens modernes, est peut-être mise en lumière par les Annales de Flodoard qui couvrent la période avant 966.
Richard est envoyé dans le Bessin par son père pour apprendre la langue de ses ancêtres1. Il a probablement un peu plus de 10 ans à la mort de son père, assassiné en décembre 9422, et se voit attribuer un conseil de régence comprenant quatre hauts personnages du duché normand : Bernard le Danois, Raoul dit Taisson l'Ancien, Anslech de Bricquebec et Osmond de Conteville. Mais le roi carolingien Louis d'Outremer, sous prétexte de faire son éducation, fait transporter l'adolescent avec l'un de ses régents, Osmond, à sa cour de Laon. Il semble y avoir séjourné de 943 à 945 et s'être finalement enfui avec l'aide d'Osmond qui aurait organisé son évasion avec la complicité d'Yves de Bellême et de Bernard, comte de Senlis et vassal d'Hugues le Grand, duc des Francs3.
Pendant l'intervalle de temps, Herluin, comte de Montreuil, est nommé par le roi gouverneur de Normandie en 943 avant d'être tué par des Normands en 945.
Cependant, entre temps, Louis d'Outremer s'est associé avec Hugues le Grand, son principal vassal, pour dépecer le jeune et fragile duché normand1. Le roi envahit le Pays de Caux, tandis que le duc des Francs prend Gacé, Évreux et va assiéger Bayeux. En réaction, les Normands de la Seine font appel à la troupe scandinave du ± roi de la mer » Sigtrygg (Sétric), sans doute norvégienne et en partie d'Islande4 mais elle est sévèrement battue avec les troupes d'un certain Thurmodus (Turmod)5, ± un Normand revenu à l'idolâtrie et au culte des gentils qui voulait forcer le jeune duc à l'imiter »6. Sétric et Turmod furent tous les deux tués avec la majeure partie de leurs hommes. Selon Richer de Reims, 9000 païens succombèrent dans la lutte7.
Selon le récit de Dudon de Saint-Quentin, l'un des ± régents », Bernard le Danois, exploite la rivalité entre le roi et Hugues le Grand. D'abord, il suggère au roi que les Normands se résignent à se soumettre. Il obtient ainsi la fin des hostilités. Puis, contactant Hugues le Grand, il le convainc qu'il a été trompé par le roi. Et pour finir d'envenimer les relations entre les anciens alliés, il promet l'aide des Normands à Hugues contre le roi, amenant Hugues à commettre l'erreur de se lancer en campagne contre le roi.
Par ailleurs Bernard le Danois obtient l'intervention d'un autre chef viking Harald8, récemment débarqué ou depuis longtemps installé en Normandie. Le roi s'empresse d'intervenir mais il est battu le 13 juillet 945 sur la Dives, peut-être à Corbon9. Herluin II de Ponthieu meurt dans la bataille tandis que Louis d'Outremer est capturé. Il est transmis à Hugues le Grand qui le garde prisonnier jusqu'en juillet 946. Cela permet à Richard, maintenant adolescent et revenu en Normandie, de faire reconnaître l'indépendance de la Normandie par les Grands (Nobles) du royaume franc carolingien10.
En 946, craignant l'alliance de Richard Ier avec Hugues le Grand, le roi Louis d'Outremer forme une coalition contre eux avec Otton de Germanie, Arnoul Ier, comte de Flandre, Conrad le Pacifique, roi de Bourgogne transjurane, et Alain Barbetorte, duc de Bretagne. Les alliés traversent l'Epte et se dirigent vers Rouen. L'attaque de la ville est un échec. Les rois franc et germanique subissent alors une contre-attaque qui les obligent à battre en retraite jusqu'en Amiénois.
Le duché de Normandie a réussi à survivre à ± la grande crise qui, vers la même époque, avait été fatal aux deux États vikings les plus proches, le royaume d'York et l'établissement normand de Nantes11 ». Richard Ier est reconnu duc légitime en 9471.
L'administration de Richard Ier
Nous disposons de peu d'informations à ce sujet avant les premières années du XIe siècle, c'est-à-dire sous le règne de Richard II. D'ailleurs, nous ne possédons presque aucun acte écrit entre 968 et 989/990. L'historien François Neveux avance pourtant que ± le principat de Richard Ier, de 945 à 996, fut une période d'affermissement et de consolidation qui dura un demi-siècle, soit deux générations. C'est au cours de cette époque que la Normandie se forma véritablement, qu'elle acquit sa personnalité originale et ses caractères spécifiques, se distinguant aussitôt des autres principautés du royaume en voie de formation »12.
