Kwartierstaat Johannes Gerardus Swart » Robinet de Canteleu de la suite de Philippe, roi de Castille et archiduc d'Autriche (± 1430-????)

Persönliche Daten Robinet de Canteleu de la suite de Philippe, roi de Castille et archiduc d'Autriche 

• Er wurde geboren rund 1430 in Abbéville.
• Ein Kind von Pierre de Canteleu und Marie de Hallencourt
• Diese Information wurde zuletzt aktualisiert am 22. Januar 2024.

Familie von Robinet de Canteleu de la suite de Philippe, roi de Castille et archiduc d'Autriche

Er hat eine Beziehung mit Lucie de Prouville.

Kind(er):

1. Jean de Canteleu  ± 1460-???? 
2. Nicolas de Canteleu  ± 1465-> 1536

Notizen bei Robinet de Canteleu de la suite de Philippe, roi de Castille et archiduc d'Autriche

Deshaines, Invent. Sommaire Arch. Dep. avant 1790 Nord, Arch. Civ. Ser.B, T.IV, Lille, 1881;
1 janvier 1498 - 31 décembre 1498.
Lettres de commission de Philippe, roi de Castille et archiduc d'Autriche, et de Maximilien, roi des Romains, nommant : ... Robinet de Canteleu et de plusieurs autres personnes de la suite et de la maison de l'archiduc.

M. A. de Cardevacque; Dict. Hist. Pas-de-Calais, 1, p.165ff.
Robinet ou Binet de Canteleu, fils de Pierre et de Marie d'Hallencourt, fut père de Jean qui suit, et Nicolas, allié à Marie Durand, échevin d'Abbeville en 1527, 1536.

Ledit Jean, fameux huissier d'armes à Abbeville, 1500, 1535, avait son épitaphe à Saint-Vulfranc, près la chapelle de Barbafast, (Mss. D. Grenier) il paraît avec la qualité de sergent-royal dans un titre du 9 juin 1494.

Archives départementales de la Somme, Inventaire sommaire série G t5

G. 1457. (Liasse.) - 5 pièces, parchemin, 31, papier, (2 plans).
1480-170pas, se ladicte1.

- Maison claustrales. Hôtel des Trois-Cailloux. (Arm. II, l. 51).

- Bail par les doyen et chapitre de la cathédrale d’Amiens à Antoine de Canteleu, seigneur de Roville, secrétaire du Roi et receveur général de ses finances ès pays de Picardie, d’« une de leurs maisons séant en leur terre, justice et seigneurie, en la rue nommée les Trois Cailleux, icelle maison estant au bout de ladicte rue devers la vièse muraille d’icelle ville, et aussy tout le droict appartenant et appendant d’icelle maison, jusques à ladicte vièse muraille, ainsy que ladicte maison appartenoit, et le droict desdictz cappitre se comprend, laquelle maison tient d’un costé à une aultre maison appartenant auxdits sieurs de chappitre, en laquelle demoura piéça Mgr de Saveuses, lors capitainne d’Amyens, d’aultre costé au monastère Seinct-Martin-aux-Jumeaulx en Amyens, et par derrière à ladicte vièze muraille,...soubz les conditions cy-après déclairées :

c’est assavoir que ledict Anthoinne joyra d’icelle maison et appartenances, sa vye durant, et après son tres-pas en joïront Mahieu et Robinet Canteleu, ses frères, aussy leurs vies durant, et s’il advenoit que la femme dudict Anthoinne, qu’il a de présent espousée, le survive,... icelle sa femme de présent joyra de ladicte maison et appartenances, la vie d’elle durant, au devant et ançois que lesdictz Mahieu et Robinet de Canteleu en puissent ne doivent joïr ; et encore s'il advenoit et advient que la femme que a de présent espousé ledit Anthoinne allast de vie à trespas, et que ledict Anthoinne se remariast à aultre femme et que dudict second mariage il eust enfans, le premier desdictz enfans qui auroit astaint l’aage de deux ans et demy, fust filz ou fille, joïroit et joïra de ladicte maison sa vie durant, ainçois que lesdictz Mahieu et Robinet de Canteleu, frères dudit Anthoinne. en joïssent...; et après ledict enfant allé de vie à trespas, se ladicte condition advient, ledict Mahieu, s’il est lors vivant, en joyra, et après luy ledict Robinet, son frère, s’il est aussy pour ce temps vivant », moyennant de « en dedans quatre ans prochains venantz, mettre et emploier à la réparation et édification d’icelle maison la somme de quatre cens l. t. » Amiens, 19 avril 1480, après Pâques (copie collationnée du 6 juillet 1596).

