Généalogy Leborgne » Yves L'Ancien Au front cruel de BELLÊME, d'ALENÇON (922-997)

Persönliche Daten Yves L'Ancien Au front cruel de BELLÊME, d'ALENÇON 

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Notizen bei Yves L'Ancien Au front cruel de BELLÊME, d'ALENÇON

Seigneur de Bellême (Orne) , Seigneur de Domfront (Orne) , Seigneur d'Alençon (Orne) , Seigneur de Sées (Orne)

Évêque du Mans (Sarthe).
Notes individuelles
À la lecture des chroniques médiévales normandes, Yves Ier de Belle pourrait re l'un des personnages-clés dans l'évasion du jeune duc de Normandie Richard Ier (942-996). Ce dernier est élevé apr la mort de son pe à la cour du roi de France, Louis IV d'Outremer. Le duc de Normandie n'a alors que 10 ans. Vers 943-945, son fide intendant, Osmond de Centeville, craint que son protégé devienne prisonnier du roi de France. Il organise donc une évasion. Dans ce but, il complote avec uncertain « Yves, pe de Guillaume de Belle »1. Il s'agit sûrement d'Yves de Belle puisque ce dernier est connu comme le pe de Guillaume Ier de Belle. Le chroniqueur Orderic Vital précise dans son Historia ecclesiastica son nom etsa fonction «Yves de Creil, grand-maître des arbalétriers du roi »2. Yves de Creil et Yves de Belle pourraient donc re la me personne. Sur les conseils d'Yves et Osmond de Centeville, l'enfant feint d're malade, ce qui a pour conséquenceun relhement dans la surveillance des gardes. Osmond en profite pour cacher le jeune duc dans une botte de foin et s'enfuit inaperçu avec lui. Ils trouvent refuge à Coucy puis à Senlis, chez le comte Bernard de Senlis. On peut supposerquece refuge fut conseillé par Yves l'Ancien/Yves de Creil. Bernard de Senlis devait re le seigneur d'Yves (Creil est à 10 km de Senlis).
L'identification entre Yves de Belle et Yves de Creil est toutefois l'objet d'un débat. En effet, chronologiquement, il semble peu plausible que le comploteur des années 943-945 soit Yves de Belle, lequel meurt apr 1005. Orderic Vital s'est-il trompé ? L'historien Geoffrey H. White émet l'hypothe qu'Yves l'Ancien est le fils d'Yves de Creil. Néanmoins, si Yves de Creil a certainement existé, il n'existe pas de preuve d'un lien entre lui et les seigneurs de Bellême.

Yves serait le fondateur du cheau d'Alençon.

Son fils, Guillaume Ier, lui succe à la te de la seigneurie de Belle.

Sources

Naissance, union, décès: - Import Gedcom du 15 janvier 2014 - Eliott - http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090283354470687 - Dinan 1901 DC - image 25 - Import Gedcom du 21 janvier 2016 - Fichier : jhp 160120_export.ged -

Notes concernant l'union
La Seigneurie de Bellême s'est constituée, dans les années 960, à l'issue du conflit qui a opposé Richard Duc de Normandie et Thibault le Tricheur Comte de Blois et de Chartres. Avec l'accord du Duc Richard de Normandie qui y voit un moyen de protèger sa région, le Duc de France Hugues Capet attribue à Yves de Creil la région de Belleme constituant ainsi un rempart face au Comte de Blois et à ses alliés. Yves a ensuite obtenu le Saosnois (Mamers) aux dépens du Comte du Maine puis Alencon du Duc de Normandie Robert I le Magnifique. Enfin le Seigneur de Belleme obtient du Comte du Maine le chateau de Domfront à l'extémité nord ouest du Comté. A ce moment la Seigneurie de Belleme est devenue un centre de pouvoir important de la région. Elle s'étend entre la Normandie, le Maine et l'Ile de France sur une centaine de kilomètres d'est en ouest, de l'Huisne à l'Egrenne. Elle va donc en gros des environs de Belleme à Domfront et comprend une ligne de crètes boisées où seuls quelques bons endroits permettent une circulation aisée entre la Manche et la Vallée de la Loire.