Quelques indices d'une Normandie restaurée et mature
Comme son père Guillaume Longue Épée, Richard œuvre pour la restauration de l'Église. En 960, il installe de nouveaux moines à Saint-Wandrille pour relever l'abbaye détruite par ses ancêtres vikings. Quelques religieux de cette maison sont ensuite envoyés au Mont-Saint-Michel pour remplacer les chanoines. À Fécamp, ville où est né Richard, le comte crée une résidence ducale de première importance et émet le projet d'installer un monastère à proximité. Il fait appel à l'abbé de Cluny Maïeul, qui refuse de venir en Normandie. Preuve d'une mauvaise réputation encore tenace des Normands ?
Le rétablissement de la hiérarchie épiscopale en Normandie apporte un crédit à la volonté restauratrice de Richard. Après la coupure liée aux invasions scandinaves et à l'installation de Rollon, tous les évêchés normands ont de nouveau un titulaire vers 99013. Trois évêchés normands depuis longtemps laissés vacants sont pourvus: Roger à Lisieux vers 985, Azon le Vénérable à Sées vers 986, Norgod à Avranches vers 990. Les autres sièges sont renouvelés: Raoul d'Avranches à Bayeux en 986, Robert le Danois à Rouen en 987/989, Gérard à Évreux vers 988 et Hugues à Coutances vers 98913.
Quelques historiens avancent que Richard installe les premiers comtes en Normandie mais il n'y a pas de preuves.
À la fin du Xe siècle, après une vingtaine d'années d'indigence des sources, on perçoit toutefois la maturité politique de la principauté normande : Richard Ier fait de Fécamp un sanctuaire dynastique (comme font les Robertiens de Saint-Denis) et commande au chanoine Dudon de Saint-Quentin une histoire des premiers ducs de Normandie qui deviendra le De Gestis Normanniae ducum seu de moribus et actis primorum Normanniae ducum.
L'union de la Normandie ?
C'est sûrement l'une des thèses les plus intéressantes développées ces dernières années par certains historiens. Elle part de l'idée de Karl-Ferdinand Werner selon laquelle nous n'avons pas de certitude sur la domination des comtes normands sur la partie ouest de la Normandie. Malgré les cessions de 924 et 933, les Normands de Rouen ne maîtrisaient probablement pas les nouveaux territoires acquis. Ce n'est pas avant 966, autrement dit sous le règne de Richard Ier, que les historiens trouvent preuve dans les chartes d'une intervention comtale dans ces régions occidentales. Le principat du fils de Guillaume Longue Epée paraît un moment clé.
Dans une thèse provocatrice14, l'historienne américaine Eleanor Searle imagine la Normandie du Xe siècle comme une région partagée entre plusieurs bandes scandinaves. Celle de Rouen est la plus riche. Tantôt alliées, tantôt rivales, ces bandes développent indépendamment une stratégie de survie fondée sur la prédation. Jusqu'au jour où le chef de Rouen, en l'occurrence Richard Ier, entreprend de se constituer un réseau de fidélité avec ses voisins nordiques. En contrepartie d'une soumission à son pouvoir et du baptême, il garantit aux autres chefs l'organisation d'expéditions prédatrices qui assureront l'enrichissement de tous, l'union faisant la force15. Le futur duché de Normandie naît donc, d'après Eleanor Searle, de la reconnaissance par des chefs scandinaves régionaux de l'autorité supérieure du comte de Rouen. Les alliances se concrétisent par la conclusion de mariages entre les chefs locaux et la famille comtale. L'union de Richard avec Gunnor en serait le symbole.
Richard et ses voisins : alliance ou conflit
comte de Blois (v. 960-965)
En 954, le roi Louis IV d'Outremer meurt suivi deux ans plus tard par son principal rival le duc des Francs, Hugues le Grand. Le fils de ce dernier, Hugues Capet, étant mineur, un de ses principaux vassaux, Thibaud Ier ± le Tricheur », comte de Blois, en profite pour s'émanciper. Entre 956 et 960, il s'empare des comtés de Chartres et de Châteaudun16. La Normandie se retrouve bordée au sud-est par la nouvelle puissance thibaldienne17.
L'origine de la querelle ne se situe probablement pas dans ce secteur mais plutôt en Bretagne. Profitant de la mort d'Alain Barbetorte (952), Thibaud se partage la suzeraineté sur la Bretagne avec son beau-frère Foulque le Bon, comte d'Anjou18. Richard Ier, que Dudon de Saint-Quentin qualifie régulièrement de prince ou de duc des Normands et des Bretons, n'a pas dû apprécier cette ingérence19.
