Genealogy Richard Remmé, The Hague, Netherlands » Foulques III 'Nerra the black' d' (Foulques III 'Nerra, the black' d') Anjou (972-1040)

Persoonlijke gegevens Foulques III 'Nerra the black' d' (Foulques III 'Nerra, the black' d') Anjou 

Bronnen 1, 2, 3
  • Alternatieve naam: The Black
  • Roepnaam Foulques III 'Nerra, the black' d'.
  • Hij is geboren in het jaar 972 in Anjou, Rhône-Alpes, France.
  • Beroep: Comte.
  • (Property) : Anjou.
  • Hij is overleden op 21 juni 1040 in Metz, Metz, 57000, Lorraine, France, hij was toen 68 jaar oud.
  • Hij is begraven in l'abbaye de Beaulieu-lès-Loches, 37600.
  • Een kind van Geoffroy I 'Grisegonelle' d' Anjou en Adélaïs de Vermandois
  • Deze gegevens zijn voor het laatst bijgewerkt op 15 juli 2021.

Gezin van Foulques III 'Nerra the black' d' (Foulques III 'Nerra, the black' d') Anjou

(1) Hij is getrouwd met Elisabeth de Vendôme.

Zij zijn getrouwd in het jaar 996, hij was toen 24 jaar oud.


Kind(eren):

  1. Adèle d' Anjou  ± 990-± 1032 


(2) Hij is getrouwd met Hildegard van Jerusalem vd Sundgau.

Zij zijn getrouwd rond 1005.


Kind(eren):



(3) Hij is getrouwd met Hildegarde de Bar.

Zij zijn getrouwd.


Notities over Foulques III 'Nerra the black' d' (Foulques III 'Nerra, the black' d') Anjou

Profession : Comte d'Anjou.
Décès : ou 21 Juin 1040
Fait 3 fois le pélerinage à Jérusalem pour se faire pardonner ses péchés.
Count of Anjou

www.francebalade.com/anjou/anjcomte3.htm

Foulques III Nerra (le Noir) (970-1040)

Foulques Nerra
Gravure du XVIIème siècle
Sa famille
Foulques Nerra est le fils de Geoffroy Grisegonelle , Comte d'Anjou, et d' Adele de Vermandois. C'est lui qui a été à la base de l'essor de la Maison d'Anjou, prolongé en celà par son fils Geoffroy I Martel. Foulques a été Comte d'Anjou pendant 53 ans de 987 à 1040.

Il s'est marié à deux reprises. Il epousa en premieres noces Elizabeth de Vendome, fille du Comte Bouchard de Vendome <../vendome/ctvendome.htm>, le premier des fideles du Roi de France Hugues Capet <../histo/capetiens2.htm>. Cette alliance faisait bénéficier Foulques du réseau d'influence du Comte Bouchard (en Vendomois mais aussi en Touraine où Bouchard possedait Nouatre). Il eut d'Elizabeth une fille Adèle <../vendome/ctvendome.htm> dont descendent les Comtes de Vendome.

En secondes noces il épousa Hidegarde fille du Comte de Sundgau et dont il a eu quatre enfants et en particulier Geoffroy Martel .
Son Caractère
C'est un personnage hors du commun dans l'histoire du Moyen Age, alternant pieté et cruauté, pénitence et crime. Il a fait quatre fois le pelerinage de Jerusalem pour expier ses péchés. Dans l'Eglise de Beaulieu les Loches <../valindre/loches.htm> qu'il a fait construire, on montrait un fragment de pierre du St Sepulcre qu'il aurait arrache avec ses dents en la baisant. Mais ce fut avant tout un fin politique, un bon administrateur et un grand batisseur, capable de se concentrer sur l'agrandissement de son domaine

