Il est marié avec N..
Ils se sont mariés environ 1338.
Enfant(s):
Bulletin de la Commission historique du département du Nord, Lille, 1843:
Parmi les nobles de la châtellenie qui, en 1344, s'élevèrent contre le droit d'arsin que s'attribuait la commune de Lille, on cite Jean du Maisnil (Roisin, édition Brun-Lavainne, p. 385). Le 21 mars 1349, Jean du Maisnil, chevalier, est témoin d'une réparation faite aux doyen et chapitre de Saint-Pierre de Lille, par Robert d'Englos, écuyer, qui avait battu le valet de leur moulin de Lomme (Mgr Hautcoeur, Cartulaire de la collégiale de Saint-Pierre de Lille, p. 724).
Messieurs du Chapitre de Saint Pierre suffrirent beaucoup de ces executions dans les biens sur Icsqucls ils avoient quelques droits. Commc aFlers en ufii a Qucsnoi cn i»48> ä Watignies en i*56 et a Esquermes en is8o, n'en pouvant point avoir raison du Magistrat il porterent leurs plaintes de concert avec l'Eveque de Tournai, qui avoit aussi souffert quelques dommages, ä Innocent quatrierac, qui etoit alors assis sur la chaire de Saint Pierre. Le Saint Pcretouclie de ces plaintes, ecrivit aux Magistrats de Lille, et a la comtesse Marguerite qui secondant sa Saintete ne put par son autorite rien obtenir, et on ne fit point de cas de rexcommunication, que ce Pape avoit ordonne ä l'Eveque de Tournai de jetter sur le Magistrat puisque cette coütume estoit encore en vigueur en i344 p'us de eent ans apres, commc on voit dans la Sentence du Parlement de Paris du »1. May de la meine annee, par oü le Boy de France autorise le Magistrat dans l'exercice de ces executions , malgre les remontrances des premiers seigneurs du Pays , qui estoient Hugnes de Lannoy, Guillaume de Hern , Tibere Douvrin , Jacques de Poutennerie, Robert de Wavrin, Hellin Desmasiers, tous honorez du titre de Chevalier, Autard de Poucques, le Sieur de Beaufremez, Jean du Mesnil, Robert et Bernard d'Englos, Jean de Baye, Jean et Allard de Croix, Pierre de Bondues, escuiers, se joignerent ensemble pour remonstrer au Roi le tort, que ces executions leur causoient, mais leurs plaintes ne furent point e'coutees.
Flandrische Staats- und Rechtsgeschichte bis zum Jahr 1305, Band 2, Ausgabe 2, p. 270
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