Er ist verheiratet mit Catherine Collart.
Sie haben geheiratet am 20. Oktober 1668 in Maizeroulle Mozet,5340,Namur,BE, er war 43 Jahre alt.
Kind(er):
Notes individuelles
Le 1er juillet 1654, Albert DE TAMISON, seigneur de Maizeroulle, en sa qualité de receveur des domaines royaux au quartier de Samson, fait faute contre Jacques LEONET pour défaut de paiement d'une rente de 11,5 setiers d'épeautre et 1,5 setier d'avoine. Jacques demandera un délai, promettant de payer son dû au plus tard à la Saint-Remy suivante, ce qui lui sera accordé.
En octobre 1662, Jacques LEONET intente une action en cour de Strud à l'encontre d'Hubert MONJOYE, auquel il réclame deux pièces de terre située en lieu-dit Bonten, provenant des ses grands-parents Jean COLLART et Marie TICHON, et revendique également les "fruicts et levees perceus depuis quil sest introduict en la possession dicelles". Il se propose même de les purger si MONJOYE détient ces biens à titre de saisine, "parmy luy renfonceans ce que de rayson apres deduction desdits fruicts et levees". [la procédure, dans le registre nÀ 7564, s'arrête en avril 1663 sur l'annonce d'une enquête, il conviendrait d'examiner les registres au causes pour savoir si l'action a ou non abouti].
Le 21 février 1663, on le voit réclamer à Jean LOIZEAU le prix d'une truie que le chien de ce dernier à "estranglee", soit environ 3 patacons.
Le 11 juin 1670, il achète à sa soeur Marie et à son époux leurs droits sur une maison avec jardin et ahennière située à Strud, un morceau de pré touchant au Bannia Preal et un morceau de haie en Bailoy. Le tout est monnayé pour 10 patacons. Le 11 juillet suivant, il acquiert les droits détenus par Marguerite GERMAIN, d'Ampsin, sur les biens provenant de ses feus parents, Jean GERMAIN et Marie ANSEILLON, sis à Strud. Si la nature de ces biens n'est pas précisée, ils sont de peu de valeur puisque Jacques ne débourse pour ce transport qu"une modique somme de 3 florins. Philippe GERMAIN, oncle de Marguerite, habitant Vaux-sous-Samson, en fera toutefois retrait lignager en décembre 1671.
Le 14 juin de l'an 1673, il procède à un échange avec Antoine TONGLET. Ce dernier lui cède une maison avec ahennière, "y comprin un petit morceau provenant de Philippe GERMAIN", en lieu-dit Warenge, dans la juridiction de Strud. Cette propriété touche vers Ardenne au chemin royal, vers amont aux représentants de Jacques TONGLET, vers la Meuse à Jean TICHON, et vers aval aux représentants de Jacques TONGLET et audit Philippe GERMAIN. Jacques LEONET offre pour sa part une pièce de terre nommée Sur le Champs, touchant vers Ardenne à la communauté, vers amont a Barthélemy GERMAIN, vers la Meuse au seigneur DE TAMISON, et vers aval au seigneur DE GOYET. Celle-ci n'égalant pas la valeur de ce qui est proposé par TONGLET, Jacques, pour faire l'équilibre, constitue en sa faveur une rente de 4 florins à rachat, dont il rédime immédiatement 50 sous. Le solde - soit 30 patards - sera racheté le 14 janvier 1682.
Le 29 novembre 1673, en l'étude du notaire DE HOUYOULX à Gesves , Jacques reconnaît un cens de 10 oeufs par an, livrables au "blanc jeudi" de chaque année à la recette de Samson, dû par sa soeur et lui pour une pièce de terre d'environ 3 journaux qu'ils possèdent en Bailoy. Les voisins sont le seigneur DE GOYET (d'aval et d'amont), Philippe HALLOY (vers Ardenne) et le seigneur DE TAMISON (vers Meuse).
Marie et son mari transporteront encore en sa faveur, pour 8 patacons, une petite pièce de terre d'environ un demi journal situé en Valère, aux Prés du Monceau, touchant d'amont et d'aval au seigneur DE GOYET, vers Ardenne à Mr DE TAMISON et vers la Meuse aux orphelins d'Antoine DE THILLOUX. Cet acte (rédigé, peut-être, par le notaire REMY d'Andenne, la signature n'est pas claire) sera enregistré en cour de Strud le 3 février 1677.
Le 23 juillet 1682, c'est un autre TONGLET, baptisé Rémy, qui lui vend la totalité de ses droits, clains, causes et actions à l'égard d'une maison et d'héritages sis à Strud, touchant sur trois côtés aux propriétés de Jacques et vers Ardenne au chemin du seigneur, ainsi qu'un gros journal de prairie en plusieurs lots (leur surface a été mesurée peu auparavant par un certain François GERARD). Jacques obtient le tout pour 6 patacons, payés comptant.
Sergent de la haute cour et justice de Strud, Haltinne, Maizeroulle et Jausse les Ferrons (1652-1682)
Jacques Léonet | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
1668 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
Catherine Collart |
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