http://poirier.valveri.free.fr/nobles_ancetres/Anjou.htm#Foulques%20III%20Nerra

FOULQUES III Nerra, ou le Jérosolimitain, né en 972, comte d'Anjou de 987 à 1040, comte de Tours de 1025 à 1040, comte du Maine de 1032 à 1040, mort le 22-05-1040 à Metz, inhumé en l'église de l'abbaye de Beaulieu-lès-Loches,
X en 989 avec sa cousine Elisabeth de Vendôme, fille de Bouchard II, brulée vive pour crime supposé d'adultère en 999 selon les uns, morte dans un incendie qui dévasta la ville d'Angers selon d'autres,
XX vers 1001 avec Hildegarde, fille de Guillaume IV, duc d'Aquitaine, morte en 1046 [voir maison du POITOU ],
dont, du premier mariage :
Adèle, comtesse de Vendôme,
X avec Eudes, fille de Landry, comte de Monceaux et de Nevers, et de Mathilde de Bourgogne [voir branche de CRAON ], mort en 1017,
Adélaïde,
dont, du second mariage :
Geoffroy Martel, né en 1006, comte d'Anjou, de Tours et du Maine de 1040 à 1060 (il abdique), mort en 1067,
X en 1032 avec Agnès, fille d'Othon I Guillaume, comte de Boulogne, morte en 1068 [voir dynastie des UNROCHIDES ],
XX en 1052 après divorce avec Grecia,
XXX en 1060 après divorce avec Adélaïde d'Alémanie d'Allemagne,
Ermengarde, qui suit,
Blanche, morte en 1035.


http://poirier.valveri.free.fr/nobles_ancetres/Anjou.htm#Foulques%20III%20Nerra

FOULQUES III Nerra, ou le Jérosolimitain, né en 972, comte d'Anjou de 987 à 1040, comte de Tours de 1025 à 1040, comte du Maine de 1032 à 1040, mort le 22-05-1040 à Metz, inhumé en l'église de l'abbaye de Beaulieu-lès-Loches,
X en 989 avec sa cousine Elisabeth de Vendôme, fille de Bouchard II, brulée vive pour crime supposé d'adultère en 999 selon les uns, morte dans un incendie qui dévasta la ville d'Angers selon d'autres,
XX vers 1001 avec Hildegarde, fille de Guillaume IV, duc d'Aquitaine, morte en 1046 [voir maison du POITOU ],
dont, du premier mariage :
Adèle, comtesse de Vendôme,
X avec Eudes, fille de Landry, comte de Monceaux et de Nevers, et de Mathilde de Bourgogne [voir branche de CRAON ], mort en 1017,
Adélaïde,
dont, du second mariage :
Geoffroy Martel, né en 1006, comte d'Anjou, de Tours et du Maine de 1040 à 1060 (il abdique), mort en 1067,
X en 1032 avec Agnès, fille d'Othon I Guillaume, comte de Boulogne, morte en 1068 [voir dynastie des UNROCHIDES ],
XX en 1052 après divorce avec Grecia,
XXX en 1060 après divorce avec Adélaïde d'Alémanie d'Allemagne,
Ermengarde, qui suit,
Blanche, morte en 1035.

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http://www.google.nl/search?q=cache:2FHx2CXP-_IJ:www.lochesentouraine.com/francais/tourisme/sites-monument/cite-medievale/abbaye.htm+%2B%22comte+d%27anjou%22+%2Bhildegarde+%2Belisabeth&hl=nl

