Genealogie Piette » Louis VI Le Gros de France (1081-1137)

Persoonlijke gegevens Louis VI Le Gros de France 

  • Hij is geboren op 1 december 1081 in Paris,75056,Île-de-France, Friesland, Nederland.
  • Hij is overleden op 1 augustus 1137 in Briouze,61063,Orne,Normandie,FR, hij was toen 55 jaar oud.
  • Deze gegevens zijn voor het laatst bijgewerkt op 24 juli 2020.

Gezin van Louis VI Le Gros de France

Hij is getrouwd met Adelaïde de Savoie.

Zij zijn getrouwd op 3 augustus 1115 te Paris,75056,Île-de-France, Friesland, Nederland, hij was toen 33 jaar oud.


Kind(eren):

  1. Robert Ier de Dreux  ± 1123-1188 


Notities over Louis VI Le Gros de France

Roi des Francs (1108-1er août-1137).
Comte de Vermandois. Comte de Vexin (1092-1137).
Fils de Berthe de Hollande et de Philippe Ier, associé au trône en 1098 par son père qui lui avait confié les opérations militaires face aux Anglo-Normands, il doit se faire sacrer précipitamment le 3 août 1108 pour ne pas risquer la concurrence d'un fils de la seconde femme de son père, Bertrade de Montfort. Il épouse en 1115 Adélaïde de Savoie, nièce du pape Calixte II. Sous son règne, le pouvoir royal s'affirme sur le domaine par l'élimination des seigneurs pillards d'Ile-de-France : Ebbes de Roucy (1102), Enguerrand de Coucy (1117), et surtout Thomas de Marle (1130). Ce domaine est intelligemment mis en valeur suivant les conseils de Suger, abbé de Saint-Denis : création de villes neuves et privilèges fiscaux accordés aux communautés rurales contribuent à peupler l'Ile-de-France. La charte de Lorris en Gâtinais servira de modèle pendant tout le XIIe siècle. Au-delà du domaine, Louis VI essaie d'affirmer l'autorité de la justice royale dans les grands fiefs : il intervient avec succès en Bourbonnais et en Auvergne, mais il ne peut s'imposer ni en Normandie, ni en Flandre. Contre Henri Ier Beauclerc, duc de Normandie et roi d Angleterre, il mène en vain trois campagnes pour soutenir les prétentions de Robert Courteheuse puis de Guillaume Cliton. En Flandre, il ne réussit pas davantage, après l'assassinat du comte Charles le Bon (1127), à imposer son protégé, le même Guillaume Cliton, contre Thierry d Alsace. Ce second échec témoigne de l'existence de puissances nouvelles, les villes de Flandre, dont Louis VI n'avait pas respecté les privilèges. Pourtant, comme dans son domaine, Louis VI saura jouer des forces socio-économiques nouvelles : il soutient l'établissement des communes urbaines en Picardie et en Flandre, comme il soutient les efforts des réformateurs grégoriens pour soustraire l'élection des évêques à l'autorité des princes, mais non à la sienne propre. Cette politique porte ses fruits puisqu'en 1124, lorsque l'empereur Henri V, allié de Henri Ier Beauclerc son gendre, envahit la France, Louis VI obtient l'aide de tous ses grands vassaux, ce qui contraint l'empereur à se retirer sans combattre. Elle semble même remporter un succès sans précédent en 1137 : Louis VI marie son fils aîné, le futur Louis VII, à Aliénor, fille et unique héritière du duc d'Aquitaine. Le domaine royal s'étend de l'Oise aux Pyrénées, mais le divorce d'Aliénor et son remariage avec Henri II Plantagenêt (1152) devaient remettre en cause cette union contre nature du nord et du sud du royaume. Sur la jeunesse de Louis VI le Gros, SUGER, illustre abbé de Saint-Denis, a rédigé un ouvrage connu sous le nom de "Vie de Louis VI le Gros". Nous donnons ci-dessous le texte qui décrit les jeunes années du futur roi de France et de sa lutte contre le roi d'Angleterre Guillaume le Roux (né en 1056 - mort en 1100) : Or donc le glorieux et