Stamboom van Wincoop - Sandkuijl » Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens (± 498-561)

Persoonlijke gegevens Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens 

Bron 1

Gezin van Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens

Hij is getrouwd met Ingonde.

Zij zijn getrouwd


Kind(eren):


Heeft u aanvullingen, correcties of vragen met betrekking tot Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens?
De auteur van deze publicatie hoort het graag van u!


Tijdbalk Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens

  Deze functionaliteit is alleen beschikbaar voor browsers met Javascript ondersteuning.
Klik op de namen voor meer informatie. Gebruikte symbolen: grootouders grootouders   ouders ouders   broers-zussen broers/zussen   kinderen kinderen

Voorouders (en nakomelingen) van Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) roi franc de la dynastie des Mérovingiens


    Toon totale kwartierstaat

    Via Snelzoeken kunt u zoeken op naam, voornaam gevolgd door een achternaam. U typt enkele letters in (minimaal 3) en direct verschijnt er een lijst met persoonsnamen binnen deze publicatie. Hoe meer letters u intypt hoe specifieker de resultaten. Klik op een persoonsnaam om naar de pagina van die persoon te gaan.

    • Of u kleine letters of hoofdletters intypt maak niet uit.
    • Wanneer u niet zeker bent over de voornaam of exacte schrijfwijze dan kunt u een sterretje (*) gebruiken. Voorbeeld: "*ornelis de b*r" vindt zowel "cornelis de boer" als "kornelis de buur".
    • Het is niet mogelijk om tekens anders dan het alfabet in te voeren (dus ook geen diacritische tekens als ö en é).

    Verwantschap Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens



    Visualiseer een andere verwantschap

    Bronnen

    1. Wikipedia, accessed 20-04-2020), https://de.wikipedia.org/wiki/Chlothar_I.
      Clotaire Ier
      Sauter à la navigationSauter à la recherche
      Clotaire Ier
      Illustration.
      Tête de Clotaire Ier. Musée municipal de Soissons.
      Titre
      Roi des Francs
      23 décembre 558 – 561
      Prédécesseur Childebert Ier (Réunion de tous les royaumes francs)
      Successeur Caribert Ier (Roi de Paris)
      Gontran (Roi d'Orléans)
      Sigebert Ier (Roi de Reims)
      Chilpéric Ier (Roi de Soissons)
      Roi des Francs de Soissons
      511 – 23 décembre 558
      Prédécesseur Clovis Ier (Division du royaume)
      Successeur lui-même (Réunion de tous les royaumes francs)
      Co-roi de Burgondie
      534 – 23 décembre 558
      Avec Thibert Ier (534-548)
      Thibaut (548-555)
      Childebert Ier
      Prédécesseur Godomar III
      Successeur lui-même (Réunion de tous les royaumes francs)
      Roi des Francs d'Orléans
      524 – 23 décembre 558
      Prédécesseur Clodomir (Division du royaume)
      Successeur lui-même (Réunion de tous les royaumes francs)
      Roi des Francs de Metz
      555 – 23 décembre 558
      Prédécesseur Thibaut
      Successeur lui-même (Réunion de tous les royaumes francs)
      Biographie
      Titre complet Roi des Francs (558-561)
      Roi de Soissons (511-561)
      Roi de Metz (555-561)
      Roi d'Orléans (524-561)
      Co-roi de Burgondie (534-558)
      Roi de Paris et des Burgondes
      Dynastie Mérovingiens
      Date de naissance Vers 498
      Date de décès 30 novembre 561 ou 31 décembre 561
      Lieu de décès Compiègne (France)
      Sépulture Soissons (France)
      Père Clovis Ier
      Mère Clotilde
      Conjoint Ingonde
      Gondioque
      Arnegonde
      Chunsine
      Radegonde
      Vuldetrade
      Enfants Gonthier
      Childéric
      Charibert
      Gontran
      Sigebert
      Clodoswinthe
      Chilpéric
      Chramn
      Gondobald (non reconnu)
      modifier Consultez la documentation du modèle
      Clotaire Ier dit le Vieux (ou Chlotar, Clothar, Chlotochar ou Hlothar), né vers 4981, mort le 29 novembre ou le 31 décembre 5612, est un roi franc de la dynastie des Mérovingiens, fils de Clovis, roi des Francs, mort en 511.

      Clotaire devient roi de Soissons en 511, roi d'Orléans en 5243, roi des Burgondesnote 1 en 534, roi de Metz en 555, roi de Paris en 558 ; entre 558 et 561, il est seul à la tête du royaume des Francs réunifié comme sous le règne de Clovis.


      Sommaire
      1 Introduction
      1.1 Fonctionnement des mariages et des successions
      1.1.1 Le mariage chez les Francs
      1.1.2 La politique matrilinéaire de parentèle
      1.1.3 La succession dans la dynastie mérovingienne
      2 Biographie
      2.1 Enfance
      2.2 Partage du royaume des Francs (511)
      2.3 Les années 520
      2.3.1 Echec de la guerre contre les Burgondes (523-524)
      2.3.2 Mariage de Clotaire avec Gondioque (reine d'Orléans)
      2.3.3 Mariage de Clotaire avec Arnégonde
      2.4 Les années 530-540
      2.4.1 Campagne de Thuringe (531)
      2.4.2 La princesse Radegonde[30]
      2.4.3 Partage du royaume d'Orléans (532)
      2.4.4 Conquête du royaume des Burgondes (534)
      2.4.5 Conquête de la Provence (537) et échecs de l'invasion de la Septimanie wisigothique (542)
      2.4.6 Péripéties familiales
      2.5 Les années 550
      2.5.1 Le rattachement du royaume de Metz (555)
      2.5.2 Soumission des Saxons et de la Thuringe
      2.5.3 La mise sous tutelle de l'Auvergne
      2.6 La réunification du royaume (558)
      2.7 Fin de vie.
      3 L'édification du monachisme féminin
      4 Mariages et descendance de Clotaire
      4.1 Historique
      4.2 Tableau généalogique
      5 Représentations dans les arts
      5.1 Télévision
      6 Annexes
      6.1 Bibliographie
      6.1.1 Sources
      6.1.2 Travaux historiques
      6.2 Articles connexes
      7 Notes et références
      7.1 Notes
      7.2 Références
      Introduction
      Fonctionnement des mariages et des successions
      Le mariage chez les Francs
      Article détaillé : Mariage morganatique.
      Les Francs, comme les autres peuples germains, pratiquent l'endogamie4 au sein de la Sippe ou clan (groupe de parenté étendu). Le mariage y prend plusieurs formes. Le père est le chef de la famille et exerce son autorité (mundium ou munduburdium) sur ses femmes, ses enfants, ses esclaves5. Il a le pouvoir d'accepter ou de refuser les mariages de chaque membre de sa familia6. Les jeunes nobles francs pratiquent une éducation sentimentale auprès des esclaves de leur familia ou des filles de leurs proches. Il en résulte souvent plusieurs mariages avec ses épouses de jeunesse (friedelfrau), qualifiées d'épouses de second rang ou d'épouses morganatiques. Ce type de mariage, la friedelehe, est généralement hypergamique et est conclu de façon privée entre le mari et la femme7.

