Familienstammbaum Guy Spillebeen » Charlemagne (742-814)

Persönliche Daten Charlemagne 

  • Er wurde geboren am 4. Februar 742 in Ingelheim, Allemagne.
  • Beruf: roi des Francs de 768 à 814 (Neustrie, Austrasie et Aquitaine occidentale à Noyon le 9-10-768 et de Bourgogne, Provence, Septimanie et Aquitaine ori.
  • Er ist verstorben am 28. Januar 814 in Aix-la-Chapelle, Allemagne, er war 71 Jahre alt.
  • Er wurde beerdigt in Chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle, Allemagne.
  • Ein Kind von Pépin III und Berthe

Familie von Charlemagne

Waarschuwing Pass auf: Ehegatte (Liutgarde) ist 34 Jahre jünger.

Waarschuwing Pass auf: Ehegatte (Gerswinde) ist 40 Jahre jünger.

(1) Er ist verheiratet mit Hildegarde.

Sie haben geheiratet im Jahr 771 in Aix-la-Chapelle, Allemagne, er war 28 Jahre alt.


Kind(er):

  1. Charles  772-811
  2. Pépin I  773-810 
  3. Adélaïde  774-774
  4. Rotrude  775-810 
  5. Carloman  777-810
  6. Lothaire  778-779
  7. Louis I  778-840 
  8. Berthe  779-823
  9. Gisèle  781-814
  10. Hildegarde  782-783


(2) Er ist verheiratet mit Désirée.

Sie haben geheiratet am 25. Dezember 770, er war 28 Jahre alt.


(3) Er ist verheiratet mit Fastrade.

Sie haben geheiratet am 10.783 in Worms, Allemagne.


Kind(er):

  1. Théodrade  785-853
  2. Hiltrude  787-800


(4) Er ist verheiratet mit Liutgarde.

Sie haben geheiratet im Jahr 794, er war 51 Jahre alt.


(5) Er ist verheiratet mit Gerswinde.

Sie haben geheiratet im Jahr 808, er war 65 Jahre alt.


Kind(er):

  1. ??  


(6) Er ist verheiratet mit Himiltrude.

Sie haben geheiratet im Jahr 767, er war 24 Jahre alt.


Kind(er):

  1. Pépin  770-811


(7) Er hat eine Beziehung mit Madelgarde.


Kind(er):

  1. Ruothilde  ????-852


(8) Er ist verheiratet mit Regina.

Sie haben geheiratet im Jahr 800, er war 57 Jahre alt.


Kind(er):

  1. Drogon  801-855
  2. Hugo  802-844


(9) Er ist verheiratet mit Adélinde.

Sie haben geheiratet im Jahr 806, er war 63 Jahre alt.


Kind(er):

  1. Théodérich  807-????


(10) Er hat eine Beziehung mit (Nicht öffentlich).


Kind(er):

  1. Hruodhaid  784-800


Notizen bei Charlemagne

Charlemagne ou Charles I "le Grand" en latin Carolus Magnus, Karl der Grosse.


Le plus prestigieux des souverains de la seconde dynastie franque, à qui il a donné son nom ("Carolingiens"), poursuivit la politique d'expansion du royaume inaugurée par ses prédécesseurs et se trouva, vers la fin du VIIIe siècle, à la tête d'un groupement de territoires qui s'étendaient de la marche d'Espagne à la Pannonie, de la mer du Nord au centre de l'Italie.