renommé roi de France Louis, fils du magnifique roi Philippe, alors quÙuil se trouvait encore dans la fleur du premier âge, à douze ou treize ans environ (1), beau et bien fait, accomplissait de tels progrès, à la fois quant à sa louable et belle activité morale et quant à la taille de son corps très élégant, quÙuil promettait de ne pas tarder à procurer un honorable agrandissement à son futur royaume et faisait naître dÙuagréables espoirs pour la protection des églises et des pauvres. Ce jeune enfant de haut lignage, se conformant à lÙuantique coutume, attestée par des actes impériaux, des rois Charlemagne et autres excellents princes, sÙuattacha aux saints martyrs qui sont à Saint-Denis et à leurs serviteurs; il le fit avec un tel doux attrait, comme naturel, quÙuil conserva durant toute sa vie, avec beaucoup de libéralité et dÙuhonneur lÙuamitié quÙuenfant il avait, innée en lui, pour leur église et quÙuà la fin, mettant, après Dieu, son suprême espoir en eux, il leur abandonna délibérément et très dévotement sa propre personne, corps et âme, afin, si cÙuétait possible, de se faire moine en ce lieu (2). A lÙuâge dont nous parlons une valeur croissante mûrissait vigoureuse en son coeur de jeune homme; il ne pouvait sÙuen tenir aux amusements de la chasse et aux jeux enfantins auxquels il est dÙuusage quÙuon sÙuébatte à cet âge sans apprendre à manier les armes. Tandis quÙuil se trouve en butte aux attaques de plusieurs hauts barons du royaume et du très grand roi dÙuAngleterre Guillaume (3), fils de ce roi Guillaume, encore plus grand, qui conquit lÙuAngleterre (4), la force de son coeur de preux sÙuexalte, sa vaillance sourit à lÙuépreuve, chasse lÙuinertie, ouvre les voies à la sagesse, dissipe lÙuoisiveté, presse la sollicitude. Guillaume, roi dÙuAngleterre, chevalier rompu à son métier, impatient de gloire et convoiteux de renom (5), ayant déshérité son frère aîné Robert, succédé heureusement à son père Guillaume et, après le départ de son frère aîné pour Jérusalem, obtenu le duché de Normandie (6), ainsi quÙuil sÙuétend sur les limites des marches du royaume, sÙuefforçait de combattre par tous les moyens possibles le jeune et renommé prince (7). Dans leur lutte, ils se montraient semblables et dissemblables, semblables en ce que ni lÙuun ni lÙuautre ne cédait, dissemblables puisque lÙuun était dÙuâge mûr, lÙuautre encore jouvenceau; lÙuun, opulent, prodigue des trésors de lÙuAngleterre, pratiquait à merveille lÙuart dÙuacheter et de soudoyer des chevaliers; lÙuautre, dépourvu dÙuargent, ménager des ressources du royaume paternel, nÙuassemblait de la chevalerie que par des prouesses dÙuactivité et résistait avec audace (8). Vous eussiez vu ce jeune prince si prompt franchir dÙuun vol, à la tête dÙuune poignée de chevaliers, les frontières tantôt du Berry, tantôt de lÙuAuvergne, tantôt de la Bourgogne, revenir non moins vite dans le Vexin, sÙuil apprenait que son retour était nécessaire, faire héroïquement front avec trois cents ou cinq cents chevaliers au roi Guillaume, qui en avait dix mille, et, les vicissitudes d une guerre étant incertaines, tantôt céder devant lui, tantôt le mettre en fuite (9). En de telles rencontres on se faisait beaucoup de prisonniers des deux côtés. Entre plusieurs autres que prirent ainsi le jeune et renommé prince et ses gens, il y eut le noble comte Simon (10), Gilbert de lÙuAigle, noble baron, également illustre en Angleterre et en Normandie (11), Païen de Gisors, en faveur de qui fut pour la première fois fortifié le château de même nom (12); de son coté le roi dÙuAngleterre retint captifs le vaillant et