      Le chef de famille peut décider d'établir pour les jeunes Francs arrivés à maturité, des mariages avec des épouses prestigieuses dites de premier rang. Ce type de mariage, célébré en public, permet le rapprochement des familles, assurant une alliance diplomatique8. Cette polygynie entraîne la confusion chez les chrétiens traditionnellement monogames, qui appliquent naturellement le droit matrimonial romain et qualifient à tort ces épouses de concubines ou de maîtresses, croyant leurs enfants illégitimesnote 2. Or, les enfants issus des différents mariages sont tous égaux en matière de successionnote 3. Le père garde cependant le droit d'écarter de sa succession les enfants de son choixnote 4.

      La politique matrilinéaire de parentèle
      Afin d'étendre son influence et d'agrandir son domaine, Clotaire pratique une politique de famille large, nommée parentèle dans les lois germaniques9. Le but recherché est de maintenir la paix et d'assurer la conservation du patrimoine que constitue le royaume et les territoires conquis, considéré comme propriété personnelle suivant la pratique de la patrimonialité10, pour sa descendance11. En multipliant les unions avec différentes épouses, le roi renforce le lien avec ses qui sont au centre du système matrilinéaire germanique. Le mélange de leur sang les lie en un groupe uni à vie12, garantissant ainsi que ses enfants à naître héritent du patrimoine parental, ceci à la condition que les différentes épouses n'aient pas eu d'enfants lors de mariages antérieurs. Le roi pouvant toujours se débarrasser des enfants non issus 13.

      La succession dans la dynastie mérovingienne
      Dans la tradition germanique, le mode de succession des rois sur le trône, la tanistry (nom celtique désignant la succession par le cadet et non par le fils), se fait entre frères, de l'aîné au benjamin, puis aux oncles et aux neveux10. Mais depuis le règne de Clovis Ier, la loi salique impose le partage du royaume entre les fils du roi. Contrairement au mode de succession par primogéniture qui régit la succession au trône du père au fils aîné, comme sous la dynastie capétienne, le royaume est divisé entre autant de fils que le roi a, afin que chacun puisse régner. La division du Regnum Francorum engendre des sous-royaumes (Teilreiche14) distincts, permettant à chaque prince d'exercer une royauté complète dans le sous-royaume attribué, plutôt que de diviser l'exercice du pouvoir avec les autres princes sur l'ensemble du territoire15.


      Buste imaginaire de Clotaire Ier frappé sous Louis XVIII.
      Biographie
      Enfance
      Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
      Clotaire est le cinquième fils de Clovis et le quatrième de la reine Clotilde. Son nom signifie en vieux haut-allemand.

      Partage du royaume des Francs (511)

      La division de la Gaule en 511.
      Après la mort de Clovis survenue le 27 novembre 511, le royaume des Francs est partagé entre Clotaire et ses trois frères17 : Thierry Ier, Clodomir et Childebert Ier18.

      En raison du droit de la mère (Mutterrecht), il est attribué aux différentes reines, pour leurs fils, une portion de royaume en tenant . Clovis ayant eu deux épouses, le royaume est d'abord divisé en deux. L'aîné, Thierry, fils de la première épouse, est largement avantagé en recevant le royaume de Reims.

      Clotaire partage la deuxième moitié avec ses deux autres frères19. Clotaire reçoit la partie nord, Childebert la partie centrale (royaume de Paris) et Clodomir la partie sud (royaume d'Orléans).

      Le royaume de Clotaire se compose de deux parties, l'une en Gaule belgique, correspondant au royaume des Francs saliens, où il établit sa capitale à Soissons20 et qui comprend les diocèses d'Amiens, d'Arras, de Saint-Quentin et de Tournai, l'autre en Gaule aquitaine comprenant les diocèses d'Agen, Bazas et Périgueux13.

      Les années 520
      Echec de la guerre contre les Burgondes (523-524)
      En 516, la mort de Gondebaud amène sur le trône burgonde son fils Sigismond, converti au catholicisme. Sa politique anti-arienne, en particulier l'exécution de son fils Sigéric (petit-fils de l'Ostrogoth Théodoric), le met en position de faiblesse21, ce qui incite les rois francs à lancer une offensive, sauf Thierry, marié à une fille de Sigismond.

      En 523, à l'instigation de Clotilde[réf. nécessaire], Clotaire, Clodomir et Childebert joignent leurs forces dans une expédition contre les Burgondes. L'armée burgonde est mise en déroute et Sigismond est pris et exécuté. Mais son frère Godomar le remplace sur le trône avec le soutien de l'aristocratie et les Francs sont obligés de repartir.

      Une nouvelle campagne a lieu en 524, incluant cette fois Thierry. Les Francs s'avancent jusqu'à la vallée de l'Isère, mais, le 25 juin 524, subissent une défaite grave lors de la bataille de Vézeronce, au cours de laquelle Clodomir meurt. Les Francs quittent le royaume burgonde et Godomar reprend le pouvoir22, qu'il conservera jusqu'en 53423.

      Mariage de Clotaire avec Gondioque (reine d'Orléans)
      Clotaire épouse alors Gondioque, la veuve de Clodomir22, ce qui lui assure la possession du trésor de Clodomir et lui assure les droits que détient Gondioque en tant que seule héritière du roi Godégisile24 ; la loi gombette permet à une fille d'hériter des terres en l'absence de fils25. Mais cela ne suffit pas pour obtenir le territoire de son défunt frère : la loi salique impose normalement le partage du royaume entre les fils de Clodomir.