Les Seigneurs de Belleme sont apparentés à la famille des Vicomtes du Mans et obtient d'oncle en neveu l'Eveché du Mans qui est un éveché Royal. Au début du XIème siécle ils se lient par alliance avec les Seigneurs de Chateau du Loir, aux confins de l'Anjou, du Vendomois, du Maine et de la Touraine. A la meme époque, dans la lignée de sa vassalité vis à vis des Capétiens, la Maison de Belleme se retrouve souvent aux cotés de Foulques Nerra Comte d'Anjou dans les luttes d'influence qui s'exercent sur le Maine. Corrélativement elle est souvent en opposition avec les Comtes du Maine. A l'époque de Geoffroy II Martel, le Comte d'Anjou possède une réelle autorité féodale et Seigneuriale sur la Maison de Belleme. Ces prérogatives proviennent sans doute du Roi et/ou sont issues de l'accession de Geoffroy Martel au Comté de Vendome en 1032. Ensuite la situation s'étant dégradée entre le Roi de France et le Duc de Normandie, les domaines des Belleme ont servi de tampon entre le Maine et la Normandie et l'influence Royale a eu pour effet de protèger le Maine, alors sous controle des Comtes d'Anjou, des avancées Normandes. A l'époque de Geoffroy II Martel seules les places de Domfront et Ambrières ont été prises par le Duc de Normandie.

Vers 1050 la Seigneurie de Belleme appartient à Yves Eveque de Sees lorsque sa nièce Mabille épouse Roger de Montgomery Vicomte d'Exmes et fidèle de Guillaume de Normandie. A partir de là l'influence des Normands sur la Maison de Belleme devient plus forte, meme si celle des Capétiens subsiste. Par la suite la famille de Belleme perd la Seigneurie de cette ville qui est transférée aux Comtes du Perche par le Roi D'angleterre et Duc de Normandie Henri I Beauclerc, elle conserve cependant le Comté d'Alencon jusqu'au début du XIIIème siècle. Grand Maître de la ballistique après son père. Il reçut en outre pour prix des services rendus à Hugues CAPET les seigneuries de Domfront et Alenço

est le premier seigneur connu de Bellême. Il semble être aussi considéré comme le fondateur de la famille de Bellême

Son existence, dans la deuxième moitié du Xe siècle et du début du XIe siècle, est attestée par cinq documents rédigés de son vivant ou peu après. L'acte le plus ancien, une charte sans date et rédigée vers l'an mil, aujourd'hui disparue et connu par une copie de la fin du XIe siècle, est la fondation par Yves Ier d'une nouvelle église dans l'enceinte du château de Bellême, Notre-Dame du Vieux-Château, pour son salut, celui de sa femme et de ses enfants. Un autre document mentionne une donation qu'il fait au profit de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire. Il est également mentionné dans des actes de ses fils. Ceci est complété par des témoignages d'Orderic Vital au XIIe siècle, de Robert de Torigny ou par les moines de Sées et de Troarn aux XIIe et XIIIe siècles. Robert de Torigny le qualifie de puissant et sage

La Vita Gauzlini, écrite vers 1043 par le moine André, rapporte qu'au début du XIe siècle Yves de Bellême donne son domaine de Magny à l'abbé Gauzlin. À sa mort, son fils Guillaume Ier le confisque pour ne le restituer qu'à la suite de l'intervention de Gauzlin lui-même. Ce passage, qui a lieu dans le récit entre le début de l'abbatiat de Gauzlin en 1005 et son accession à l'archevêché de Bourges le 1er décembre 1012, permet d'inscrire le décès d'Yves l'Ancien durant cette période.

Sources
Personne, famille: Généanet-jmaxel

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Vorfahren (und Nachkommen) von Yves L'Ancien Au front cruel de BELLÊME, d'ALENÇON

Yves L'Ancien Au front cruel de BELLÊME, d'ALENÇON
922-997



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    Quellen

    1. Personne: Jean Hugues PLAIGUÉ (jeanhugues1) Famille: Huguette COPIN NORRO (huguettecopin)

    Über den Familiennamen De BELLÊME, d'ALENÇON


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    Jean-Michel Leborgne, "Généalogy Leborgne", Datenbank, Genealogie Online (https://www.genealogieonline.nl/genealogy-leborgne/I2750.php : abgerufen 20. Mai 2024), "Yves L'Ancien Au front cruel de BELLÊME, d'ALENÇON (922-997)".