noble comte Mathieu de Beaumont (13), lÙuillustre et très renommé baron Simon de Montfort (14) et monseigneur Païen de Montjay (15). Mais, au lieu que lÙuinquiétude dÙuavoir à soudoyer dÙuautres chevaliers accéléra le paiement de la rançon des Anglais, les Français, eux, subirent les rigueurs dÙuune captivité très longue et ne purent se faire relâcher que lorsque, sÙuétant engagés au service du roi dÙuAngleterre et attachés à lui par les liens de lÙuhommage, ils eurent promis par serment de combattre et troubler le royaume et le roi. On disait couramment que ce roi orgueilleux et agressif aspirait à la couronne de France, parce que le jeune et renommé prince était le seul fils que son père eût de sa très noble épouse, la soeur du comte Robert de Flandre (16). Ses deux autres fils, Philippe et Floire, étaient nés de la comtesse dÙuAnjou, Bertrade, avec laquelle il avait, quoique déjà marié, vécu en concubinage (17); aussi ne les comptait-on pas comme des successeurs pour le cas où par infortune lÙuunique héritier décéderait dÙuabord. Mais, parce quÙuil nÙuest ni permis ni naturel que les Français soient soumis aux Anglais, ni même les Anglais aux Français (18), lÙuévénement déjoua sa détestable espérance. Le fait est que, sÙuétant, lui et les siens, tourmenté de cette folie pendant trois ans et plus, et voyant que, ni par le moyen des Anglais, ni par le moyen des Français liés à lui par lÙuhommage, il nÙuavançait à rien, quÙuil ne pouvait satisfaire son désir, il perdit courage. Il passa en Angleterre (19), où il se livra au plaisir et à ses caprices. Un jour, il chassait avec ardeur dans la Forêt Neuve, quand il fut inopinément frappé dÙuune flèche (20). Il périt. On vit là un coup de la vengeance divine et on en donnait pour raison, avec vraisemblance, quÙuil sÙuétait montré intolérable oppresseur des pauvres, quÙuil soumettait les églises à de cruelles exactions et quÙuà la mort des évêques et des prélats il retenait et dissipait leurs biens sans aucun respect. Certains accusaient un très noble personnage, Gautier Tirel, dÙuêtre celui qui lÙuavait percé dÙuune flèche. Mais nous avons assez souvent entendu ce Tirel, libre de crainte et dÙuespoir, affirmer sous la foi du serment et comme jurer sur saints que, ce jour-là, ni il nÙuétait venu dans la partie de la forêt où chassait le roi, ni il ne lÙuavait du tout vu dans la forêt (21). DÙuoù il est constant que, si une si grande folie, en un si grand personnage, sÙuest évanouie si brusquement en fumée, cÙuest par lÙueffet de la divine puissance; de la sorte, celui qui inquiétait sans raison les autres se vit inquiété beaucoup plus gravement et celui qui convoitait tout se trouva inglorieusement dépouillé de tout. En effet, cÙuest à Dieu, qui ôte le baudrier des rois (22), que les royaumes et les droits des royaumes sont soumis. Au dit Guillaume succéda sur le trône, le plus promptement possible (23), son plus jeune frère - puisque lÙuaîné, Robert (24), était à la grande expédition du Saint-Sépulcre - le très sage Henri, prince dont le corps et lÙuâme, la vaillance et le savoir, aussi dignes dÙuadmiration que de louange, offriraient une matière qui nous agréerait (25). Mais cela nÙuest pas notre affaire, à moins quÙuil ne nous faille effleurer sommairement quelque sujet qui, incidemment, se puisse mêler à notre exposé, comme, par exemple, nous parlerons même du royaume de Lorraine. CÙuest des Français, non des Anglais, que nous nous sommes proposé de coucher par écrit lÙuhistoire. Notes: 1) On a fixé la date de sa naissance tantôt à 1077 ou 1078, tantôt à 1081 ou 1082. Achille Luchaire (Louis VI le Gros, Annales de sa vie et de son règne, Paris, 1890, in-8À, page 289) donne dÙuexcellentes raisons en faveur de 1081 et même, plus précisément, du mois de décembre. Cf. A. Fliche (Le règne de Philippe Ier, roi de France, Paris, 1912, in-8À, page 39), qui se rallie à cette date. 2) Ce passage est repris par Suger dans ses leçons pour lÙuanniversaire de son royal ami (publiées par Dom Martène dans Amplissima collectio, tome IV, pages XXXVII-XL). 