-Acte par lequel noble homme Jean de la Forge, seigneur de Noyelle, conseiller du Roi et receveur général de toutes ses finances en Picardie, « recongneut comme, dès l’an mil CCCC quatre-vingtz, vénérables et discrètes personnes le s doien et chappittre de l’église Nostre-Dame d’Amiens, eussent baillé à noble homme Anthoine de Canteleu, seigneur de Roville, et à ce temps
aussy receveur général desdictes finances de Picardie, une de leurs maisons scéant en leur terre,
juridiction et seigneurie, en la rue que l’on dit les Trois Cailleux en icelle ville d’Amiens, icelle maison estant au bout de ladicte rue, et laquelle se nomme communément l’hostel des Trois Cailleux,
quy souloit tenir par derrière à l’antienne forteresse et muraille d’icelle ville d’Amiens, qui depuis a e
sté démolie et abastue, et icelle maison joingnant en tirant sur le cloistre desdicts de chappitre, à deux aultres maisons pareillement d’eux tenues, possessées présentement l’une par M. Guillaume Le Rendu, et l’autre par Maître Thomas Bricot, chanoines d’icelle église d’Amiens ; et d’autre part est ladicte maison joingnant au monastère de St-Martin-aux-Jumeaulx....

Et pour ce que icelluy droit n’estoit que viager, comme dit est cy-dessus, et qu’icelluy comparant avoit intention de faire ouvrer en ladicte maison et y exposer de grandz deniers en édifices, ce qu’il ne vouldroit faire, soubz umbre desdicts viages, quy se pourroient en brief temps expirer, s'est à cette cause approché desdicts doien et chappitre d’Amiens, et leur a supplié et requis que leur plaisir fut de luy bailler ladicte maison à cens héritablement » ; par ledit acte, le chapitre baille audit Jean de la Forge ladite maison, moyennant 4 l. de cens annuel, durant les viages contenus au précédent bail, et 8 l. aussi de cens annuel, après le décès du dernier survivant desdits viagers. « Par le traittié desquelz bail et prinse, icelluy recongnoissant preneur sera tenu et a promis de mettre et emploier la somme de quatre cens l. du moins en nouveaulx édifices sur ledit lieu, maison et hostel des Trois Cailleulx ; avec ce, sera pareillement tenu de entretenir icelle maison et tous les édifices en bon et suffisant estat....

Et sy ne pourront lesdicts possesseurs d’icelle maison et hostel des Trois Cailleux démolir, abattre aucuns anciens édifices ny principaulx membres dudit hostel, sy ce n’est pour la mélioration de ladicte maison, et du consentement d’iceulx de chappitre....

Oultre ne pourront ledict preneur et ses successeurs propriétaires et possesseurs d’icelle maison et hos tel louer ne mettre demourer en ladicte maison aucunes personnes, sy ilz ne sont gens notables, de bonne renommée et honneste conversation....

Et en laquelle maison, hostel et pourprins des Trois Cailleux iceulx de chappitre ont retenu et retiennent toute la justice spirituelle et temporelle ainsy comme ilz ont desdictes autres maisons de leurdict cloistre ; et ne pourront ledict preneur, ne ses successeurs possessans ladicte maison ou autres quy y seroient résidens et demourans, faire leur entrée principalle, sinon par la rue des Trois-Cailleux, affin que, pour le temps advenir, ilz ne se voulsissent dire, tenir ou réputer subjectz d’autruy que desdicts de chappitre ne estre d’autre parroisse que la paroisse de Nostre-Dame ». Amiens, 31 octobre 1499 (copie collationnée du 6 juillet 1596).

- Lettres patentes de François I, sur ce que, par les doyen et chapitre de la cathédrale d’Amiens « nous a esté exposé, que, dès l’an mil IIII cIIIIxx (1480), ilz ou leurs prédécesseurs, baillèrent à cens ou rente... à feu Anthoine de Canteleu... une des maisons claustralles de leur église estant de fondation roialle, pour en joÿr certaines vies durans, qui sont à présent expirées, au moien duquel bail en auroit iceluy de Canteleu jo par quelque temps, et depuis transporté son droict à ung nommé Nicolas Féron, qui encores en auroit faict transport à feu maistre Jehan de la Forge, aussi en son vivant receveur général dudict pays et qui estoit crainct (?), et tant par son auctorité que par moiens et menées, auroit tant faict que les prédécesseurs d’iceulx exposans luy auroient, en l'an mil IIIIc IIIIxx XIX (1499) faict. autre bail d’icelle maison à cens ou rente annuelle et perpétuelle, et pour en joïr par icelluy de la Forge et les siens à tousjours mès....Et parceque nous sommes ou devons estre présumé, s’il n’appert du contraire, fondateur et dotateur de ladicte église, ainsi que des autres églises cathédralles de nostre roiaulme, et que les maisons cloistralles sont ou doivent estre réputées données pour l’usaige des chanoines, pour plus facillement vacquer au service divin, et que lesdicts exposants ne ont peu bailler ne alyéner ladicte maison sans nostre consentement, ne la convertir en autre usaige que en celuy pour lequel elle leur avoit esté par cy-devant baillée, sans y mettre gens lays et mariez, entremeslez avecques lesdits chanoines et gens d’Église, et que les solempnitez en telz cas requis es ne ont esté observées ne gardées, et aussy qu’il y a eu et a grande lésion oudict bail faict à iceluy de la Forge », mandant au bailli d’Amiens, ou à son
lieutenant, « que, appellez lesdicts détenteurs et autres qui pour ce seront à appeler, s’il vous
appert,... iceulx exposans et ladicte église aient ét é grandement circonvenuz, frauldez et déceuz... vous oudit cas déclairez ledit second bail nul et de nulle valleur, ou iceluy cassez et adnullez. » Paris, 29 décembre 1533. Traces de sceau.

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