      Mariage de Clotaire avec Arnégonde
      Ingonde lui ayant demandé de trouver un mari digne de sa haute lignée à sa sœur Arnegonde, le roi ne trouve finalement pas meilleur prétendant que lui-même, et décide d'épouser Arnégonde26. Elles devront vivre ensemble jusqu'au décès d'Ingonde vers 546.

      Les années 530-540
      Campagne de Thuringe (531)
      Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
      En 531, Hermanfred, roi des Thuringiens, a promis à Thierry une partie du royaume de Thuringe s'il l'aide à se débarrasser de son frère Baderic. Thierry accepte, mais se trouvant lésé après la victoire, il fait appel à Clotaire pour se venger de Hermanfred.

      Leur alliance leur permet de conquérir la Thuringe27 qui se retrouve annexée au royaume des Francs28. Lors du partage du butin, les deux rois se disputent âprement la princesse Radegonde, mais finalement, Clotaire la récupère, du fait qu'elle a été capturée par ses hommes29.

      La princesse Radegonde30

      Radegonde est amenée devant Clotaire. Vie de sainte Radegonde, xie siècle. Bibliothèque municipale de Poitiers.
      Il la fait conduire dans la villa royale d'Athies en Vermandois31. Lorsque Clotaire veut la recevoir à Vitry-en-Artois, elle profite de la nuit pour s'enfuir avec des compagnons32.


      Les noces de Radegonde (en haut à gauche), Radegonde en prière (en haut à droite), Radegonde en prière prosternée à côté du lit conjugal (case du bas). Vie de sainte Radegonde, xie siècle. Bibliothèque municipale de Poitiers.
      En 538, elle est amenée à Soissons pour épouser le roi, en tant que , qui voit se conforter sa domination sur la Thuringe34,27. Néanmoins, elle évite la pompe royale35 et tente de rester proche de Dieu36. Alors que le statut de reine rendait nécessaire le maintien de son rang par une apparence vestimentaire illustrant la prospérité et la puissance du mari qui utilisait ce comme une vitrine38, durant les banquets, Radegonde reste en vêtements simples39, afin d'affirmer son humilité chrétienne. Elle refuse de succomber au faste alimentaire, un serviteur dut prendre le pain pour le donner aux pauvres40. Elle trouve également des prétextes pour se retirer et aller chanter des psaumes41 et se lève la nuit pour s'étendre en prière jusqu'à en geler. Une fois revenue dans sa chambre, elle évite le roi en se gardant de retourner dans le lit ou de se réchauffer auprès du foyer. Cette attitude irrite Clotaire qui s'entend dire avoir épousé une moniale plutôt qu'une reine, provoquant des disputes que Radegonde tente de calmer42. La vocation spirituelle de Radegonde faisant passer prioritairement Dieu par rapport au roi, finit par rendre Clotaire insultant lorsque, se sentant négligé, il réclame son épouse à sa table, ce qui l'oblige à racheter ses paroles par des cadeaux43. Elle arrive cependant à jouer un rôle en influençant, par l'intermédiaire des flatteurs, la justice du roi en faisant appel à sa clémence vis-à-vis des condamnés à mort44. La mort de son frère Hermanfred45, assassiné sur ordre du roi27, la pousse à quitter Clotaire, qui la laisse rencontrer saint Médard à Noyon. L'évêque Médard, invoquant l'union sacrée entre les époux mais aussi à cause de violences perpétrées par les Grands, lui oppose un refus pour une consécration moniale. Radegonde finit par l'emporter sur Médard en lui faisant craindre les foudres du Seigneur, celui-ci la consacre alors diaconesse33. Elle part vivre dans la villa royale de Saix en Poitou, qui avec la villa d'Athies, constitue une propriété acquise par dot46. Au bout d'un an, des rumeurs viennent aux oreilles de la reine disant que Clotaire souhaite la ramener à Soissons47. Elle demande alors à un ermite nommé Jean qui s'est emmuré pour vivre reclus, de prier pour elle et pour . Le lendemain, Jean annonce le bon fondement des rumeurs . En effet, Clotaire vient pour tenter de reprendre Radegonde par la force mais, avertie de son arrivée, elle prend la fuite à travers champs, accompagnée d'Agnès et de Disciola. C'est à ce moment que se produit le célébré le 28 février, dont les premières sources écrites datent du xive siècle et que le diocèse de Poitiers commémore le mois de mars sous le nom de . En sortant de Saix, elle dit à un paysan semant de l'avoine : . Au moment même où ses paroles furent prononcées, le grain à peine semé se mit à croître jusqu'à taille adulte, ce qui permit aux trois compagnes de se cacher dans le champ. Lorsque Clotaire arrive, celui-ci questionne le paysan qui lui confesse le miracle. Clotaire 49. Elle préfère se retirer dans un couvent, plutôt que de vivre à ses côtés. Elle fonde à Poitiers l'abbaye Sainte-Croix27, premier monastère de femmes d'Europe. Elle est ensuite canonisée sainte Radegonde.

      Partage du royaume d'Orléans (532)
      Pour éviter que le royaume d'Orléans ne revienne à ses neveux, Clotaire s'allie à Childebert Ier en 532 pour organiser l'assassinat des trois jeunes héritiers.

      Ils envoient Arcadius, petit-fils de Sidoine Apollinaire50, auprès de Clotilde avec une paire de forces50 (ciseaux) et une épée nue. Il demanda alors à la reine ce que devaient faire ses fils avec leurs neveux : les laisser vivre comme moines ou les étrangler51. La coutume germanique non-écrite reconnaissait une autorité de chef de la lignée à la reine, le mutterrecht (droit de la mère)52. Or dans la tradition germanique, le mode de succession des rois sur le trône, la tanistrie (nom celtique désignant la succession par le cadet et non par le fils), se faisait entre frère, de l'aîné au benjamin, puis aux oncles et aux neveux10. Le risque de la tonte pouvait engendrer une guerre civile, les cheveux longs, symbole de royauté chez les Francs, finissant toujours par repousser, Thibaut, Gunthar et Clodoald auraient pu revendiquer le trône un jour ou l'autre. Aussi il était de son devoir de laisser s'appliquer la tanistry52. Écœurée, Clotilde répondit que s'ils ne devaient pas régner, alors elle préférait les voir morts que tondus.