Cette zone immense, qui correspondaient à la plus grande partie de l'Occident, reçut son unité passagère du titre impérial auquel Charlemagne accéda le 25 décembre 800 à Rome où il fut couronné par le pape Léon III. Fils aîné de Pépin III et de Berthe dont le père, Caribert, comte de Laon, appartenait à la haute aristocratie mérovingienne, Charlemagne naquit en 742, peut-être le 2 avril, peut-être dans un des palais royaux de la vallée de l'Oise ou de l'Aisne. Si son instruction première fut certainement négligée, comme l'était à ce moment-là celle des laïcs, il semble cependant avoir été initié par Pepin à la connaissance des hommes, à la pratique gouvernementale et aux devoirs de la royauté à l'âegard de l'Eglise. Il assista tout jeune à la visite que fit à son père le pape Etienne II et reçut, des mains de ce dernier, le sacre royal (754). Avant de mourir, Pépin, fidèle à la coutume qui avait longtemps prévalu chez les Mérovingiens partagea le royaume entre ses deux fils (768) ; les régions qui furent attribuées à Charles entouraient celles de son frère Carloman comme d'un arc de cercle : c'était l'Austrasie avec ses dépendances germaniques (Frise occidentale, Hesse, Franconie, Thuringe), la Neustrie et l'Aquitaine maritime. Les deux rois, qui résidaient à quelque distance l'un de l'autre, Charles à Noyon, Carloman à Soissons, ne s'entendaient guère. En vain leur mère essaya de les rapprocher. Pour prévenir des motifs de conflit au dehors, elle négocia le mariage de Charles avec une fille de Didier, roi des Lombards en 769. Mais cette politique ne fit qu'aggraver la situation parce qu'elle isola Carloman et qu'en Italie Didier se crut libre de reprendre ses manœuvres contre la papauté. La mort de Carloman (771) épargna aux Francs la guerre ouverte entre les deux frères. Charles répudia la princesse lombarde et, sans réserver les droits de ses neveux, prit aussitôt possession de l'héritage de son frère. Il unit ainsi toute la Francie sous sa direction : un grand règne commence alors, dont l'aspect le plus visible est l'expansion, la "dilatation" du royaume. Cette conquête se fit sans plan préconçu, Charlemagne utilisant au mieux les circonstances qui se présentaient. Jamais il ne put se consacrer à une seule tâche et la mener immédiatement à bonne fin, parce qu'il fut toujours obligé de conduire simultanément plusieurs opérations. Il en commence une, l'abandonne momentanément pour s'occuper d'une autre et reprend ensuite la première au point où il l'avait interrompue. Ses moyens militaires, biens qu'appréciables, sont limités. Il le sait et avance pas à pas. Dès 722 commencent les campagnes contre les Saxons. Ce sont d'abord comme sous Pépin III et Charles Martel, des expéditions de représailles répondant à des raids lancés contre les confins francs, au cours desquelles se précise cependant bientôt l'intention de créer une marche puissamment fortifiée entre la Lippe et la Diemel, destinée à mettre le royaume à l'abri de nouvelles offensives. En 773, Charles fut distrait de ces opérations par un appel au secours du pape Hadrien, directement menacé par Didier qui marchait sur Rome. Le roi des Francs franchit les Alpes, s'empare de Pavie après un long siège, reçut la soumission de toutes les régions du royaume de son adversaire et se proclama lui-même roi des Lombards (774). Les opérations se poursuivirent ensuite contre les Saxons ; plusieurs chefs ayant fait leur soumission et ayant promis de se faire baptiser, la Diète qui se tint en 777 à Paderborn put poser les premiers jalons de l'implantation de l'Eglise en Saxe. Cette première période de succès s'acheva assez brusquement l'année suivante. Appelée en Espagne par certains chefs arabes révoltés contre l'émir de Cordoue, cédant à l'illusion de pouvoir arracher à l'islam une partie au moins de la péninsule, Charlemagne franchit les Pyrénées et s'avança jusque devant Saragosse dont il ne put s'emparer ; il revint en France par le col de Roncevaux où son arrière-garde commandée par le comte de la marche de Bretagne Roland fut détruite par les montagnards basques (15 août 778). Le souvenir de cette défaite se trouve à l'origine de la chanson de geste la plus célèbre, "La Chanson de Roland". C'est dans la période qui s'ouvre alors, vers 779-780, que la maîtrise de Charlemagne s'affirma avec le plus d'éclat. En Saxe les premiers objectifs sont dépassés, et c'est tout le pays que les Francs s'efforcent de conquérir, autant pour des raisins de sécurité que pour y assurer le triomphe du christianisme. Les expéditions se succèdent désormais d'une année à l'autre, mais se heurtent à une résistance opiniâtre dirigée par le duc Widuking jusqu'en 785. Quand il eut cette année-là déposé les armes, la soumission du pays semblait acquise : dès 782, celui-ci avait été incorporé en principe au royaume franc. La Frise orientale (du Zuydersee aux bouches de la Weser) fut pareillement annexée. En 788, ce fut au tour de la Bavière d'être réunie à l'Etat franc, après la destitution de son dernier duc national, Tassilon III. D'importantes transformations apparaissent dans d'autres secteurs encore. Conscient du particularisme de l'Italie lombarde