Attention: Marié (22 janvier 1328) avant la naissance (15 juin 1330).
Attention: L'âge au mariage (22 janvier 1328) était inférieur à 16 ans (0).
Attention: Avait moins de 16 ans (9) lors de la naissance (6 mars 1340) de l'enfant (John of Gaunt 1st Duke of Lancaster (Plantagenet)).
Attention: Avait moins de 16 ans (11) lors de la naissance (3 mars 1342) de l'enfant (Princess Blanche Plantagenêt).
Attention: Avait moins de 16 ans (11) lors du décès (3 mars 1342) de l'enfant (Princess Blanche Plantagenêt).
Attention: Avait moins de 16 ans (12) lors de l'enterrement (??-??-1342) de l'enfant (Princess Blanche Plantagenêt).
Attention: Avait moins de 16 ans (10) lors de la naissance (5 juin 1341) de l'enfant (Edmund of Langley 1st Duke of York).
Attention: Avait moins de 16 ans (8) lors de la naissance (29 novembre 1338) de l'enfant (Lionel of Antwerp 1st Duke of Clarence).
Attention: Avait moins de 16 ans (14) lors de la naissance (10 octobre 1344) de l'enfant (Mary of Waltham).
Attention: Avait moins de 16 ans (2) lors de la naissance (16 juin 1332) de l'enfant (Isabella (Isabella /Plantagenet/ Of England) Bedford).
Attention: Avait moins de 16 ans (9) lors de la naissance (6 mars 1340) de l'enfant (John of Gaunt).
Attention: Avait moins de 16 ans (6) lors de la naissance (16 septembre 1336) de l'enfant (William Plantagenet).
Attention: Avait moins de 16 ans (7) lors du décès (8 juillet 1337) de l'enfant (William Plantagenet).
Attention: Avait moins de 16 ans (2) lors de la naissance (??-02-1333) de l'enfant (Princess Joan England).
Attention: Baptisé (8 décembre 1312) avant la naissance (15 juin 1330).
Attention: Baptisé (20 novembre 1312) avant la naissance (15 juin 1330).
(1) Il est marié avec Philippa (Philippe d'Avesnes of Hainault Queen of England) de Hainault.
Ils se sont mariés le 22 janvier 1328 à York Minster, York, Yorkshire, England.
Enfant(s):
(2) Il est marié avec Alice Perrers.
Ils se sont mariés
Enfant(s):
(3) Il est marié avec N.N. Unknown Mistress of Edward III.
Ils se sont mariés
(4) Il est marié avec Isabella Suffolk.
Ils se sont mariés
Fils et successeur d'Édouard II qui était homosexuel et ne supportant pas le contact des femmes, il est probablement le fil de l'amant de son père, Piers Gaveston, qu'il faisait coucher dans le lit conjugal.
Edouard III se débarrassa, en 1330, de la tutelle de sa mère. Il fit valoir, en 1337, ses droits à la couronne de France, déclenchant ainsi la guerre de Cent Ans. Il détruisit une partie de la flotte française, puis vainquit les Français à Crécy (1346), à Calais (1347) et à Poitiers (1356). Le traité de Brétigny (1360) lui donna, en échange de sa renonciation à la couronne de France, tout le sud-ouest de ce pays. Mais, la fin de son long règne fut marquée par les revers subis devant Du Guesclin, par la mort de son fils aîné, par des divisions internes et par la peste noire.
Le roi Edouard III à son retour de Flandres, sut que le roi d'Écosse assiégeait son château de Salisbery ; aussitôt, il y alla pour le secourir, et chassa l'ennemi de son pays :
mais en même temps, il recut un vainqueur bien plus puissant dans son âme, l'amour de http://gw.geneanet.org/pierfit?lang=fr;p=catherine;n=grandison">la "Comtesse de Salisbury", laquelle étant venue lui faire la révérence et le remercier de ce qu'il l'avait délivré d'un si facheux siège, lui jetta tant de flammes dans le coeur, qu'il se rendit à ce premier aspect, lui en fit offre avec des soumissions plutôt d'esclave que de souverain.
Mais comme il l'eut trouvé aussi froide qu'il était passionné, il s'éloignat de là, croyant que le temps adoucirait son mal, ou la rigueur de sa Dame.