Dit is een versie van <http://www.lochesentouraine.com/francais/tourisme/sites-monument/cite-medievale/abbaye.htm> zoals opgeslagen in het cachegeheugen <http://www.google.com/intl/nl/help/features.html> van G o o g l e op 21 nov 2004 07:12:44 GMT. G o o g l e's cache is de momentopname die we van deze pagina hebben gemaakt toen we het web doorzochten. De pagina kan ondertussen gewijzigd zijn. Klik hier voor de huidige pagina <http://www.lochesentouraine.com/francais/tourisme/sites-monument/cite-medievale/abbaye.htm> zonder selectie Deze in cache opgeslagen pagina bevat mogelijk koppelingen naar afbeeldingen die niet meer beschikbaar zijn. Klik hier voor de in cache opgeslagen tekst <http://www.google.nl/search?q=cache:2FHx2CXP-_IJ:www.lochesentouraine.com/francais/tourisme/sites-monument/cite-medievale/abbaye.htm+%2B%22comte+d%27anjou%22+%2Bhildegarde+%2Belisabeth&hl=nl&lr=&strip=1>. Gebruik de volgende URL om deze pagina aan je Favorieten toe te voegen of ernaar te linken: http://www.google.com/search?q=cache:2FHx2CXP-_IJ:www.lochesentouraine.com/francais/tourisme/sites-monument/cite-medievale/abbaye.htm+%2B%22comte+d'anjou%22+%2Bhildegarde+%2Belisabeth&hl=nl  Google heeft geen banden met de auteurs van deze pagina en is niet verantwoordelijk voor de inhoud ervan
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Le Donjon de Loches Les cachots et la cage La Tour Ronde Les souterrains Le Logis Royal La salle Jeanne d'Arc La salle Agnès Sorel La salle Anne de Bretagne et son oratoire Maison Lansyer <../lansyer/accueil.htm> La Collégiale St Ours L'Hôtel de Ville La Porte Royale La rue du Château La Chancellerie <../chancellerie/accueil.htm> La Porte Picois La Porte des Cordeliers La Tour St Antoine L'hôtel Nau Les remparts L'église St Antoine   Beaulieu-lès-LochesAbbaye Église St Laurent

