Arbre généalogique Kort-Kraak » Johannes Maritz de Barollière II (1711-1790)

Données personnelles Johannes Maritz de Barollière II 

• Aussi connu(e) sous le nom de Jean.
• Il est né le 26 juillet 1711 dans Burgdorf, Kanton Bern, Zwitserland.

  D94511-Burgdorf Taufen 1666-1726 Heiraten 1666-1726 Sterben 1706-1726

• Titre: Baron de la Barollière, Annobli Maritz de la Barollière (Propriété près de Lyon)

  Les lettres de noblesse , qui lui furent accordées en avril 1775, contiennent de nombreux et intéressants détails sur ses services et ceux de sa famille. Il fut nommé la même année chevalier de Saint Michel. A la révolution il remplissait encore la charge de commissaire des fontes de l'artillerie de Douai

• Profession: le 17 avril 1740 Directeur der gieterijen te Straatsburg dans Straatsburg, Frankrijk.
• Description physique: .
• (Award) le 28 juin 1755.Source 1

  chevalier de Saint-Michel

• Il est décédé le 12 mai 1790 dans Limonest, Lyon, Frankrijk, il avait 78 ans.

  Noble  Jean  Maritz, chevalier de l’ordre du Roi, inspecteur général des fontes de l’artillerie de terre et de mer de France,  seigneur  de  La  Barollière,  Rigaudière  et  autres  lieux,  est  décédé  le  12  mai  1790  à Lymonets-au-Mont-d’Or (sic), âgé d’environ 79 ans, et a été inhumé le lendemain en présence de  MM.  CharlesHenry  Maritz  de  La  Barollière,  son  fils,  Louis  Beaudard  (sic),  chevalier  de Saint-Louis,  son  gendre,  Antoine  Berthier,  prêtre,  et  trois  domestiques  du  château  de  La Barollière.

  Source 1

• Un enfant de Jean Maritz et Catharina Vögeli

Famille de Johannes Maritz de Barollière II

Il est marié avec Judith Deonna.

Ils se sont mariés le 10 novembre 1735 à Satigny, Genève, Zwitserland, il avait 24 ans.Source 2

D94522-Burgdorf Heiraten 1727-1752 Toten 1727-1751, pag 18

Enfant(s):

1. Laurence Maritz  1736-1800
2. Jean Gaspard Maritz  1738-± 1739
3. Charles Maritz  1740-< 1745
4. Charles Henry Maritz  1744-1796 
5. Josèphine Laurence Jeanne Françoise Maritz  1745-1800 
6. Louis-Jean Maritz  1748-1752
7. Jeanne-Louise Maritz  1751-1751

Les époux ont divorcé en 1735.Source 3

L.Veillard, not.

Notes par Johannes Maritz de Barollière II

À tout seigneur, tout honneur, Jean Maritz de la Barollière signe en premier. Il est le fils de Jean Maritz (1670 – 1743) inventeur du forage horizontal des canons.
Né à Burgdorf en 1711, il arrive le 2 mai 1734 avec son père pour diriger la fonderie de canons de Lyon à Vaise sur les bords de Saône. En 1738, il devient fondeur à Strasbourg, l’une des deux plus importantes fonderies royales et la machine de Maritz part de Lyon pour Strasbourg en 1740.
En 1742, Jean père quitte Lyon pour Genève et Jean fils est à la tête de deux fonderies. En 1746 sa machine est installée à Douai dans le Nord. Le 30 septembre 1747 François-Simon Berenger maître fondeur à Douai meurt, son fils Jean-François qui a 22 ans le remplace et est formé par Jean Maritz. Le 8 novembre 1750, ce dernier achète la Barollière pour 65 000 livres, en 1751 il est à Strasbourg part ensuite en 1753 pour Rochefort puis Ruelle.
Le 21 juin 1755, il obtient son brevet de chevalier de Saint Michel. Il est de retour à Strasbourg en 1760, puis repart travailler en Espagne, en 1765, à Barcelone puis Séville, le roi Charles III le nomme maréchal de camp avec une solde de 30 000 livres. En 1764, Il achète le château de la Rigaudière à Saint Julien dans le Beaujolais.
En 1772 il est nommé Bourgeois de Lyon. A partir de 1773 il reste à Limonest et le 12 juin 1790, Antoinette sonne le glas de son père, Jean Maritz est décédé au château de la Barollière.

bron: Haagsch jaarboekje 1895-1899 pag 134-135

Johannes Maritz gedoopt 16 Juli 1711, de jongste zoon van Johannes bij Catharina Vögeli was reeds in 1734 met zijn vader werkzaam te Lyon en voerde daar, evenals hij, den titel van "Commissaire des Fontes d'Artillerie." Na den terugkeer zijns vaders naar Genève zette hij de uitgevonden werkwijze in Frankrijk voort : zoo werden de geschutgieterijen van Straatsburg en Douaij en daarna de ijzersmelterijen van Rochefort, Ruelle enz. waar het voor de Marine benoodigd ijzeren geschut werd vervaardigd, door hen ingericht. In 1755 benoemde de Koning hem tot Inspecteur Général des Fontes et Forges de la Marine en ridder van St. Michel. Door den aankoop van een riddermatig goed werd hij tevens met adelbrieven begiftigd. Terwijl hij in zijne betrekking bij de Marine een jaargeld van 15000 livres verkreeg, werd hem als schadevergoeding voor het verlaten van den dienst der landmacht, een som van 200000 livres toegekend. In 1765 of 66 ontving hij van don Koning van Frankrijk den last om zich naar Spanje te begeven en aldaar de geschutgieterijen op een beteren voet te brengen. Hij maakte een aanvang met de gieterij te Barcelona en zorgde verder voor een goeden gang van zaken in alle andere gieterijen. Hij droeg den titel van Inspecteur Général des Fontes et Forges d'Artillerie de France et d'Espagne et Maréchal des Camps et Armées de S. M. Catholique. Ook bij den Spaanschen Koning stond hij in groot aanzien. Toen hij in 1767 naar Madrid kwam, ontving hij als belooning voor zijn gewichtige diensten, een som van 1.200.000 realen, terwijl zijn rang als Maréchal des Camps hem daarenboven een jaargeld van 90.000
realen of ƒ 11.000 opbracht. In 1785 onttrok hij zich geheel aan den arbeid en leefde op zijn landgoed La Barollière bij Lijon gelegen, alwaar hij 12 Mei 1790 overleed.

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Barre chronologique Johannes Maritz de Barollière II

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