Er ist verheiratet mit Marguerite Massart.
Sie haben geheiratet am 12. Januar 1707 in Maizeroulle Mozet,5340,Namur,BE, er war 35 Jahre alt.
Kind(er):
Notes individuelles
Si l(on sait avec certitude que Jean, à l'instar de son père, exerçait en 1699 la charge de sergent de la cour de Strud, "resident et mangeant actuellement en [la maison de sa mère] et son pain", il y a tout lieu de croire qu'il menait en parallèle une activité de brasseur. En effet, le 4 novembre 1748, lorsque ses enfants, "pour prevenir les difficultés quÙuil y auroit eu de proceder au partage et division" des édifices lui ayant appartenu à Strud, les font expertiser, on découvre qu'est notamment en jeu une "neuve maison avec la brassinne y contigu, chaudiere, cuves et autres ustensils de brassinne". Un équipement complet dont il serait douteux qu'il eut servi au seul usage domestique. Assortis de la moitié de deux petits héritages formant jardin, exposés plein sud, ce premier lot est estimée à 494 florins et 12 deniers. Il est séparé par un sentier d'une autre maison, flanquée d'une étable, qui, avec l'autre moitié du jardin, vaut selon les maîtres maçon et charpentier convoqués 356 florins, 2 sous et 12 deniers.
Jean est assez peu documenté dans les archives scabinales et ecclésiastiques concernant Strud et les localités voisines.
Par ses dispositions testamentaires en date du 30 juin 1676, Anne WINANT, femme de son parrain et veuve en premières noces d'Erard COLLART, lègue à Jean LEONET les biens, héritages et rentes qu'elle possède en la paroisse d'Assesse. Il en jouira après le décès des deux conjoints.
Le 27 juillet 1718, avec son frère Pierre Jacques et sa soeur Marie Joseph, il rachète à son beau-frère MONJOYE les droits qu'il détient avec son fils sur les héritages familiaux pour une somme de 30 écus d'Espagne. MONJOYE conditionne le marché à ce qu'il ne soit "en rein recherché pour les arrierez des rentes affectées sur lesdits biens (...), scituez tant a Strud que sur la terre d'Auvremont [i. e. Wavremont]".
Le 3 avril 1731, la fratrie cède les biens de Wavremont (qui leur viennent de leur mère) au profit d'Antoine Joseph DELAHAUT, curé d'Assesse. Moyennés pour 70 florins, ils doivent inclure une modeste quantité de terre et une maison. Ils supportent diverses rentes pour un montant total de 7 florins et 9 liards. L'argent ainsi dégagé servira à rembourser une rente de 6 florins dont les biens des LEONET à Strud sont redevables envers Antoine DEGUELDRE, propriétaire à Mont (27 février 1732), et une autre, du même montant, envers la table des pauvres de Namur (date inconnue).
Le 10 octobre de la même année, Jean obtient de l'échevin Gaspard ESTIVANT et de sa femme une pièce d'héritage située en La Vaux, dans la juridiction de Strud, touchant vers orient, midi et occident à la veuve Jean TONGLET dit BOURGUIGNON, vers occident encore à Simon GODFRINON, et vers septentrion au ruisseau. Il la paie 30 écus.
Le 26 février 1735, Thiry BOUGELET de Goyet, époux de Begge PIOT et représentant par cession son beau-frère Bernard PIOT, vend à Jean Pierre LEONET, "tant pour luy que pour ses freres et soeurs, et aussy pour ses pere et mere avant tous", un morceau d'enclos et quelques terrains situés entre des bâtiments ayant appartenu à Nicolas PIOT et Catherine TONGLET, ainsi que ses droits sur quelques autres biens et héritages qu'il a à Strud, "meme a quelques materiaux". Le tout est acquis par les LEONET pour 6 écus et 5 escalin, la totalité de la somme moins 1 écu (à payer "au contentement" du transporteur) étant réglée le jour même de la transaction. Les biens concernés supportent d'une rente de 36 sous au curé de Maizeroulle, d'1 quarte d'épeautre et quelques deniers au roi, et une part d'une rente constituée par la communauté de Strud. Acte passé chez le notaire Nicolas FALLIZE à Namur, enregistré en cour de Strud le 8 avril 1739.
Jean Jacques Léonet | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
1707 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||
Marguerite Massart |
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