      Assassinat de Thibaut et Gunthar. Manuscrit du xve siècle. Chroniques de France, bibliothèque nationale, Paris.
      Les deux oncles massacrèrent les enfants de Clodomir : Clotaire assassina Thibaut d'un coup de couteau dans l'aisselle. Gunthar se jeta aux pieds de Childebert qui se mettait à pleurer et faillit céder aux suppliques de son neveu. Mais Clotaire lui fit remarquer qu'il était à l'initiative de l'entreprise. Childebert rejeta alors Gunthar contre son frère qui le poignarda et l'étrangla. Thibaut et Gonthaire avaient respectivement dix et sept ans. Le dernier, Clodoald resta en vie en parvenant à s'enfuir, caché par des partisans fidèles. Il renonce à sa part, et choisit la vie monastique. Clotaire et Childebert peuvent alors librement se partager le territoire de leur frère51. Thierry Ier, quant à lui s'empare d'une partie de l'héritage constitué de l'Auxerrois, du Berry et du Sénonais.

      Conquête du royaume des Burgondes (534)
      Dès 532, Childebert et Clotaire s'emparent d'Autun et en chassent Godomar III, frère de Sigismond. En 534, la mort d'Athalaric engendre une crise de succession dans le royaume Ostrogoth, allié des Burgondes53. Clotaire, Childebert et leur neveu Théodebert en profitent cette fois pour envahir le royaume Burgonde, dénué de protecteur54. Le royaume Burgonde est alors partagé entre les couronnes franques55 mais cette situation ne dura pas car il fut progressivement reconstitué par Clotaire 1er et, à sa mort, transmis tel quel à son fils Gontran.

      Conquête de la Provence (537) et échecs de l'invasion de la Septimanie wisigothique (542)
      L'empereur Justin 1er (518-527) propose aux Francs de s'emparer de la Provence ostrogothique en échange d'un soutien dans sa reconquête de l'Italie. Après la mort de Théodoric en 526 les rois ostrogoths notamment Vitigès leur font la même offre en échange de leur neutralité56,. En 53757, les rois Francs Childebert et Théodebert acceptent l'offre des Ostrogoths et s'emparent de la Provence en commençant par Arles sa capitale puis Marseille, porte ouverte sur le grand commerce méditerranéen ainsi que le nord des Alpes par l'accaparement de la haute vallée du Rhin, le Main et le haut Danube avec une souveraineté sur les Alamans58,59. De l'ancienne Gaule romaine, il ne restait aux Francs qu'à conquérir la Septimanie wisigothique mais les campagnes successives notamment celle de 531 et de 541 ne connurent de succès durables.

      Au printemps 542, Childebert et Clotaire, accompagné de trois de ses fils dont Chilpéric60, conduisent une armée jusqu'en Hispanie wisigothique. Ils s'emparent de Pampelune et assiègent Saragosse, qu'ils sont finalement obligés d'abandonner après avoir conquis la plus grande partie du pays61 à cause de l'armée du roi Theudis qui les poursuit au-delà des Pyrénées62.


      Péripéties familiales
      Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
      Les Francs voulant récupérer les conquêtes de Clovis que les Goths avaient reprises, Théodebert et Gonthier, fils aîné de Clotaire, sont envoyés pour réclamer les terres. Mais parvenu à Rodez, Gonthier retourne sur ses pas pour une cause inexpliquée, pendant que Théodebert s'empare des places fortes de Dio-et-Valquières et Cabrières63.

      Clotaire profite de l'agonie de Thierry, gravement malade, pour tenter de récupérer son royaume, avec l'aide de Childebert. Mais Théodebert, alors occupé à assujettir Arles, retourne précipitamment auprès de son père Thierry qui décède quelques jours après son arrivée. Soutenu par ses leudes, Théodebert réussit à conserver son royaume et réfrène l'avidité de ses oncles en les comblant de dons64.

      Clotaire se voit contraint de se réfugier dans une forêt pour se protéger d'une alliance que Childebert et Théodebert ont conclue contre lui. Tandis qu'ils assiègent Clotaire, une tempête ravage le matériel, met en fuite les chevaux, et désorganise l'armée. Ils abandonnent alors le siège et concluent la paix avec Clotaire65.

      La mort de la fille de Théodoric le Grand et d'une sœur de Clovis Ier, qui a été assassinée par le roi des Ostrogoths Théodat, pour venger le crime que cette avait perpétré contre sa propre mère, fait l'objet d'un chantage diplomatique de la part des rois Francs. Ceux-ci exigent le versement d'une rançon en guise de compensation. Théodat leur envoie donc 50 000 pièces d'or que Childebert et Thibert interceptent et se partagent entre eux de sorte que Clotaire n'ait rien. Mais ce dernier ayant fait main basse sur le trésor de Clodomir, il leur avait volé beaucoup plus d'argent qu'eux ne purent voler66.

      Le 3 juin 54867, Clotilde meurt dans la ville de Tours. Childebert et Clotaire la font transporter par un cortège funèbre dans la basilique des Saint-Apôtres pour y être ensevelie aux côtés de son époux, le roi Clovis Ier, et de sainte Geneviève68.


      Les années 550
      Le royaume des Francs en 548
      Le rattachement du royaume de Metz (555)
      Théodebald (fils de Théodebert et petit-fils du défunt Thierry) meurt sans descendance en 555. Clotaire se rend immédiatement à Metz pour prendre possession du royaume de son défunt petit-neveu, cela au mépris du partage prévu par la loi salique avec son frère. Il épouse alors Vuldetrade, veuve de Théodebald69 et fille du roi Lombard Waccho. Il s'assure ainsi de la succession en douceur auprès des Grands du royaume de Metz, ainsi que d'une alliance avec les Lombards établie depuis le règne de Thibert. Mais les évêques condamnent ce mariage incestueux et Clotaire accepte de délaisser Vuldetrade pour la donner en mariage au duc Bavarois Garibald, lui permettant ainsi de renforcer l'entente avec ce peuple. L'âge avancé de Clotaire expliquerait sa sensibilité face aux hommes de Dieu70. Pour compenser la rupture du mariage avec Vuldetrade, Clotaire donne à marier au prince Alboïn, futur roi des Lombards, sa fille Clodoswinthe26. Condat71, le domesticus (grand administrateur du palais) du roi Théodebald conserve ses fonctions après le rattachement du royaume de Metz72.