Nonobstant son éloignement, sa blessure s'aigrissait de plus en plus : afin d'y trouver quelque appareil, il fit publier une grande et solennelle fête, commandant à tous les chevaliers et Dames des Terres de son obéissance de s'y trouver, et conviant par ses hérauts, toute la noblesse étrangère, à laquelle il promit passeports et sauf-conduits ;
le tout pour y faire venir celle dont la présence ne devait accroître son ennui. Elle s'y trouva avec son mari, qui nouvellement était sorti en échange du comte de Moray Écossois, d'entre les mains des Français, qui l'avaient pris auprès de L'Isle, avec le comte de Sukkolk. Édouard qui venait toujours sa vue attachée sur ce cher objet, et n'oubliait ni promesses, ni services pour la fléchir, voyant un jour que sa jarretière gauche, de soie bleue, lui était tombée comme elle dansait, se baissa promptement pour la relever, & haussa un peu le bord de sa robe. Tous les seigneurs de sa cour s'étonnant, & se moquant même d'un tel abaissement en un si grand Prince, la comtesse d'abord réprimanda fort le roi de cette privauté faite en présence de personnes qui ont bonne cave et mauvais cellier, & qui se plaisent autant à la médisance, qu'ils se repaissent de conceptions vaines & frivoles ;
mais il essaya de couvrir son dessein amoureux du prétexte de civilité, & dit en souriant :HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE (honnir signifie maudire et déshonnorer) & fit alors un serment, que tel s'était moqué de cette jarretière, qu'il tiendrait à grand honneur d'en porter une de même. C'est le témoignage qu'on parlait toujours français à la cour d'Angleterre à cette époque.
Les effets ayant suivis les paroles, firent naître un Ordre des chevaliers de la Jartière Bleue ; et comme il eût fait relever le château de Vaindesore (Windsor ?), il y assembla sa cour pleinière l'an 1344, le 23 avril, où il institua cet Ordre célèbre sous les auspices de Saint-Georges, que les Anglais reconnaissent pour Patron de leur Milice, et le nom duquel ils prennent en leur cri. Les chevaliers qui furent lors limités au nombre de 40, reçoivent de la main du Roi un manteau de velours violet doublé de damas blanc, sur lequel il y a une croix rouge dans un écu d'argent, ensemble une jartière bleue couverte d'émail & de pierreries, attachée à la jambe gauche avec une boucle, sur laquelle est inscrite cette devise : " Honni soit qui mal y pense ". Depuis l'institution de cet ordre, quoique le nom de la Jartière lui soit demeuré, si est-ce qu'ils ont mis ce ruban bleu au col, & au bout l'image de saint-Georges, avec la devise gravée à l'entour. Outre ce cordon, ils portent encore un collier d'or avec le portrait du même saint, dont la fête est celle de l'ordre, à laquelle le roi préside... 28-08-04
Fils et successeur d'Édouard II qui était homosexuel et ne supportant pas le contact des femmes, il est probablement le fil de l'amant de son père, Piers Gaveston, qu'il faisait coucher dans le lit conjugal.
Edouard III se débarrassa, en 1330, de la tutelle de sa mère. Il fit valoir, en 1337, ses droits à la couronne de France, déclenchant ainsi la guerre de Cent Ans. Il dé;truisit une partie de la flotte française, puis vainquit les Français à Crécy (1346), à Calais (1347) et à Poitiers (1356). Le traité de Brétigny (1360) lui donna, en échange de sa renonciation à la couronne de France, tout le sud-ouest de ce pays. Mais, la fin de son long règne fut marquée par les revers subis devant Du Guesclin, par la mort de son fils aîné, par des divisions internes et par la peste noire.
Le roi Edouard III à son retour de Flandres, sut que le roi d'Écosse assiégeait son château de Salisbery ; aussitôt, il y alla pour le secourir, et chassa l'ennemi de son pays :
mais en même temps, il recut un vainqueur bien plus puissant dans son âme, l'amour de la "Comtesse de Salisbury", laquelle étant venue lui faire la révérence et le remercier de ce qu'il l'avait délivré d'un si facheux siège, lui jetta tant de flammes dans le coeur, qu'il se rendit à ce premier aspect, lui en fit offre avec des soumissions plutôt d'esclave que de souverain.
Mais comme il l'eut trouvé aussi froide qu'il était passionné, il s'éloignat de là, croyant que le temps adoucirait son mal, ou la rigueur de sa Dame.
Nonobstant son éloignement, sa blessure s'aigrissait de plus en plus : afin d'y trouver quelque appareil, il fit publier une grande et solennelle fête, commandant à; tous les chevaliers et Dames des Terres de son obéissance de s'y trouver, et conviant par ses hérauts, toute la noblesse étrangère, à laquelle il promit passeports et sauf-conduits ;
le tout pour y faire venir celle dont la présence ne devait accroître son ennui. Elle s'y trouva avec son mari, qui nouvellement était sorti en échange du comte de Moray Écossois, d'entre les mains des Français, qui l'avaient pris auprès de L'Isle, avec le comte de Sukkolk. Édouard qui venait toujours sa vue attachée sur ce cher objet, et n'oubliait ni promesses, ni services pour la fléchir, voyant un jour que sa jarretière gauche, de soie bleue, lui était tombée comme elle dansait, se baissa promptement pour la relever, & haussa un peu le bord de sa robe. Tous les seigneurs de sa cour s'étonnant, & se moquant même d'un tel abaissement en un si grand Prince, la comtesse d'abord réprimanda fort le roi de cette privauté faite en présence de personnes qui ont bonne cave et mauvais cellier, & qui se plaisent autant à la médisance, qu'ils se repaissent de conceptions vaines & frivoles ;
mais il essaya de couvrir son dessein amoureux du prétexte de civilité;, & dit en souriant :HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE (honnir signifie maudire et déshonnorer) & fit alors un serment, que tel s'était moqué de cette jarretière, qu'il tiendrait à grand honneur d'en porter une de même. C'est le témoignage qu'on parlait toujours français à la cour d'Angleterre à cette époque.