Selon le récit de Dudon de Saint-Quentin, le comte de Blois manigance pour faire tomber Richard. Il attire l'attention du nouveau roi Lothaire, de sa mère et de son oncle Brunon, archevêque de Cologne, et les entraîne dans ses vues. Si l'on suit à la lettre Dudon, Brunon et le roi invitent à deux reprises le comte des Normands mais celui-ci perçoit à temps que ce sont des pièges. En 961, Flodoard rapporte que le comte de Normandie tente en vain d'interrompre une assemblée que le roi tenait à Soissons.
Sous l'influence de Thibaud de Blois, le roi Lothaire rassemble son ost dans le Drouais, et s'empare d'Évreux. Il laisse la ville à son allié Thibaud. Celui-ci pousse son avantage et se dirige vers la capitale normande Rouen20. Richard de Normandie l'attaque et le bat près de la ville (962)21.
Après cette victoire, la guerre se poursuit quelques années. Le comte des Normands n'hésite pas à embaucher des pilleurs scandinaves qui revenaient d'Espagne pour faire face à son ennemi. Chartres est incendiée20. Thibaud demande la paix qu'il obtient après avoir renoncé à Évreux. Le roi Lothaire signe à son tour un accord avec les Normands en 965 sur les bords de l'Epte (à Gisors ?). Ce traité préconise le renoncement du roi à toute suzeraineté sur la Normandie et en contrepartie, l'arrêt de toute action militaire de la part des Normands.
La Normandie n'est désormais plus menacée jusqu'à la mort du duc. Ce qui n'empêche pas les Normands de monter à leur tour des expéditions contre leurs voisins : en Flandre contre le comte Arnoul II de Flandre ou contre Albert Ier de Vermandois dans la fin des années 980.
Richard et les Robertiens
Richard semble avoir noué précocement des liens avec les Robertiens, Hugues le Grand puis son fils Hugues Capet. Les événements de 945-946 laissent penser que le duc des Francs était favorable aux Normands. Ensuite, les preuves s'accumulent sur les bonnes relations entre les deux princes : en 948, une troupe normande aide Hugues le Grand dans le siège de Soissons. En 960, le duc de Normandie épouse la sœur d'Hugues Capet, Emma. En 968, Hugues Capet épouse une cousine germaine de Richard, Adélaïde, petite-fille de Rollon par sa mère, Adèle.
Dans une charte de 968, Richard se reconnaît le vassal d'Hugues Capet22. Guillaume de Jumièges laisse entendre que le Normand aide le duc des Francs à accéder à la royauté. S'il ne l'aide pas contre Charles de Lorraine (en 988/91), il est son principal soutien, avec le comte d'Anjou Foulque Nerra, lors du siège de Melun en 991 - le châtelain est passé au service d'Eudes Ier de Blois alors même que ce dernier vient d'acquérir Dreux tout en menaçant le duché normand23.
L'an suivant, Richard renverse ses alliances. Le comte d'Anjou devient une menace en intervenant dans les comtés de Nantes et de Rennes. Or, depuis Rollon, la Bretagne est une chasse gardée des Normands. En conséquence, Richard s'allie avec son ancien ennemi Eudes de Blois et adhère à une coalition contre l'Angevin comprenant le duc d'Aquitaine, le comte de Flandre (sans doute) et le comte de Rennes. Richer de Reims rapporte qu'en 992, des Normands participent aux côtés des Bretons, à la bataille de Conquereuil que remporte Foulque. Cette alliance bretonne amène un double mariage des enfants de Richard et de Conan.
Relations avec l'Angleterre[modifier | modifier le code]
D'abord, elles ne sont pas bonnes. Le roi Æthelred II reproche à Richard d'accueillir les mêmes Danois qui pillent son royaume. Le légat du pape Jean XV intervient pour empêcher la guerre24. Le 18 mars 991, Richard et Æthelred concluent un traité dans lequel ils promettent de ne pas aider leurs ennemis respectifs. Cette paix contribue au développement des relations commerciales entre Normandie et Angleterre24.
Richard décède en 996 la même année qu'Hugues Capet, le premier roi capétien ; la date de sa mort nous est donnée par Dudon de Saint-Quentin, bien renseigné sur les Normands du duché. Il est enterré à Fécamp.
± Richard a rétabli la paix et la prospérité dans le territoire, momentanément perturbé par les troubles de sa minorité. Il a dirigé la province d'une main de fer. Malgré sa longévité, Richard ne laissa qu'un jeune héritier, encore incapable d'imposer sa propre autorité »25.