Beaulieu-lès-Loches
Face à Loches et à sa citadelle, la cité de Beaulieu (le < Belli Locus >, le lieu de la guerre, de jadis) s’est développée au fond de la vallée de l’Indre, autour d’une abbaye bénédictine renommée.  La fondation de l’abbaye – Au tournant de l'an mil, l'éperon rocheux sur les flancs duquel s'établira peu à peu la ville de Loches appartient depuis près d'un siècle aux comtes d'Anjou, qui en ont fait une de leurs résidences et l'un de leurs principaux sites de défense le long de la vallée de l'Indre... C'est alors qu'apparaît cet homme incontournable, à la réputation sulfureuse, dont les siècles ont conservé le surnom, la légende et l'histoire... Il s'agit de Foulques III, comte d'Anjou, que plus tard, on appellera Nerra, laissant ainsi accrochée à sa mémoire, l'image conventionnelle du "Faucon noir" aux reflets diaboliques. Certes, ce n'est pas un saint, et ses emportements sont redoutables, certes, on le vit, chargeant à cheval le Trésorier de Saint-Martin dans la nef de son sanctuaire, certes, les moines de Saint Aubin qui, à vrai dire ne l'aimaient guère, l'accusèrent, non sans raison, d'avoir fait périr par combustion, sur le parvis de la cathédrale d'Angers, sa première épouse Elisabeth de Vendôme, qui avait tout juste vingt ans, mais ne le voyez pas cependant sous les traits d'un chef de bande détroussant paysans et gens d'église et réchauffant les longues nuits d'hiver en y brûlant parfois les filles combustibles. Non, c'est un tout autre homme, et il a une toute autre dimension. De 987 à 1040, durant les quarante-trois années où il eut charge de maintenir et faire prospérer le Comté, à bout de bras, à bout d'épée, il apparaît comme le plus grand homme d'état du monde occidental, grand stratège, fin diplomate, sachant se faire des alliés quand il lui convenait d'en faire, ne livrant bataille que lorsqu'il ne pouvait faire autrement, et médiatisant alors sa victoire due, bien entendu, au "bon droit", il fit de la vallée de l'Indre une frontière quasi infranchissable, construisant pour cela huit châteaux et donjons, dont celui de Loches n'est pas le moindre, ceinturant une douzaine de cités de défenses convenables, à l'abri desquelles on pouvait enfin faire la nique aux brigands, créant et dotant richement une dizaine de couvents et d'églises, trouvant enfin le temps de risquer sa vie et l'avenir de sa maison en allant à quatre reprises, prier Dieu en Terre-Sainte. Une vie tumultueuse, pleine de bruits et de fureur où il ne trouve guère le temps et le recul nécessaire pour penser à l'avenir de sa race et au salut de son âme... Et l'on aime à penser que c'est de la terrasse de son château de Loches, par un beau matin d'été, alors que le soleil se lève derrière l'épaisse forêt de Boisoger et que fleurissent les genêts sur l'autre rive de l'Indre, qu'il décida de créer de toutes pièces une abbaye où reposerait à jamais sa dépouille mortelle et où, durant les siècles à venir, moines et pères abbés, viendraient chanter matines et prier le Seigneur afin d'assurer le repos de son âme... Il devait être âgé alors d'une trentaine d'années, avait récemment épousé une princesse du Sundgau qui s'appelait Hildegarde, ce qui, dit Raoul Glaber, le grand reporter de l'an mil, "avait notablement adouci son humeur". Ainsi fut fait, et depuis l'an 1040, alors qu'il venait de décéder à Metz, auprès de sa très aimante, très fidèle et très efficace épouse, son corps repose en cette église qui lui sert ainsi de mausolée, au sein de cette abbaye bénédictine que la Révolution française réussira à désorganiser, mais non pas à détruire, et dont les murs sont encore debout, au sein de cette nouvelle cité, qui va naître et se développer durant des siècles, le long de cette étroite bande alluviale coincée entre la vallée de l'Indre et la forêt de Boisoger. La charte de fondation en est si libérale, les pouvoirs et les devoirs de chacun si bien définis qu'elle deviendra un modèle du genre, et qu'au XIVème siècle, Beaulieu, fière de son abbaye, de ses trois paroisses, et de la qualité de ses melons, sera la cité la plus vivante et la plus peuplée de tout le sud de la Touraine, avec son marché du samedi, que Loches lui disputera plus tard avec une redoutable ténacité. Pourtant, tout avait fort mal commencé et la journée du mois de mai 1007 au cours de laquelle devait être consacrée l'église prend, sous la plume de Raoul Glaber, des allures d'apocalypse. Certes, l'assistance est nombreuse et bien choisie : il y a là Foulques, sa famille, ses parents, ses féaux et ses obligés, certes il y a là, présidant la cérémonie, le cardinal Pierre, légat du pape et le représentant, mais on remarque surtout que de nombreuses places sont vides : l'archevêque de Tours, Hugues de Chateaudun n'est point là, et de très nombreux évêques ont carrément boycotté la cérémonie. Au fur et à mesure que celle-ci se déroule, l'atmosphère devient lourde et pesante, il va se passer quelque chose ! Il se passe quelque chose ! Dans la soirée, le Seigneur, irrité de ces atteintes aux usages de l'église, fait s'élever une redoutable tempête, et, d'un revers de sa main renverse la charpente et ouvre à tous les vents l'intérieur de l'église. Il faudra une quarantaine d'année pour tout remettre en ordre, mais qu'importe, l'église est