3) Guillaume le Roux. 4) Guillaume le Conquérant était mort le 9 septembre 1087. 5) "Convoiteux de renom" (fame petitor) est du Lucain (Pharsale, I, 131), impatient de gloire (laudis avarus) une réminiscence dÙuHorace (Art poétique, 324). 6) Avant de partir, Robert, dit Courteheuse, engagea son duché à Guillaume, moyennant une somme de 10.000 marcs, pour tout le temps quÙuil resterait absent, trois ans au moins (Freeman, The reign of William Rufus, Oxford, 1882, tome 1, page 555). 7) Louis avait reçu de son père, en 1092, lÙuinvestiture du comté de Vexin, avec les villes de Mantes et de Pontoise (Achille Luchaire, Louis VI le Gros, Annales de sa vie et de son règne, Paris, 1890, in-8À, nÀ 4). La guerre pour le Vexin dut commencer au plus tôt dans les derniers jours de novembre 1097; Guillaume élevait des prétentions sur Pontoise, Mantes et Chaumont, que Philippe Ier refusait de lui abandonner. 8) Cette idée que lÙuAngleterre est plus riche que la France se retrouve dans un mot attribué par Gautier Map à Louis VI, de la bouche de qui il prétend lÙuavoir entendu : ÙC Le roi dÙuAngleterre, à qui rien ne manque, possède des hommes, des chevaux, de lÙuor et de la soie... Nous, en France, nous nÙuavons que du pain, du vin et de la bonne humeur ÙD (De nugis curialium, dans M.G.H., Scriptores, tome XXVII, page 73). 9) Le rôle du jeune Louis est peut-être quelque peu embelli par Suger. ÙC Sa jeunesse encore tendre, écrit Orderic Vital, le tenait à lÙuécart ÙD (Histoire ecclésiastique, éditions Le Prévost, et L. Delisle, tome IV, page 19). La lutte présenta deux phases, la première de novembre 1097 à la fin de lÙuhiver 1098, la seconde de septembre 1098 - ce fut le moment le plus critique - jusquÙuau retour de Guillaume en Angleterre en avril 1099. Chaumont et Pontoise restèrent aux mains des Français (A. Fliche, Le règne de Philippe Ier, roi de France, pages 303 à 305). 10) Sans doute Simon de Senlis, comte de Huntingdon du chef de sa femme Mathilde. 11) Fils de Richer Ier, seigneur de Laigle (Orne, arrondissement de Mortagne), Gilbert possédait plusieurs fiefs en Angleterre et avait épousé une fille du comte du Perche, Julienne. Il ne doit pas être confondu avec un autre Gilbert de Laigle, son oncle paternel, qui, étant châtelain dÙuExmes, fut tué en février 1092. Voir Vicomte du Motey, Robert II de Bellême, Paris, 1923, in-8À), pages 52, 66, 102, 211, 214. 12) Les Grandes Chroniques traduisent : ÙC à qui le roy dÙuAngleterre ferma lors premierement le chastel de Gisors ÙD. Le château de Gisors fut entrepris à la fin de 1096 dÙuaprès les plans de Robert de Bellême et sur lÙuordre de Guillaume le Roux, qui voulait lÙuopposer aux places françaises de Chaumont, Trie et Boury. Thibaut Païen, premier du nom, seigneur de Gisors et de Néaufles, ne lÙuobtint quÙuen 1101, après lÙuavoir jusquÙualors gouverné pour les ducs (Oeuvres de Suger, éditions Lecoy de La Marche, pages 427 à 428). 