Heeft u aanvullingen, correcties of vragen met betrekking tot Richard 1er de NORMANDIE?
De auteur van deze publicatie hoort het graag van u!


Tijdbalk Richard 1er de NORMANDIE

  Deze functionaliteit is alleen beschikbaar voor browsers met Javascript ondersteuning.
Klik op de namen voor meer informatie. Gebruikte symbolen: grootouders grootouders   ouders ouders   broers-zussen broers/zussen   kinderen kinderen

Via Snelzoeken kunt u zoeken op naam, voornaam gevolgd door een achternaam. U typt enkele letters in (minimaal 3) en direct verschijnt er een lijst met persoonsnamen binnen deze publicatie. Hoe meer letters u intypt hoe specifieker de resultaten. Klik op een persoonsnaam om naar de pagina van die persoon te gaan.

  • Of u kleine letters of hoofdletters intypt maak niet uit.
  • Wanneer u niet zeker bent over de voornaam of exacte schrijfwijze dan kunt u een sterretje (*) gebruiken. Voorbeeld: "*ornelis de b*r" vindt zowel "cornelis de boer" als "kornelis de buur".
  • Het is niet mogelijk om tekens anders dan het alfabet in te voeren (dus ook geen diacritische tekens als ö en é).



Visualiseer een andere verwantschap

De getoonde gegevens hebben geen bronnen.



Dezelfde geboorte/sterftedag

Bron: Wikipedia

Bron: Wikipedia


Over de familienaam De NORMANDIE


Wilt u bij het overnemen van gegevens uit deze stamboom alstublieft een verwijzing naar de herkomst opnemen:
Blaque, "Genealogie Schotman / Krief / Sauvo", database, Genealogie Online (https://www.genealogieonline.nl/genealogie-schotman-krief-sauvo/I20844.php : benaderd 16 juni 2024), "Richard 1er de NORMANDIE (933-996)".