consacrée, et désormais ne relève que du pape et non plus de l'évêque du lieu. Partie gagnée, mais non sans peine. Reste à baptiser les habitants : on n'y pensa pas tout d'abord, et puis l'usage fit qu'on préféra belli locus au lieu de bellus locus, faisant de Beaulieu le lieu de la guerre et de ses habitants des bellilociens. Les malheurs de la guerre – L’abbaye de Beaulieu ne possédait pas, comme Loches, de solides fortifications et lors de la guerre de Cent Ans, la place fut, par deux fois, occupée par les Anglais ; en 1359 d’abord, et surtout en 1412 : cette année-là, l’armée anglaise mit à feu et à sang la ville et le monastère. La rue Brûlée rappelle toujours, plus de cinq siècles après, ce triste événement ! Au XVIème siècle, Beaulieu devait souffrir des luttes acharnées qui opposèrent catholiques et protestants et en 1562 l’abbaye était pillée par les Huguenots… Quelques années plus tard (en 1576), Catherine de Médicis vint à Beaulieu retrouver son fils, le duc d'Alençon, afin de tenter de le réconcilier avec son frère, le roi Henri III. Les négociations engagées là aboutirent à un traité signé à Etigny, près de Sens, mais cet accord a parfois été appelé "paix de Beaulieu" par les historiens.  Vestiges de l’église abbatiale – Extérieur – De l’église construite par Foulques Nerra au début du XIème siècle, il reste principalement le long mur septentrional de la nef, percé, près de son sommet, d’une rangée de fenêtres en plein cintre. Cette nef, couverte d’abord en charpente, reçut, à la fin du XIème siècle, une voûte en berceau dont les arcs doubleaux reposaient sur les chapiteaux des colonnes engagées toujours visibles. Comme cette voûte masquait en partie les fenêtres supérieures, d’autres furent percées plus bas… Les deux bras du transept, également conservés, furent couverts à cette même époque d’une voûte en plein cintre et chacun d’eux fut prolongé d’une absidiole semi-circulaire. Au XIIème siècle, la façade principale de l’église fut flanquée à son angle nord-ouest du magnifique clocher roman qui surplombe toujours Beaulieu de ses 61 mètres. Sa base carrée supporte trois étages, le dernier étant couvert de chaque côté de deux grandes baies. Une flèche octogonale avec, à son pied, pinacles et petites lucarnes triangulaires, termine l’ensemble. Au nord du clocher, une allée (fermée par un portail) permet de longer une bonne partie de l’édifice et d’apercevoir, dans le pignon du bras nord du transept, un étrange bas-relief représentant une scène très confuse où semblent s’affronter animaux fantastiques et chevaliers. D’autres sculptures (animaux et personnages) se remarquent un peu plus bas, sous les fenêtres de gauche, ainsi que sur le contrefort situé à côté. Derrière le transept, on découvre les ruines d’un déambulatoire qui entourait autrefois le coeur. De ses trois chapelles rayonnantes, celle du nord demeure la mieux conservée. On a aussi une belle vue sur le nouveau chœur à cinq pans construits au XVème siècle après la dévastation de l’abbaye par les anglais (1412). Voûté sur ogives et éclairé par de vastes fenêtres de style flamboyant, il est relié à des contreforts par l’intermédiaire d’élégants arcs-boutants. Intérieur – L’église actuelle, dont la façade fut refaite au début du XXème siècle, comprend une nef et deux collatéraux aux clefs de voûte richement décorées. Au-dessus de la porte d’entrée principale, on peut voir une belle Vierge du XVIème siècle en bois, dite "Vierge des douleurs" et, dans l’angle nord-ouest, une cuve baptismale sculptée. Dans le choeur, entouré de stalles aux miséricordes ornées de sculptures, se trouvent un très beau siège abbatial datant du début du XVIème siècle et un lutrin en forme d’aigle. Dans le bras sud du transept, une inscription indique l’endroit où était inhumé Foulques Nerra. De là, un passage à voûte étoilée mène à la sacristie où l’on peut admirer une série de panneaux de bois peints du XVIIème siècle représentant des fleurs et des portraits de saints. Quelques bâtiments conventuels – Le cloître de l’abbaye s’étendait au sud de l’église, là où s’étale aujourd’hui la place du Maréchal Leclerc. A l’est, la mairie s’est installée dans des bâtiments construits au début du XVIIIème siècle. A l’ouest, de l’autre côté de la rue de l’abbaye, la "Maison de l'abbé", au balcon en pierre monté sur trompe qui aurait servi de "chaire" lors de certaines cérémonies se déroulant en plein air. A côté, se dresse un beau portail du XVIIème siècle. L'église abbatiale est classée Monument Historique depuis le 10 mars 1852. L'abbaye est ouverte tous les jours de 10 h à 18 h 30.  D’autres édifices religieux – Outre son abbaye, Beaulieu possédait trois paroisses : Saint Pierre, Saint Laurent et Saint André. (Il ne reste aucune trace de l’église de cette dernière paroisse qui se trouvait à l’est du bourg).
L’église Saint Laurent de Beaulieu-lès-Loches
