Hij had een relatie met Marie Louise Allard.
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Jean Arial Arrivé vers 1761 comme en fait foi le Témoignage de liberté au mariage du 27 juin 1761, libellé comme suit par le vicaire général de Québec, Briand:«Depuis quatre ans prisonnier avec les Anglais, ayant été pris à la sortie du cap St-Domingue, a obtenu la permission de faire publier ses bans de mariage sur sa seule parole»Le couple a eu huit enfants tous nés à Québec entre 1761 et 1773. Les deux aînées, Marie-Louise et Marie-Anne se marieront, toutes les deux à Saint-Denis-sur-Richelieu, en 1780 et 1782. Les trois suivants meurent avant d'avoir atteint l'âge adulte. La sixième épouse d'abord un anglais à l'église anglicane de Québec en 1790, puis se remarie en 1814 avec Augustin Raté à Notre-Dame de Québec.Les deux derniers enfant sont Jean-Baptiste et Michel qui se marieront tous deux.Jean Arial est marchand cabaretier. En juin 1766, il donne procuration à sa soeur Perrine qui vit à Mouzillon, évêché de Nantes, concernant la succession des défunts Charles Ariel et Marie Moreau, ses père et mère. Si on se fie aux nombreuses annonces parues dans la Gazette de Québec du 14 au 28 juillet 1766, il aurait alors eu l'intention de rentrer en France, probablement afin de protéger ses droits à la succession de ses parents. On ne possède pas de preuve de ce voyage.À cette époque, il installe son commerce dans le faubourg Saint-Jean, à l'ouest des fortifications de Québec. On apprend, par le rôle d'interprète qu'il joue lors de la signature d'un contrat daté du 17 juillet 1767, qu'il parle bien l'anglais, puisqu'il s'agit d'un contrat de location mettant en cause un nommé Normand et une nommé Smith. L'année suivante il se porte acquéreur, partie avec François Guillot, maître forgeron, d'une maison située intra muros, rue de la Montagne. Les acquisitions continuent en 1770, rue Champlain où, de concert avec Pierre Girard dit Breton, maître boulanger et Joseph Parent, maître maçon, Jean Arial achète deux emplacements.À compter de 1769 le nombre d'affaires judiciaires dans lequel il est partie est très importante: plus de 10 en 1770, 3 en 1771. Il s'agit essentiellement de litiges relatifs à des défauts de paiement et les choses se gâtent réellement en 1773. Mis en demeure de rembourser sa dette par un certain François Lévesque qui lui a prêté la somme de trois mille livres le 13 octobre, Jean Arial, avec ou sans la bénédiction de sa famille, prend la poudre d'escampette et disparait à tout jamais du paysage québécois. Les quelques biens qu'il possède sont saisis à la suite d'un procès in absentia , sa famille se trouve dans le plus complet dénuement, sa femme meurt de la petite vérole le 1er octobre 1779.Deux siècles se passent...Les généalogistes sont à l'oeuvre. De nombreux Arial, Ariel, Ariail etc américains remontent le cours du temps et un jour quelqu'un découvre que Jean-Baptiste Arial arrivé dans le région de Windsor Connecticut à la fin de 1773 a contracté mariage en 1774 avec Hannah Rich de religion baptiste! Jean-Baptiste Arial, bigame, devient de nouveau père de quatre garçons. La tradition familiale de ces Arial transmet le souvenir de l'ancêtre dont on sait seulement qu'il venait du Canada et qu'il y avait eu des problèmes de nature légale. Mis à part la mention de son mariage et du baptême de ses enfants dans divers registres paroissiaux du Connecticut, on ignore à peu près tout de son activité jusqu'à sa mort en 1800. Il avait sans doute intérêt à ne pas trop faire parler de lui!
Jean Baptiste Mathias Ariail | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
Marie Louise Allard |
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