      Soumission des Saxons et de la Thuringe
      En 555, il affronte et anéantit les Saxons révoltés, peuples situés dans la haute vallée de la Weser, l'Elbe, et le littoral de la mer du Nord73. En guise de soumission, Clotaire leur imposent de verser au fisc (terre, forêt ou mine appartenant à la couronne74) un tribut annuel de cinq cents vaches75. Il effectue à la suite une expédition punitive contre la Thuringe qui a aidé les Saxons76.

      Entre 555 et 556, les Saxons, peut-être à l'incitation de Childebert, se révoltent à nouveau. Face aux Saxons, Clotaire préfère parlementer et éviter un massacre, car ceux-ci acceptent de continuer le versement d'un tribut malgré un refus antérieur. Mais ses hommes, pleins d'intentions belliqueuses et désireux d'en découdre, contestent sa décision. Les pourparlers cessent lorsque les soldats de sa troupe le forcent, par injures et menaces de mort, à se jeter sur les Saxons. Après un carnage abominable, les Saxons et les Francs font la paix77, qui est peut-être le fruit d'une sanglante défaite78.

      La mise sous tutelle de l'Auvergne
      Le royaume des Francs en 556-560
      L'Auvergne, autrefois province romaine prospère, qui avait résisté aux Wisigoths et avait espéré des Francs qu'ils seraient de meilleurs maîtres, s'était opposée à Thierry qui, en représailles, la ravagea. Thibert l'avait ensuite pacifiée en la faisant gouverner par des sénateurs Auvergnats et en épousant une gallo-romaine de Cabrières. Afin d'anticiper un possible soulèvement, à la suite du décès de Thibaut, Clotaire envoie son fils Chramn prendre possession de l'Auvergne79 pour surveiller cette région ainsi que l'Aquitaine première80. Ce dernier a pour consigne de résider à Clermontnote 5 de mater les turbulences de la région, et de régler une question épiscopale69. Il s'agit peut-être du premier vice-royaume81 (Unterkönigtum82) d'Aquitaine83. Grégoire de Tours nomme Chramn rex84, une monnaie a été retrouvée à Bordeaux avec l'inscription Chramnus85 et Chramn émet lui-même des préceptes. Son vice-royaume est composé des cités de Poitiers, Tours, Limoges et Clermont qu'il occupe l'une après l'autre. Mal conseillé et entraîné par le désir d'indépendance aquitain, il se laisse porter par le désir d'établir un royaume indépendant de celui de Clotaire84. Pour y parvenir, il s'allie à Childebert qui l'encourage dans son dessein86. Les cités de l'Aquitaine première lui ont probablement été accordées, c'est-à-dire Bourges, Le Puy, Javols, Rodez, Cahors, Albi et même Toulouse87.

      Clotaire, alors contraint de guerroyer contre les Saxons, envoie ses fils Charibert et Gontran mener une armée à la rencontre de Chramn. Ils se rendent alors en Auvergne, puis à Limoges, et enfin retrouvent Chramn à Saint-Georges-Nigremont, dans le canton de Crocq de l'actuel département de la Creuse. Leurs armées se font face au pied d'une où ils incitent Chramn à rendre les terres appartenant à leur père. Il refuse et une tempête empêche la bataille. Chramn envoie un messager à ses demi-frères, les informant de la mort de Clotaire, qui se bat contre les Saxons. Charibert et Gontran se rendent aussitôt en Burgondie86. La rumeur disant que Clotaire est mort en Saxe se répand dans toute la Gaule, y compris aux oreilles de Childebert qui se laisse abuser88. Il se peut que cette rumeur ne soit donc pas une ruse de Chramn, avec qui Childebert est en relation89. Chramn en profite alors pour étendre son influence jusqu'à Chalon-sur-Saône. Il assiège la ville et la conquiert. Il rencontre ensuite Childebert dans la place forte de Dijon mais se voit refuser l'accès à la ville86. Chramn se marie à Chalda90, fille du comte d'Orléans91 Wiliachaire (Willacharius) qui est subordonné à Childebert.

      La réunification du royaume (558)
      Le 23 décembre[citation nécessaire] 55892,93, Childebert meurt sans descendance d'une longue maladie, ce qui permet à Clotaire de réunifier à nouveau le Regnum Francorum de son père Clovis et de s'emparer du trésor de son frère92. Il n'est cependant pas encore tout à fait seul maître du royaume puisqu'il doit triompher de son fils Chramn qui, depuis l'Auvergne, complote contre lui, cherchant l'alliance de Childebert. Ce dernier meurt et Chramn fait donc appel aux Bretons, avec lesquels il a dû s'entendre grâce au comte de Tours Willacharius[citation nécessaire]94, son beau-père. Ce dernier, poursuivit par Clotaire, se refugie avec sa femme dans la basilique Saint-Martin de Tours qui l'incendianote 6.

      Dénué de soutien, Chramn est obligé de se soumettre à l'autorité de son père qui lui accorde son pardon. Mais Chramn récidive en 560. Il s'enfuit avec sa femme et ses filles dans le Poher, auprès du comte de Bretagne Conomor, ancien allié de Childebert[citation nécessaire], qu'il a dû rencontrer à la cour de son oncle.


      La Mort de Chramm par Évariste-Vital Luminais, musée des beaux-arts de Brest.
      Entre le 1er septembre 559 et le 31 août 56095, avec l'aide des Bretons, Chramn pille et détruit un grand nombre de lieux appartenant à son pèrenote 7. Clotaire, accompagné de son fils Chilpéric96, s'avance vers la Domnonée dans laquelle il arrive en novembre ou décembre[citation nécessaire] 560. Lors de la bataille, localisée dans le territoire de Vannes près de la côte, que le duc Willachaire aurait dû disputer aux Bretons97, Conomor est vaincu et tué alors qu'il tourne le dos à l'ennemi. Conomor possédait des terres des deux côtés de la Manche et Chramn avait peut-être l'intention, pour fuir Clotaire, de se réfugier en Grande-Bretagne avec le soutien de Conomor. Il s'enfuit pour prendre la mer mais tente d'abord de secourir sa femme et ses filles. Il est alors capturé et aussitôt condamné à mort. Enfermé dans une masure avec son épouse et ses filles, il y est étranglé avant que le feu ne soit mis à l'édifice92. Clotaire est dès lors seul maître du regnum francorum.