13) Beaumont-sur-Oise, Seine-et-Oise, canton de LÙuIsle-Adam. Mathieu, premier du nom, était fils du comte Ive III, dit le Clerc, qui mourut probablement en 1081. Une des soeurs de Mathieu, Agnès, avait épousé Bouchard IV de Montmorency. Cependant il y avait eu des démêlés entre les deux beaux-frères vers 1084, au sujet du règlement de la succession dÙuIve le Clerc (J. Depoin, Les comtes de Beaumont-sur-Oise et le prieuré de Conflans Sainte-Honorine, dans les Mémoires de la Société historique ... de Pontoise et du Vexin, tome XXXIII, 1915, pages 31 à 33). 14) Montfort-lÙuAmaury (Seine-et-Oise, arrondissement de Rambouillet, chef-lieu de canton). Simon II le jeune, second fils dÙuun troisième mariage de Simon Ier, avait succédé en 1092 à son frère Richard. Il mourut sans postérité vers 1101. Voir A. Rhein, La seigneurie de Montfort-en-Iveline (Versailles, 1910, in-8À), pages 36 à 50. 15) Montjay-la-Tour (Seine-et-Marne, arrondissement de Meaux, canton de Claye, commune de Villevaudé). Le vrai nom de Païen était Aubri. On le trouve dans lÙuentourage des rois Philippe Ier et Louis VI au moins de 1090 à 1122 (Achille Luchaire, Louis VI le Gros, Annales de sa vie et de son règne, Paris, 1890, in-8À, nÀ 2 et 319). 16) Soeur utérine seulement. Berthe de Frise était fille de Florent Ier, comte de Hollande, et de Gertrude de Saxe; celle-ci, veuve de Florent, avait épousé en 1060 Robert Ier, comte de Flandre, à qui succéda en 1093 son fils Robert II. 17) Ils étaient nés entre 1093 et 1097 (A. Fliche, Le règne de Philippe Ier, roi de France, page 549). 18) Les Grandes Chroniques traduisent : ÙC Pour ce que ce nÙuest pas droit ne chose naturelle que François soient en la subjeccion dÙuAnglois, ains est droit que Anglois soient en la subjeccion françoise ÙD, ce qui ne répond ni à la structure de la phrase latine, ni aux idées générales de Suger. Voir, à lÙuencontre de notre opinion, O. Cartellieri, Abt Suger von Saint-Denis, page 114, note 1. 19) Le 10 avril 1099. 20) Le 2 août 1100. La Forêt Neuve se trouve entre Southampton et Winchester. LÙuendroit où tomba Guillaume est connu et marqué par une pierre (Freeman, The reign of William Rufus, tome II, pages 657 à 676). 21) Gautier Tirel, un Français - il était châtelain de Poix et de Pontoise - se retira à Pontoise après la mort de Guillaume le Roux, mais sans perdre les biens quÙuil possédait outre-Manche. Il mourut sur le chemin de la Terre-Sainte en 1123 (J. Depoin, Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise, page 454). Freeman, après un examen de tous les textes, se range à lÙuhypothèse dÙuun accident, mais croit que Tirel accompagnait le roi et fut lÙuauteur involontaire de lÙuaccident. 22) Cf. Job, XII, 18. 23) Henri Ier Beauclerc gagna Londres dès la mort de son frère et se fit aussitôt sacrer à Westminster. 24) Robert Courteheuse était né vers 1054, Henri en 1068. 25) Suger ne parle jamais quÙuavec respect dÙuHenri Ier, lequel, en retour, professait pour lui la plus haute estime. ÙC Il se glorifiait de son amitié ÙD, écrit le moine Guillaume (Oeuvres de Suger, éditions Lecoy de La Marche, page 384). Sources: ÙC Suger - Vie de Louis VI le Gros ÙD, éditée et traduite par Henri Waquet, archiviste du département du Finistère, ÙC Les Classiques de lÙuHistoire du Moyen Âge ÙD publiés sous la direction de Louis Halphen, Tome 11, Paris, Librairie Ancienne Honoré Champion, éditeur, 1929, pages 5 à 15. http://www.lodace.net/histoire. (Sources citées par Erwan GARGADENNEC sur son site http://gw.geneanet.org/mastrec : Eugène VASSEUR "Les Nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du 17ème siècle" 2002 3e éd).

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Voorouders (en nakomelingen) van Louis VI Le Gros de France

Louis VI Le Gros de France
1081-1137

1115

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