et de l'Aquitaine, Charlemagne les érigea l'une et l'autre en royaumes subordonnés pour ses deux fils cadets, Pépin et Louis (781). En Italie son autorité personnelle rayonna sur l'Etat pontifical, et même sur le duché lombard de Bénévent, où il réussit en 787-788 à déjouer les intrigues nouées contre lui par le duc Arichis et la cour de Constantinople et à imposer au fils d'Arichis la reconnaissance de sa suprématie. L'élan dont témoigne cette période décisive fut à nouveau interrompu après 790. en Saxe les excès de l'administration franque provoquèrent, en 793, une rébellion très grave qu'on mit quatre ans à réprimer, et qui se poursuivit encore jusqu'en 804 dans les secteurs les plus septentrionaux du pays (Wihmode entre les bouches de la Weser et celles de l'Elbe et Nordalbingie au nord-est de la basse Elbe) : il fallut, pour en finir, procéder à des déportations massives de Saxons dans diverses régions de l'Empire. Dans le Sud-Est cependant, on enregistre le dernier grand succès du règne, trois campagnes victorieuses menées en 791, 795, et 796 contre le royaume des Avars (Autriche danubienne et Hongrie occidentale jusqu'à la Tissa), qui aboutirent à l'annexion au royaume franc des territoires situés à l'est de la Bavière entre l'Enns et le Wienerwald. Au-deláa de ce secteur, aucune autre région ne semble avoir été annexée, puisqu'on voit de 796 à 822 subsister des principautés avars dont les chefs étaient vassaux de l'Empire. La conquête s'arrêta aux environs de l'an 800. Au-delà de cette date, on n'enregistra plus que des entreprises limitées. Ainsi fut occupée la marche d'Espagne, entre les Pyrénées et l'Ebre (prise de Barcelone en 801). fils aîné et homonyme de l'empereur, Charles (qui portait le titre royal depuis 788) conduisit des expéditions afin d'obtenir la soumission théorique des tribus slaves qui se trouvaient au contact de la Saxe et de la Bavière (Obodrites, Sorbes et Tchèques). L'intervention franque en Nordalbingie ne fut sans doute pas étrangère aux premiers raids danois contre lesquels Charlemagne prescrivit d'élever des fortifications sur les côtes de la mer du Nord et de la Manche : ainsi s'annonce le péril normand qui fondra sur l'Empire franc au cours du IXe siècle. Charlemagne nous est assez bien connu grâce à la biographie que lui consacra vers 830 Eginhard, qui avait été élevé à la cour pendant les dernières années de son règne. De haute taille (environ 1,90 m), le roi avait une forte carrure, le corps souple malgré une certaine tendance à l'embonpoint. Le visage était ouvert et imberbe; c'est la légende qui l'affubla de la célèbre "barbe chenue". La vitalité du roi était prodigieuse, son activité inlassable, son tempérament exubérant, ses moeurs très libres. On lui connaît, quand il fut très jeune, une première liaison dont naquit un fils, Pépin le Bossu (qui complota contre lui en 792 et fut interné dans un monastère), puis quatre épouses successives, la fille de Didier (que la légende appela désirée), la Franque Hildegarde (+ 783) qui lui donna quatre fils et cinq filles, la Franque Fastrade qui fut mère de deux filles (+ 794) et enfin une Souabe, Liutgarde. Après la mort de celle-ci (800), il eut encore plusieurs concubines dont naquirent des fils et des filles. Pour compléter le portrait de Charlemagne, citons encore la simplicité de son abord, son intelligence lucide, sa capacité d'adaptation à toutes les circonstances, son goût pour la culture et de très solides qualités morales. Ses défauts étaient son autoritarisme extrême allant jusqu'au despotisme, sa propension à la violence qui le fit parfois tomber dans la cruauté. C'était un monarque cultivé ayant appris le latin, le grec, la grammaire et la rhétorique, le calcul et l'astronomie. Au total, une personnalité de tout premier plan capable de produire une impression considérable sur tous ceux qui l'approchaient. Décédé le 28 janvier 814 d'une pleurésie, quelque mois après avoir associé à l'empire son seul fils survivant, Louis d'Aquitaine, Charlemagne fut inhumé dans la chapelle palatine d'Aix. Il fut canonisé le 29 décembre 1165 à l'initiative de l'empereur Frédéric Barberousse.

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Zeitbalken Charlemagne

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Vorfahren (und Nachkommen) von Charlemagne

Charles
688-741
Rotrude
690-724
Gisèle
675-737
Pépin III
715-768
Berthe
± 720-783

Charlemagne
742-814

(1) 771

Hildegarde
758-783

Charles
772-811
Pépin I
773-810
Adélaïde
774-774
Rotrude
775-810
Carloman
777-810
Lothaire
778-779
Louis I
778-840
Berthe
779-823
Gisèle
781-814
Hildegarde
782-783
(2) 770

Désirée
747-776

(3) 783

Fastrade
765-794

Théodrade
785-853
Hiltrude
787-800
(4) 794

Liutgarde
776-800

(5) 808

Gerswinde
782-829

??
????-
(6) 767
Pépin
770-811
(7) 
Ruothilde
????-852
(8) 800
Drogon
801-855
Hugo
802-844
(9) 806
Théodérich
807-????


Onbekend

Hruodhaid
784-800

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    G. Spillebeen, "Familienstammbaum Guy Spillebeen", Datenbank, Genealogie Online (https://www.genealogieonline.nl/stamboom-guy-spillebeen/I3274.php : abgerufen 30. Mai 2024), "Charlemagne (742-814)".