Les effets ayant suivis les paroles, firent naître un Ordre des chevaliers de la Jartière Bleue ; et comme il eût fait relever le château de Vaindesore (Windsor ?), il y assembla sa cour pleinière l'an 1344, le 23 avril, où il institua cet Ordre célèbre sous les auspices de Saint-Georges, que les Anglais reconnaissent pour Patron de leur Milice, et le nom duquel ils prennent en leur cri. Les chevaliers qui furent lors limités au nombre de 40, reçoivent de la main du Roi un manteau de velours violet doublé de damas blanc, sur lequel il y a une croix rouge dans un écu d'argent, ensemble une jartière bleue couverte d'émail & de pierreries, attachée à la jambe gauche avec une boucle, sur laquelle est inscrite cette devise : " Honni soit qui mal y pense ". Depuis l'institution de cet ordre, quoique le nom de la Jartière lui soit demeuré, si est-ce qu'ils ont mis ce ruban bleu au col, & au bout l'image de saint-Georges, avec la devise gravée à l'entour. Outre ce cordon, ils portent encore un collier d'or avec le portrait du même saint, dont la fête est celle de l'ordre, à laquelle le roi préside... 28-08-04 Pégase, et la Science du blazon, pages 98 & suiv., chez Estienne Loyson, Paris 1675.Durant le Moyen Age, des femmes étaient associées à l'Ordre de la Jarretière, et, sans être membres à part entière, assistaient aux différentes réunions et fêtes. Mais, après la mort en 1509 de la mère d'Henry VII (Lady Margaret Beayfort), l'ordre devint exclusivement masculin, à l'exception des reines en tant que souveraines ; jusqu'à 1901 où le roi Édouard VII fit de la reine Alexandr une " Lady " de l'ordre. A partir de ce moment, d'autres femmes furent admises dans l'ordre, et, en 1987, la reine Élisabeth décida que leur éligibilité serait la même que celle des hommes. C'est ainsi que l'ordre revint à sa fonction première : porter correctement une jaretelle, qui le pouvait mieux qu'une femme ? Il faut toute la complexité anglo-normande pour bâtir l'ordre national sur un objet aussi essentiel, il est vrai que le roi d'alors est un seigneur français...(Promethée)
- En 1369, le château de Carlat est pris par lres bandes anglaises commandées par Garcie-Arnaud de Caupène, qui en devient gardien pour le prétendu roi d'Angleterre Edouard III. La place fut rachetée par Renaud VI de Pons, puis reperdue. En 1274, elle était encore aux mais des Anglo-Gascons qui s'en servaient de base pour leurs menées contre Aurillac et Saint-Flour. Les différentes tentatives de rachat ou de reprise ayant échoué, il fallut attendre le 11 Avril 1388 pour que les Anglois signent à Rodez une convention d'évacuation avec le comte de Rodez, Jean d'Armagnac, avec l'intervention du pape Clément VII, la représentation des États de Rouergue, d'Auvergne, de Velay, de Gévaudan, ainsi que des sénéchaux de Toulouse, de Carcassonne et de Beaucaire, et que leurs routiers quittent définitivement Carlat le 23 mars 1391, enmenés par Jean III d'Armagnac en Italie, au service de la République de Florence.
Edward The Black Prince | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(1) 1328 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(2) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Alice Perrers | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(3) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(4) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Arbre généalogique MyHeritage.com Site familial : Perkins Web Site Arbre généalogique : Perkins Family Tree
Edward, The Black PrinceSexe : HommeNaissance : 15 juin 1330 - WoodstockDécès : 8 juin 1376 - Palace of WestminsterNationalities : Kingdom of England, EnglandMariage : Conjoint: Joan of Kent - 1361Résidence : Woodstock Parents : RelationNomNaissancePèreEdward III of England13 nov 1312MèrePhilippa of Hainault24 juin 1314FilsRichard II of England6 janv 1367EnfantEdward of Angoulême27 janv 1365FrèreThomas of Woodstock, 1st Duke of Gloucester7 janv 1355FrèreLionel of Antwerp, 1st Duke of Clarence29 nov 1338SœurMary of Waltham10 oct 1344SœurJoan of Englandfévr 1333FrèreJohn of Gaunt, 1st Duke of Lancaster6 mar 1340SœurMargaret, Countess of Pembroke20 juillet 1346SœurIsabella, Countess of Bedford16 juin 1332FrèreEdmund of Langley, 1st Duke of York5 juin 1341FemmeJoan of Kent19 sept 1328
The records in this collection vary in what data items are present and one will find information on various aspects of the subject persons including names, biographical descriptions, nationalities, birth dates, birth places, death dates, death places, relatives, spouses, children, professions, nationalities, and educational attainment. The information in this collection has been compiled from Freebase (under CC-BY) and Wikipedia (under the GNU Free Documentation License).