      Fin de vie.
      En 561[citation nécessaire], Clotaire tente d'augmenter les impôts des églises malgré l'exemption accordée par le droit romain dont elles bénéficient et qui est confirmé régulièrement par les édits royaux98. En effet, Childéric Ier accorda des immunités aux églises99. L'évêque Injuriosus de Tours s'y refuse et Clotaire abandonne son dessein100. À la mort de l'évêque, le roi le fera remplacer par un membre de sa domesticité nommé Baudin26. De même, il exile l'évêque Nizier de Trèves à cause de son inflexibilité sur le droit canonique[citation nécessaire]101.

      Ingonde et Clotaire accordent une décoration au tombeau de Saint-Germain d'Auxerre102, la basilique y conserve un calice donné par la reine103. Clotaire épouse encore Chunsine, puis Vulderade (555), veuve de Thibaut, son petit-neveu le roi de Metz69.

      À la fin de son règne, le royaume franc est à son apogée, couvrant toute la Gaule (à l'exception de la Septimanie) et une partie de l'Allemagne actuelle.
      Il meurt à la fin de l'année 561104 d'une pneumonie aiguë à 60 ans105, laissant son royaume à ses quatre fils qui allèrent l'enterrer à Soissons, dans la basilique Sainte-Marie106 qu'il avait commencé à faire construire sur le tombeau de saint Médard107.


      Le royaume des Francs en 561 après sa division en sous-royaumes.
      On lui prête ces dernières paroles sur son lit de mort :



      — Grégoire de Tours, Histoires, livre IV, 21

      L'héritage patrimonial est partagé :

      Caribert reçut l'ancien royaume de Childebert Ier, situé entre la Somme et les Pyrénées108, ayant Paris pour capitale et comprenant le bassin parisien, l'Aquitaine et la Provence ;
      Gontran reçoit la Burgondie avec une partie du royaume d'Orléans dans laquelle il installe sa capitale ;
      Sigebert reçoit le royaume de Metz avec comme capitale Reims puis Metz ;
      Chilpéric reçoit les territoires au nord, le royaume de Soissons20.
      L'édification du monachisme féminin
      Clotaire finance la construction du monastère Sainte-Croix de Poitiers dans lequel se replie Radegonde109 et fait transférer les reliquaires que la reine a accumulés lors de son séjour auprès du roi jusqu'au monastère de Sainte-Croix110.

      Mariages et descendance de Clotaire
      Historique
      Selon Grégoire de Tours,


      Sépulture de Clodormir.
      Vers 516, à environ vingt ans, il épouse Ingonde qui doit être une esclave du domaine royal111. Elle lui donne pour fils Gonthier vers 517, Childéric vers 518, Caribert vers 519, Gontran vers 528 et Sigebert en 535. Ils ont également une fille nommé Clodoswinthe. Sa mort survient bien au-delà de l'année 536112.

      Clotaire se marie également avec Chunsine, probablement sa deuxième reine112 avec qui il a un fils nommé Chramn entre 520 et 540note 8.

      En 524, il épouse la reine franque Gondioque, veuve de son frère aîné Clodomir.

      Entre 525 et 527, il épouse Arnegonde qui lui donne un fils, Chilpéric113.

      En 538, il se marie avec la princesse thuringienne Radegonde dont il n'aura aucun enfant.

      En 555 enfin, il épouse la princesse lombarde Vuldetrade, veuve de son petit-neveu Thibaut. Elle est ensuite répudiée.

      Une femme, qui était d'un rang plutôt aisé, présente son fils nommé Gondovald, né à la fin des années 540 ou au début des années 550, comme un fils de Clotaire. Clotaire , il s'agit là d'une car si la mère le certifie, Clotaire lui-même doute de cet enfant. Il reçoit une éducation littéraire et se laisse pousser les cheveux, signe de son appartenance royale115. Sa mère l'amène à la cour du roi Childebert Ier à qui elle certifie qu'il s'agit de son neveu. Childebert, n'ayant pas de descendant mâle, accepte de le garder à ses côtés mais Clotaire le réclame. Il refuse cependant de le reconnaître comme son fils et le fait tondre préférant le garder en vie au cas où Gondovald serait vraiment son fils116.

      Une fausse généalogie trouvée dans les trophées de Brabant, réalisée au ixe siècle durant le règne de Charles le Chauve, invente une fille de Clotaire nommée Blithilde qui se serait unie à Ansbert de Rouen, fils de Ferréol III. De ce mariage, serait né le duc Arnoald, père d'Arnoul de Metz, rattachant ainsi les dynasties mérovingienne et carolingienne, faisant ainsi croire que les Carolingiens régnaient par droit d'hérédité, mais aussi en les rattachant aux populations romaines par leur filiation avec la famille sénatoriale des Ferreoli117.

      Bagues de trois des épouses de Clotaire Ier

      Bague d'Ingonde, épousée vers 516.



      Bague d'Arégonde, épousée entre 525 et 527.



      Bague de Radegonde, épousée en 538.