Située juste au nord de l’église abbatiale, elle domine la rue Foulques Nerra de sa haute façade ajourée au XVIème siècle d’une fenêtre à remplage flamboyant. La nef, construite au début du XIIIème siècle, se divise en deux travées, couvertes, comme les bas-côtés qui l’accompagnent, de magnifiques voûtes angevines très bombées dont les clefs s'ornent de médaillons sculptés (on reconnaît notamment le Christ bénissant). Le choeur comprend également deux travées voûtées sur croisées d’ogives. Deux chapelles ont été ajoutées, de part et d’autre, au XVIème siècle. Elles sont dues à des membres de la famille Sauvage, dont on voit les armoiries à la clef de voûte de la chapelle latérale nord, et sur les remarquables chapiteaux de la chapelle sud. L'un d'entre eux, Jehan Sauvage, fut aumônier d'Anne de Bretagne . Dans celle du sud, construite vers 1530, se trouvent plusieurs plaques funéraires de la famille de Bridieu… Le clocher ne manque pas d’originalité ni de charme ; c’est une tour carrée dont l’étage supérieur s’ouvre de baies élégantes et dont les corniches sont soutenues par des modillons sculptés. L'église Saint Laurent est classée Monument Historique depuis le 17 décembre 1952. L'église Saint-Laurent est ouverte tous les jours de 9 h à 19 h.
L’église Saint Pierre – Il ne subsiste d'elle que son abside au chevet plat, percée de trois fenêtres à lancettes (XIIIème siècle). A gauche, une tourelle d’escalier circulaire montait au clocher. Les murs de l'ancienne église Saint Pierre sont inscrits aux Monuments Historiques depuis le 14 septembre 1949. La "Léproserie" - Rue Georges-Patry, on remarque surtout la façade méridionale, avec ses étroites fenêtres en plein cintre et le large contrefort, de ce bâtiment du XIIème siècle. Il hébergea probablement les lépreux comme le veut la tradition et joua plus tard le rôle de maladrerie. Façades et toitures inscrites aux Monuments Historiques depuis le 14 septembre 1949. La chapelle Sainte Barbe – Un peu plus loin, la rue Georges-Patry conduit à la modeste chapelle Sainte Barbe, fondée en 1475 par Jean de Signory, curé de la paroisse Saint-André, au milieu de ce qui était alors le cimetière de la Varenne (cimetière désaffecté dès le XVIIIème siècle). Sa façade est surmontée d’un minuscule campanile. Chaque veille de Saint-Jean, le curé de Saint André allumait un feu de joie devant la chapelle, feu autour duquel venaient danser les habitants de Beaulieu. En repartant, chacun emportait un morceau de bois calciné qui devait préserver les moissons et les récoltes des orages et des tempêtes. Le Couvent des Viantaises – Il fut fondé en 1643, rue Brûlée, à la limite de Loches, par Catherine-Angélique et Renée-Thérèse de Boursault, filles du marquis de Viantais, seigneur de Bridoré. Aujourd’hui, la rue des Viantaises mène à l’ancien enclos du monastère qu’un mur de 5 mètre de haut, toujours debout, isolait du monde extérieur. Une multitude de vieux logis – Une flânerie dans les rues de Beaulieu permet de découvrir de surprenants logis, émouvants témoins d’une époque où la ville connaissait, grâce à son abbaye, une certaine prospérité. Rue Guigné – Peu après le carrefour avec la rue Bourgeoise, on peut voir une maison à colombage du XVème siècle avec un étage en encorbellement. Plus loin, sur le même côté, juste avant la rue du Puits Mourier, se dressent deux autres maisons du XVème siècle, mais en pierres. La seconde appelée "Maison du Pilori", doit son nom à l’anneau de fer qui pend au bout d’une tige sur la façade, anneau qui, dans l’imagination populaire, devait servir à pendre les condamnés mais qui n’est peut-être qu’une borne marquant la limite entre deux fiefs. Façades et toitures inscrites aux Monuments Historiques depuis le 14 septembre 1949. La rue Guigné conduit ensuite à la croix de Bonne Nouvelle. Là, une petite route monte à la Tour Chevaleau, une construction du XIIème siècle, bâtie sur le rocher. La Tour Chevaleau (ou Chevalot) est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 12 juin 1926. Rue du Puits Mourier – La Maison d’Agnès Sorel (XVème siècle) – Sa façade garde la trace d’un portail en arc brisé avec, à sa gauche, dans un cartouche, des armoiries effacées. On ne connaît pas l’origine de la légende selon laquelle cette demeure aurait abrité la maîtresse de Charles VII . Au XVIIIème siècle, le bâtiment servit de caserne avant de devenir, en 1780, l’Hôtel de Ville de Beaulieu. Rue des Morins – La maison des Templiers – Face à la pittoresque rue Frotte-Bottes, étroite et pavée, cette construction du XIIème siècle a-t-elle été édifiée par l’Ordre du Temple ? Aucun document ne le prouve et, là encore, seule la tradition orale veut voir dans cet édifice le souvenir des fameux moines-soldats. (Maison des Templiers : Infos au 02 47 59 06 64). La Maison des Templiers est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 11 décembre 1944. Au bas du Mail Saint Pierre – La vieille poste – Deux hauts pignons pointus, dont les ouvertures ont été bien souvent refaites, surplombent la rue Basse où passait autrefois la route d’Espagne. Le château du Pressoir – En dehors de la ville, vers le sud, sur le coteau qui domine la vallée de l’Indre, ce château, construit au XIXème siècle, étale une façade néogothique qui vient s’appuyer sur une grosse tour ronde couronnée de mâchicoulis de fantaisie.   Informations extraites de < Loches et la Touraine du Sud > de Bernard Briais, < Vieux Logis de Touraine > de André Montoux, < Loches, Beaulieu et alentours > de la Société des Amis du Pays Lochois.   Mairie de Beaulieu Place du Maréchal Leclerc 37 600 Beaulieu-lès-Loches Tel : 02 47 91 94 94 / Fax : 02 47 91 51 97 Jour de marché : dimanche (matin)   Retour à la carte