      Tableau généalogique
      Généalogie simplifiée des descendants de Childéric Ier
      Représentations dans les arts
      Télévision
      1991 : L'Enfant des loups, téléfilm franco-espagnol de Philippe Monnier, avec Maurice Barrier dans le rôle de Clotaire.
      Annexes
      Bibliographie
      Notices d'autorité : Fichier d'autorité international virtuelInternational Standard Name IdentifierSystème universitaire de documentationBibliothèque du CongrèsGemeinsame NormdateiWorldCat
      Sources
      Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Les Belles Lettres, coll. , 27-28, Paris, 1963 (réédition 1995).
      Marius d'Avenches, Chronique, collection , éditions Paléo, Clermont-Ferrand, 2006 (ISBN 978-2-84909-207-1).
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, in Robert Favreau (dir.), La Vie de sainte Radegonde par Fortunat, éditions du Seuil, Paris, 1995 (ISBN 978-2-02-023823-6).
      Travaux historiques
      Sur les Mérovingiens
      Patrick J. Geary, Naissance de la France : le monde mérovingien, édition Flammarion, 1989 (traduit de Before France and Germany : The Creation and Transformation of Merovingian World, Oxford University Press, 1988) (ISBN 978-2-08-081274-2)
      Laure Charlotte Feffer et Patrick Périn, Les Francs, Paris, Armand Collin Éditeur, 1987 (notice BnF no FRBNF37700985)
      Tome 1 : A la conquête de la Gaule, 1987a (ISBN 2-200-37080-6) ;
      Tome 2 : À l'origine de la France, 1987b (ISBN 2-200-37072-5)
      Stéphane Lebecq, Les origines franques, ve - ixe siècle, Seuil (Nouvelle histoire de la France médiévale, 1), 1990 (ISBN 2-02-011552-2), Première partie, chapitre 2 : "Les héritiers de Clovis, pages 61-72.
      Biographies
      Frédéric Armand, Chilpéric Ier, le roi assassiné deux fois, La louve éditions, 2008 (ISBN 978-2-916488-20-2).
      Anne Bernet, Radegonde, collection , éditions Pygmalion, 2007 (ISBN 978-2-7564-0042-6).
      Bruno Dumézil, La Reine Brunehaut, éditions Fayard, Paris, 2008 (ISBN 978-2-213-63170-7).
      Ivan Gobry, Clotaire Ier, éditions Pygmalion, coll. , 2004, 246 p. (ISBN 978-2-85704-908-1).
      Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, 1996 (ISBN 2-2135-9632-8).
      Thèmes particuliers
      Michel Rouche, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes, 418-781 : naissance d'une région, Paris, École des hautes études en sciences sociales, Jean Touzot, 1979 (ISBN 978-2-7132-0685-6).
      Romans historiques
      Jean-Louis Fetjaine, Les Reines pourpres 1 : Les Voiles de Frédégonde, Belfond, Paris, 2006 (ISBN 978-2-298-00115-0).
      Jean-Louis Fetjaine, Les Reines pourpres 2 : Les Larmes de Brunehilde, Belfond, Paris, 2007 (ISBN 978-2-7144-4266-6).
      Articles connexes
      Faux Mérovingiens
      Généalogie des Mérovingiens
      Souverains français enterrés hors de Saint-Denis
      Notes et références
      Notes
      Avec son frère Childebert jusqu'en 558
      L'évêque Sagittaire de Gap, au sujet du roi Gontran, se mit . Grégoire de Tours, Histoire des Francs, livre V, 20 ; saint Colomban voit les enfants du roi Thierry II comme étant issus de concubines et donc inaptes à régner : . Jonas de Bobbio, Vita Colombani, I, 19.
      . Grégoire de Tours, Histoire des Francs, livre V, 20.
      Armand (2008), p. 33. Clotaire II aurait volontairement écarté du pouvoir Caribert II au profit de Dagobert Ier en raison de sa . Patrick Périn et Gaston Duchet-Suchaux, Clovis et les mérovingiens, collection Historia, éditions Tallandier, p. 118.
      . Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 16. L'expression prouve que Chramn a installé sa résidence royale après Clermont et Poitiers. Ces deux villes devaient être les deux plus importantes de l'Aquitaine à cette époque.
      Elle sera restaurée ensuite par la suite par Clotaire.
      Chramn, après les serments qu'il avait prêtés à son père, se rendit chez les Bretons et, en s'efforçant d'envahir le royaume de son père, il osa avancer contre lui avec les Bretons. Il pilla et endommagea gravement beaucoup de lieux. Dans le but de réprimer la folie de celui-ci, son père se hâta avec une armée. Marius d'Avenches, Chronique, a. 560.
      Clotaire lui confie en 555 la responsabilité de prendre possession de l'Auvergne en son nom, il faut alors qu'il soit majeur, c'est-à-dire âgé d'au moins quinze ans. Son père lui confiant cette responsabilité plutôt qu'à Charibert, Chramn est peut-être le plus âgé des fils de Clotaire après les décès de Gonthier et Childéric, ce qui situerait sa date de naissance vers 520 entre celle de Childéric et de Charibert. Frédéric Armand, Chilpéric Ier, le roi assassiné deux fois, La Louve édition, 2008, p. 35.
      Références
      Rouche (1996), p. 247.
      Généalogie de Clotaire Ier sur le site Medieval Lands [archive]
      Comme régent, en 524 (mariage avec Gondioque) ; juridiquement, après la mort des enfants de Clodomir, que la page (infra) situe en 532.
      Armand (2008), p. 31.
      Geary (1988), p. 129.
      Armand (2008), p. 30.
      Geary (1988), p. 130.
      Armand (2008), p. 32.
      Rouche (1996), p. 235.
      Rouche (1996), p. 233.
      Rouche (1996), p. 237.
      Rouche (1996), p. 236.
      Rouche (1996), p. 351.
      Eugen Ewig, Die fränkischen Teilungen und Teilreiche (511-613), in Spätantikes und frankisches Gallien, Munich, 1976.
      Armand (2008), p. 72.
      Jean-Louis Fetjaine, Les reines pourpres - Les Voiles de Frédégonde, tome 1, Belfond, Paris, 2006, p. 14.
      Grégoire de Tours, Histoires, livre III, 1.
      Godefroid Kurth, Clovis, le fondateur, Éditions Tallandier, 1896, p. 505 ; Patrick Périn, Clovis et la naissance de la France, Éditions Denoël, collection , 1990, p. 117 ; Rouche (1996), p. 345 ; Laurent Theis, Clovis, de l'histoire au mythe, Bruxelles, Éditions Complexe, collection , 1996, p. 80.
      Rouche (1996), p. 350.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 22.
      Lebecq, page 65.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 6.
      Récit des campagnes burgondes : Lebecq, page 65.
      Armand (2008), p. 25.
      Loi des Burgondes, tit. 14, art. 1.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 3.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 7.
      Armand (2008), p. 26.
      Bernard Bachrach, Quelques observations sur la composition et les caractéristiques des armées de Clovis dans Rouche (1997) pp. 689-703, p. 700, n. 55.
      Les détails surabondants donnés ci-dessous seraient appropriés sur la page Radegonde (à condition d'être plus clairement écrits), mais pas sur celle de Clotaire.
      Georges Duby, Le Moyen Âge 987-1460. Histoire de France Hachette, 1987, p. 56.
      Information peu claire. Qu'est-ce qui se passe ensuite ?
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, XII.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 4.
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, II.
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, III.
      P. Stafford, , dans E.M.Tyler (éd.), Treasure in the Middle Ages, York, 2000, pp. 61-82.
      Dumézil (2008), p. 124.
      Dumézil (2008), p. 125.
      Georges Duby, Le Moyen Âge 987-1460. Histoire de France Hachette, 1987, p. 60.
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, IV.
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, V.
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, VII.
      Venance Fortunat, Vie de Radegonde, X.
      Patrick Périn et Gaston Duchet-Suchaux, Clovis et les mérovingiens, collection Historia, éditions Tallandier, 2002, p. 98.
      Bernet (2007), p. 134.
      Baudonivie, Vita Radegundis, IV.
      Baudonivie, Vita Radegundis, III.
      Bernet (2007), p. 143.
      Rouche (1996), p. 360.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 18.
      Rouche (1996), p. 361.
      Armand (2008), p. 27.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 11.
      Marius d'Avenches, Chronique, a. 534.
      Procope, Guerres, V, 20, 14-28.
      Dumézil (2008), p. 85.
      Rouche (1996), p. 369.
      Agathias, Histoires, I, 6.
      Armand (2008), p. 50.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 29.
      Isidore de Séville, Historia Gothorum. Auctores antiquissimi, t. XI.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 21.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 23.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 28.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre III, 31.
      Rouche (1996), p. 371.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 1.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 9.
      Armand (2008), p. 54.
      Venance Fortunat, Carmina, VII, 16 ; PLRE, III, 1, pp. 331-332.
      Dumézil (2008), p. 136.
      Dumézil (2008), p. 84.
      Dumézil (2008), p. 93.
      Chronique de Frédégaire, livre IV, 74.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 10.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 14.
      Ferdinand Lot, Naissance de la France, éditions Fayard, 1948, pp. 59-61.
      Armand (2008), p. 55.
      Rouche (1979), p. 58.
      Georges Tessier, Le Baptême de Clovis, Paris, Gallimard, 1964, p. 176.
      Erich Zöllner, Geschichte der Franken, bis zur Mitte des sechsten Jahrhunderts. Auf der Grundlage des Werkes von Ludwig Q unter Mitwirkung von Joachim WERNER neu bearb, C.H. Beck, Munich, 1970.
      Rouche (1979), p. 62 ; Bernet (2007), p. 172.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 13.
      Charles Higounet, Bordeaux pendant le haut Moyen Âge, p. 316, $7.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 16.
      Rouche (1979), p. 494, n. 67.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 17.
      Armand (2008), p. 59.
      Liber Historiae Francorum, 28.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre VII, 18.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 20.
      Marius d'Avenches, Chronique, a. 558 ; D'après W. Levison, Neues Archiv, t. 35, 1910, p. 38, s'appuyant sur la Vita Droctovei c.15, p. 541 et sur le martyrologe d'Usuard.
      Rouche (1979), p. 63.
      Armand (2008), p. 68, n. 54.
      Venance Fortunat, Carmina, IX, 1.
      Rouche (1979), pp. 64, 494, n. 65.
      Dumézil (2008), p. 92.
      Rouche (1996), p. 194.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 2.
      Nancy Gauthier, L'Évangélisation dans les pays de Moselle, Paris, 1980, pp. 172-189.
      Louis Duchesne, Fastes épiscopaux de l'ancienne Gaule, t. 2 - L'Aquitaine et les Lyonnaises, 2e édition, Paris, 1910, Fontemoing et Cie éditeurs, p. 432.
      Heiricus, Miracula Sancti Germani, I, 7.
      Marius d'Avenches, Chronique, a. 561.
      Les morts mystérieuses de l'histoire Volume 1 du docteur Augustin Cabanès
      Ivan Gobry, Clotaire II, collection , éditions Pygmalion, p. 12.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre IV, 19, 21, 54.
      Ivan Gobry, collection , éditions Pygmalion, p. 13.
      Baudonivie, Vita Radegundis, VI, 7.
      Baudonivie, Vita Radegundis, XIII.
      Armand (2008) p. 33.
      Armand (2008), p. 34.
      Armand (2008), p. 317.
      Dumézil (2008), p. 259.
      Grégoire de Tours, Histoire, livre VI, 24.
      I. Wood, , Revue belge de philologie et d'histoire, 71 (1993), pp. 263-265.
      Jean Deviosse, Charles Martel, Tallandier, 2006, p. 29.
      [masquer]
      Voir ce modèle.
      Roi des Francs
      Précédé par Suivi par
      Childebert Ier
      Meuble héraldique Fleur de lys.svg
      Clotaire Ier
      511-561
      Chilpéric Ier
      [afficher]
      v · m
      Rois des Francs, rois de France, rois des Français et empereurs des Français
      [afficher]
      v · m
      Dynastie mérovingienne (400-755)
      Portail du Haut Moyen Âge Portail de la monarchie
      Catégories : Personnalité gauloise du VIe siècleRoi de MetzRoi des Francs saliensMérovingienBourgogne médiévaleDécès en 561Décès à Soissons[+]

    Over de familienaam Roi franc de la dynastie des Mérovingiens


    Wilt u bij het overnemen van gegevens uit deze stamboom alstublieft een verwijzing naar de herkomst opnemen:
    Chris van Wincoop, "Stamboom van Wincoop - Sandkuijl", database, Genealogie Online (https://www.genealogieonline.nl/stambooom-van-wincoop-sandkuijl/I6452.php : benaderd 25 april 2024), "Clotaire I (Chlotar Clothar Chlotochar Hlothar) (Clotaire I "le Vieux" (Chlotar, Clothar, Chlotochar, Hlothar)) "le Vieux" roi franc de la dynastie des Mérovingiens (± 498-561)".