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.
SOURCES:  LDS Family History Library, ancestral file #9GB6-C1 (familysearch.org) WEB:
ATWP:
"Neuman-Smith-Goodale Family and Ancestors" Michael R. Neuman (XXXXX@XXXX.XXX)
"Stimpson Family", Cory Stimpson (XXXXX@XXXX.XXX)

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Verwantschap Foulques III 'Nerra the black' d' (Foulques III 'Nerra, the black' d') Anjou

Bronnen

  1. Bienvenue sur les pages persos des Freenautes, AUREJAC.GED, http://arnaud.aurejac.free.fr / n/a
  2. http://vandermerwede.net/
    http://vandermerwede.net/
    / n/a
  3. bright.ged, Brower, Maitland Dirk


Dezelfde geboorte/sterftedag

Bron: Wikipedia


Over de familienaam Anjou

  • Bekijk de informatie die Genealogie Online heeft over de familienaam Anjou.
  • Bekijk de informatie die Open Archieven heeft over Anjou.
  • Bekijk in het Wie (onder)zoekt wie? register wie de familienaam Anjou (onder)zoekt.

Wilt u bij het overnemen van gegevens uit deze stamboom alstublieft een verwijzing naar de herkomst opnemen:
Richard Remmé, "Genealogy Richard Remmé, The Hague, Netherlands", database, Genealogie Online (https://www.genealogieonline.nl/genealogie-richard-remme/I153.php : benaderd 30 april 2024), "Foulques III 'Nerra the black' d' (Foulques III 'Nerra, the black' d') Anjou (972-1040)".